La traite du blanc
15 janvier 2020Magalie, 40 ans
Voilà déjà bien longtemps que je voulais vous écrire, moi aussi. Je prends donc aujourd’hui la plume pour vous conter une aventure que je vis tous les jours depuis quinze ans, date de mon mariage avec Gillou. Mon père étant éleveur de vaches laitières, dès mon plus jeune âge, j’ai vécu au contact de la nature et des animaux. Tous les matins, lors des vacances scolaires, j’assistais à la traite des vaches. Pas en spectatrice mais bel et bien en tant qu’actrice, et à l’ancienne s’il vous plaît, c’est-à-dire à la main…
Devenue adolescente, la sensation de toucher les pis de nos vaches me faisait mouiller le fond de ma petite culotte. Évidemment, je me prenais à imaginer que le morceau de chair molle que je branlais était une bonne queue de mâle. À cette époque, ce n’était que cérébral.
Puis vinrent les années de mon émancipation et finalement, mon mariage. La présence quotidienne d’une bite bien raide dans mon lit me rappela ces souvenirs d’enfance, tant et si bien que je décidai de traire mon homme tous les matins et d’en boire l’onctueuse substance lors de notre petit-déjeuner. C’est devenu un rite auquel Gillou s’est parfaitement habitué, et je crois qu’il ne s’en plaint pas. Voilà comment nous procédons.
Dès notre réveil, nous venons l’un vers l’autre et nous nous embrassons. Je me dirige ensuite vers son entrecuisse pour mesurer la forme physique de son appendice. En général, il n’y a pas de problème. La dureté de sa superbe queue étant correcte, Gillou se positionne à quatre pattes à côté de moi. Pendant ce temps, je prends position, assise en tailleur à la hauteur de l’objet du désir. Je me mets alors à caresser sa bite de la main droite tandis que je titille ses couilles pendantes de la main gauche. Bien sûr, en comparaison, mamelles et pis de vaches et les attributs de mon homme ne sont pas similaires, mais je dois dire que chaque matin, à chaque traite de mon homme, mon trou mouille inexorablement, humidifiant mes lèvres et mon sexe glabre. Au bout de quelques minutes de caresses mutuelles, il faut bien commencer à passer aux choses sérieuses.
C’est alors à ce moment-là que j’empoigne la bite et les couilles de Gillou. Je les branle énergiquement, alternativement de la main droite et gauche en faisant glisser cette peau le long de la bite durcie avec ma main droite et rouler les couilles entre mes doigts de la main gauche. Mon mari se laisse faire, telle une bonne vieille vache normande. Pas plus de cinq minutes suffisent à approcher de l’instant final, et c’est un mouvement de balancement des fesses de Gillou qui me signale la sortie imminente de son lait d’homme.
Aussitôt, j’attrape la coupelle qui me sert à recueillir son précieux liquide. Encore quelques tractions et tirages de bite et de couilles, et voici ce jet si puissant qui expulse la semence dans ma coupelle argentée. L’éjaculation réalisée, je me fais plaisir en venant essuyer d’un coup de langue la toute dernière goutte de sperme chaud restée au bout de son gros gland. Une bonne petite tape sur les fesses de Gillou et j’en ai terminé.
Il est maintenant temps pour lui d’aller dans la cuisine afin de préparer notre petit-déjeuner. Une fois que je suis relevée à mon tour, je me dirige vers la cuisine où je retrouve mon Gillou. C’est là que je déguste dans un yaourt ou encore parfois sur une tartine les deux cuillerées de ce liquide frais du matin qui me met en forme pour toute la journée. Femmes rebutées par le goût acide du sperme, essayez donc ma recette de dégustation de foutre, légèrement sucré, et vous changerez. Vous reviendrez certainement sur votre position, pour le plus grand plaisir de votre homme qui se laissera faire sans broncher. Lui aussi appréciera cette traite matinale, suivie de la dégustation de son produit dans la plus pure tradition française. Vous serez sûrement d’accord avec moi pour dire qu’il faut absolument conserver le goût du vrai et du naturel.
Alors, qui a dit que les Français et les Françaises déjeunaient mal le matin ?
(Image à la une : Getty Images)
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« Là, j’ai convié ma belle sur la banquette arrière du véhicule, et je l’ai léchée passionnément. Puis, je l’ai attrapée par les fesses et je l’ai installée sur mon sexe tendu de désir. Ma femme n’était pas passive, c’est le moins que l’on puisse dire d’ailleurs, puisqu’elle me chevauchait sauvagement, en faisant bien claquer ses fesses rondes contre mes cuisses. » Loïc
« Il est remonté vers mon clitoris pour me chauffer encore plus fort.Là, je n’avais plus qu’une seule envie : enfiler dans ma bouche sa bite brûlante. C’était très bon et comme nous étions bien excités, il m’a retournée, j’ai écarté les jambes et il m’a carrément enculée, comme ça. » Betty
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Bruno
moi aussi c’est ma femme qui préfère me traire le pis par derrière à la maison elle préfère que je reste toujours tout nu elle adore me montrer tout nu à tout le monde comme j’ai aucun poil nul part rien du tout ça dérange personne de me voir tout nu je dois me mettre tout nu à genoux à quatre pattes penché en avant la tête posée au sol le cul en l’air cuisses bien écartées et elle me tire la bite toute raide en arrière entre les cuisses et elle commence à me traire le pis pour me faire dégorger des fois ma belle mère vient nous voir à la maison juste au moment où ma femme est en train de me traire le pis alors elle reste là pour regarder comment elle fait et elle dit à ma femme ho mais ça à l’air très facile à traire le pis d’un garçon alors ma femme lui dit oui regarde c’est exactement comme le pis d’une chèvre ça a la même forme et c’est fait pareil alors ça se trait de la même façon y’a juste qu’a attendre que son petit jus se mette à gicler tout seul par petites giclées saccadées mais il na faut pas arrêter la traite même si ça gicle il faut continuer jusqu’à ce qu’il soit entièrement purgé et bien dégorgé alors ma belle mère lui a dit je peux essayer de lui traire le pis pour voir ce que ça fait? alors ma femme lui a dit oui bien sur vas-y attrape lui le pis et tire le bien fort en arrière pour la traite