L’amie du petit-déjeuner

La rédaction 21 novembre 2019

Roland, 34 ans

L'amie du petit-déjeuner histoire de sexe

Bonjour, je m’appelle Roland, j’ai 34 ans, et je vis depuis plus d’un an avec ma puce Annie, qui en a 26. On partage cette complicité sexuelle dont j’avais toujours rêvé. Nous discutons de tout et, côté sexe, nous savons tout sur les fantasmes de l’autre.

Un matin, après une soirée chez nous entre copains, je me suis levé pour prendre mon petit-déjeuner. Annie se réveille toujours plus tard que moi. Quand elle a senti que je tentais de me dérober à la douceur des draps, elle m’a soufflé à l’oreille : « On n’aurait pas dû laisser partir Betty, j’avais trop envie d’elle hier soir. » Je lui ai répondu que c’était trop tard, et qu’elle pouvait se rendormir. J’ai déposé un baiser sur son front et je suis allé passer un coup de fil à Betty. Betty est la plus jeune de notre groupe d’amis, elle a 24 ans, et elle aime fanfaronner sur ses multiples conquêtes. En prime, elle n’est pas avare en détails. Je me suis motivé en pensant : « Qui ne tente rien n’a rien« , et je lui ai relaté les confessions sur l’oreiller de ma belle encore endormie.

Moins d’une heure plus tard, Betty était en bas de chez nous. Je l’ai fait entrer doucement, sans réveiller ma puce. Dans la cuisine, elle s’est déshabillée entièrement, et on s’est glissés tous les deux dans la chambre. Je me suis blotti contre Annie qui dormait encore, et j’ai frôlé du bout des doigts ses superbes seins ronds. Ma puce commençait à soupirer de plaisir quand brusquement, elle a ouvert les yeux… Elle avait senti deux petites mains douces remonter le long de ses jambes.

Les yeux de ma chérie sont passés de la surprise au désir en à peine une seconde. Elle a sauté sur Betty pour l’allonger sur le dos. Elles se sont embrassées langoureusement. Les deux nymphes parcouraient chacune le corps de l’autre avec leurs mains et leur bouche. Moi, j’admirais le spectacle qu’elles me donnaient. Et ma puce est si belle quand elle prend du plaisir ! Je me suis allongé à côté de Betty pour être au plus près de l’action et, d’une main, j’ai touché ses petits seins fermes, tendus de plaisir, pendant que de l’autre, je caressais la tête de ma super femme, elle-même en train de savourer goulûment l’abricot lisse de notre bonne copine. Que d’action ! Je n’en pouvais plus de me cantonner à un rôle secondaire, mon membre était tendu à m’en faire mal. Je me suis mis derrière ma puce et je l’ai pénétrée sans peine. Elle était mouillée comme jamais. Betty se régalait de cette vision et des coups de langue de ma chérie. Un plaisir intense pouvait se lire dans ses yeux.

J’ai demandé à Betty si elle voulait mon sexe dans sa bouche. Elle a poussé un gémissement prolongé que j’ai pris pour un oui. J’étais enivré par les odeurs mêlées et très différentes de ces deux déesses. Après quelques va-et-vient, je me suis retiré de l’abricot de ma compagne et j’ai présenté mon sexe trempé à l’invitée surprise. Betty l’a entouré de ses lèvres pulpeuses sans hésiter. Ma puce avait relevé la tête pour regarder Betty faire. D’une main, elle se caressait le clitoris et de l’autre, elle massait les fesses fermes de sa copine.

Au bout d’un moment, Annie m’a demandé de prendre Betty. J’ai obéi, ravi, au désir de ma puce, et je me suis engouffré en Betty avec une lenteur calculée. Ses cris aigus me prouvaient que ça lui plaisait. Annie est remontée vers sa copine pour lui présenter sa superbe paire de seins. Betty n’attendait que ça. Elle a léché et mordillé ses mamelons avec avidité. Son bassin remuait sous mes coups de piston, et sa chatte était trempée de mouille et de salive.

Quand je me suis retiré, Annie a pris mon sexe lubrifié dans sa bouche. Elle me l’a nettoyé sans en laisser une goutte, la gourmande. Je leur ai proposé un 69 à trois, un truc que l’on n’avait encore jamais fait. On s’est allongés en rond. Je me suis délecté de ma belle pendant qu’elle léchait la chatte de Betty qui me taillait une pipe d’enfer, dans une vraie comminterstron.ru de sensualité. Annie oscillait de la croupe, Betty me gobait frénétiquement le sexe. Au dernier moment, j’ai voulu me retirer, mais Betty a enserré ses lèvres plus fort autour de ma tige. J’ai giclé. Elle a bu.

Je leur ai dit qu’elles pouvaient s’amuser toutes les deux pendant que je rechargeais les batteries. Ni une ni deux, Annie s’est mise tête-bêche avec Betty, et elles se sont mutuellement dévorées. Je les ai regardées, allongé dans le même sens de Betty pour pouvoir admirer ses coups de langue et ses caresses précises sur le corps de ma toute belle. Je n’avais jamais connu ma puce si chaude et si excitée. Et, cerise sur le gâteau, je les ai vues jouir toutes les deux. À ce moment-là, j’ai ressenti une petite déception, je m’en voulais de n’avoir pas pris mon caméscope pour immortaliser l’instant.

Les deux dévergondées ne se sont pas arrêtées pour autant. Après avoir joui, elles en voulaient encore… Et moi aussi. Betty m’avait remis en forme. Elle a saisi mon sexe pour me masturber de ses mains douces, sans cesser de dévorer la foufoune trempée de ma puce. Je n’en pouvais plus, il fallait que j’agisse, sinon j’allais devenir fou. Je me suis mis au-dessus de la tête de Betty pour pénétrer ma belle. Notre invitée a donné des coups de langue encore plus frénétiques sur nos sexes encastrés. J’avais l’impression d’activer des fontaines de mouille. Annie se cabrait pour me faire comprendre qu’elle aimait. Je n’ai pas pu me retenir, surtout que je sais à quel point elle adore sentir mon sperme gicler au fond de sa grotte. J’ai éjaculé dans ma puce pour finir à l’extérieur de sa chatte. Betty a goûté, facétieuse, le mélange de semence et de mouille. Je me suis écroulé, mort de plaisir. Annie s’est redressée et s’est penchée vers Betty pour lui enlever les gouttes qui avaient giclé sur ses seins. Mon amour a décrété qu’elle venait de réaliser un de ses fantasmes, mais « en beaucoup mieux« . J’étais aux anges.

J’ai adoré voir ma belle prendre autant de plaisir et j’espère que notre complicité continuera comme ça toute notre vie. Je ne suis pas échangiste et encore moins infidèle, mais lui donner la tendresse d’une femme, c’est une chose que je ne peux pas lui refuser. Elle est si belle pendant ces moments-là. Je suis fier d’avoir dans ma vie une femme aussi merveilleuse !

(Image à la une : Getty Images)

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