La bite bien dure du dentiste

La rédaction 14 juin 2025

Dans notre histoire de sexe du jour, Nina nous raconte comment elle a rencontré de manière quelque peu cocasse celui qui est aujourd’hui son chéri

Nina nous raconte son histoire de sexe amateur avec…son chirurgien dentiste !

Salut tout le monde ! Je voudrais vous raconter une histoire de sexe qui m’a permis de rencontrer celui qui est aujourd’hui mon chéri. Je m’appelle Nina, j’ai 26 ans, et j’habite Chaville, en banlieue parisienne.

Chauffer le beau dentiste

L’année dernière, j’ai eu un abcès dentaire. La galère. Ma mère m’a conseillé d’aller voir son chirurgien-dentiste, très compétent selon elle, et “pas désagréable à regarder”. Effectivement, quand il est venu me chercher dans la salle d’attente, j’ai été stupéfaite.

Il devait avoir dans les 50 balais, brun ténébreux, beau à couper le souffle. Il s’est montré très doux, même si j’ai morflé.

J’ai dû retourner le voir une semaine plus tard, un mercredi matin. J’avais un peu moins mal, alors j’ai soigné mon apparence : je suis revenue avec un string ultra-transparent et une jupette ras-le-bonbon.

Je l’ai grillé qui me reluquait, pendant qu’il me soignait la bouche. Il me matait, discrètement, certes, mais j’ai perçu une ouverture.

Malheureusement, à la fin de notre rendez-vous, je m’apprêtais à lui faire un peu de charme, mais la sonnette d’entrée ne m’en a pas laissé le temps. Il m’a serré la main et m’a congédiée avec son délicieux sourire. J’étais déçue, mais je ne comptais pas lâcher l’affaire.

Le dentiste à la trique

Pour le troisième rendez-vous, j’ai mis le paquet. Pareil, minijupe, string révélateur, et pas de soutif. J’avais insisté pour qu’il me reçoive rapidement, arguant que j’avais un peu mal, et il a accepté de me prendre en fin de journée.

J’ai battu des cils pour lui dire bonjour, et j’ai souri, une fois installée sur le siège. Ses mouvements étaient encore plus doux que d’habitude et, alors qu’il me soignait, j’ai senti qu’il se frottait un peu.

J’ai regardé son pantalon de chirurgien, il était bien tendu au niveau de l’entrejambe. Je lui faisais mon petit effet. Ingénument, je lui ai demandé si les dentistes étaient nus sous leur pantalon, comme le veut la légende pour les infirmières.

Il a rougi, et m’a souri de toutes ses dents. J’ai vu la bosse gonfler sous le tissu. Il m’a demandé d’ouvrir la bouche plus grand. Je lui ai dit : “Vous vous vantez, là”, avec un clin d’œil.

Alors qu’il s’affairait au-dessus de moi, troublé, ma main est allée chercher du côté de son entrejambe.Il était très dur. Je l’ai caressé gentiment. Je pouvais difficilement être plus explicite.

Préliminaires sur le fauteuil

Il a posé ses outils de torture, et je l’ai vu sortir son pénis. Il avait un gourdin énorme. Il a actionné la manette du siège pour le baisser à l’horizontale, jusqu’à ce que ma bouche se retrouve au niveau de son entrejambe.

J’ai sorti la langue comme chez le docteur, et son beau pénis circoncis est venu la rejoindre. Je l’ai sucé avec gourmandise. Il occupait tout l’espace de ma bouche, je me sentais remplie.

Ma petite chatte était bien mouillée, je lui en ai parlé : “Vous ne seriez pas gynéco aussi, par hasard ?”,   lui ai-je demandé. Il a eu un sourire et m’a tendu un verre rempli de liquide à la pomme pour me rincer la bouche.

Puis, il s’est mis à genoux devant moi et a retiré mon string. J’ai senti ses doigts me pénétrer, tandis que sa langue tournait délicieusement autour de mon bouton rose et que ses lèvres se refermaient dessus.

Il m’a léchée en me disant que j’avais très bon goût. Mes tétons pointaient dur sous mon débardeur, j’avais chaud, je gigotais de plus en plus belle sous l’action de sa bouche et de ses doigts experts.

Envie de le sentir au fond

Je n’en pouvais plus, je voulais le sentir au fond de moi. Je me suis assise au bord du siège, et il a de nouveau actionné la manette pour surélever le fauteuil.

Il s’est présenté devant ma petite grotte et m’a pénétrée d’un mouvement de hanches, sèchement. Un frisson m’a traversé tout le corps, de la tête au bout des orteils. Il s’y prenait tellement bien, tout en subtilité !

Les coups de bite qu’il m’assénait étaient précis, chacune de ses oscillations me propulsait au septième ciel. Je gémissais, tête en arrière, offerte. Lui me pelotait les seins avec dextérité.

Un orgasme m’a traversé le bas-ventre, comme une boule de feu. Il s’est mis à me bourrer énergiquement, est sorti de ma chatte et a laissé échapper un cri alors que sa bite tressautait et que des jets de sperme tiède m’atterrissaient sur les cuisses.

Puis, il m’a prise par la nuque et m’a embrassée avec passion. Je me suis blottie dans ses bras. Ce soir-là, on est allés continuer nos petites cochonneries chez moi et depuis, on ne s’est plus vraiment quittés.

Vous auriez vu la tête de ma mère quand j’ai ramené mon beau dentiste à déjeuner le dimanche, six mois plus tard !

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