La veuve goulue

La rédaction 25 août 2019

Marie-Nicole, 52 ans, Houilles.

La veuve joyeuse

Je suis veuve depuis trois ans. Pour m’aider à supporter la disparition de mon mari, je me suis beaucoup investie dans le travail, abandonnant toute vie sociale. En dehors de deux aventures sans lendemain, c’était le calme plat. Mais, il y a six mois, à l’occasion d’un dîner chez des amis, j’ai fait la connaissance de Vincent. L’homme m’a immédiatement fascinée. Par la suite, il a complètement bouleversé ma vie. Pendant le dîner, il s’est vanté de pouvoir réaliser des prouesses sexuelles, avant d’ajouter que peu de femmes étaient capables de lui donner du plaisir dans une longue relation. En l’écoutant, je me sentais à la fois gênée et troublée. De retour à la maison, j’étais très excitée et j’ai éprouvé le besoin impérieux de me masturber avant de m’endormir.

Quelques jours plus tard, j’ai reçu un appel de Vincent qui m’invitait à dîner dans un grand restaurant parisien le soir même. Paniquée, je ne savais pas trop quoi dire. J’ai commencé par bafouiller une sorte de refus avant de me laisser finalement convaincre. J’ai été très heureuse de le revoir. Lorsqu’il m’a raccompagnée à mon domicile, j’ai pensé qu’il allait me demander d’entrer, mais il n’en a rien fait. Il s’est contenté de m’embrasser tendrement la joue.La semaine suivante, je lui ai téléphoné pour l’inviter à dîner à la maison. Il a accepté, ce qui m’a rendue fébrile comme une gamine. Le jour convenu, j’ai préparé un repas fin aux bougies. Pour l’occasion, j’avais mis une robe noire au décolleté très audacieux et, en dessous, des porte-jarretelles, des bas fumés et un ensemble slip et soutien-gorge en soie que je n’avais plus porté depuis des années. Ma généreuse poitrine était comprimée et mon slip trop petit me gênait un peu.

Lorsque Vincent a sonné à la porte, j’avais l’estomac noué. J’ai compris au premier regard qu’il était agréablement surpris par ma tenue. Vincent était plein d’attentions, tout à fait charmant, mais ses coups d’oeil furtifs sur mes seins et mes jambes me mettaient mal à l’aise. Lorsque je me suis levée pour l’inviter à passer à table, Vincent a posé ses mains sur mes hanches et m’a soufflé : « J’ai très envie de toi. » Sa bouche s’est collée à la mienne tandis que ses doigts parcouraient mon corps sans la moindre retenue. J’ai répondu à ses caresses. Vincent m’a retournée et a retroussé ma robe. En découvrant mes dessous, il est devenu comme fou. Il a écarté ma culotte avec fougue, il s’est débarrassé de son pantalon et de son slip et il a plongé son sexe bien dur dans mon intimité. Il me pilonnait à un rythme infernal. Quelques minutes plus tard, j’ai crié ma jouissance pendant qu’il m’envoyait de longs jets de semence chaude.

Nous étions tous les deux incapables de prononcer le moindre mot, intimidés par cette exaltation rapide et très sensuelle. Je lui ai alors proposé de passer à table. Alors que de son côté, il était nu comme un ver, je servais les plats, en bas, porte-jarretelles et talons. Juste après le hors-d’oeuvre, Vincent s’est remis à bander fermement. Son énorme gland luisant me fascinait. Mes pointes de sein durcissaient tellement que j’avais du mal à les contenir dans les bonnets. Tout au long du repas, Vincent a bandé sans se relâcher une seule seconde. Je lui ai fait un compliment sur sa forme. Il m’a répondu qu’il pouvait rester en érection des heures durant et que son excitation était renforcée par la beauté de mon corps. Sitôt le repas terminé, Vincent m’a empalée sur sa queue et m’a transportée dans cette position vers ma chambre. C’était ma première nuit de salope en chaleur. Je me suis découvert une nature de suceuse insatiable, pour la plus grande joie de Vincent.

Nos différents 69 ont été aussi torrides que juteux. Parfois, il me labourait en levrette, s’accrochant à mes hanches ou malaxant mes seins. Il lui arrivait de me pilonner tellement longtemps que je perdais la notion du temps. Un moment, je me suis empalée sur lui comme une furie pour lui montrer que j’étais moi aussi parfaitement capable de tenir la distance. Nous avons fait l’amour six heures d’affilée. Au matin, Vincent a capitulé. Épuisé, il s’est endormi dans mes bras. Lorsque je l’ai réveillé en le gratifiant d’une fellation, il m’a avoué être tombé sur « l’affaire de sa vie ». Depuis, nous baisons à toute occasion et plus nous faisons l’amour, plus nous en avons envie de recommencer. Parfois nous passons nos week-ends au lit. Pour le moment, nous profitons de la vie et nous jouissons en parfaite harmonie…

(Image à la une : Getty Images)

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