L’animale Charlotte

La rédaction 9 septembre 2019

Maxime, 19 ans

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Elle a couché avec moi comme les jeunes filles de notre âge couchent avec les garçons : pour se prouver qu’elles sont des femmes. C’est peut-être assez cynique de le dire de cette façon mais Charlotte n’était pas amoureuse de moi au moment où elle a posé ses lèvres sur ma queue. Elle voulait que je sois fier d’elle. Que je la regarde comme une adulte, une experte de la sensualité des hommes, comme la femme fatale qu’elle n’était pas. Parce qu’au fond d’elle, Charlotte est douce. Elle est fragile, indécise sur elle-même et sur son avenir, une paumée de premier choix comme nous le sommes à cette période de notre vie. Et une paumée qui veut surtout faire semblant de ne pas l’être. Je le sais car je l’observe beaucoup en cours, cette première de classe d’une prépa d’ingénieur.

Elle déteste cette étiquette d’intello coincée qui lui colle à la peau malgré elle. Alors, dès qu’une fête étudiante pointe le bout de son nez, en fin de semaine, elle ne peut s’empêcher de faire connaître ses talents de vamp’ sexuelle en trouvant une nouvelle proie à chaque beuverie estudiantine. Dans son regard noir et lourd, dans le balancement de ses hanches, dans les tenues vestimentaires qu’elle s’imposait courtes et moulantes, il y avait ce cri sourd : je ne suis pas qu’un cerveau, je suis aussi cet « animal » si désirable. Et la jungle frivole du moment doit le savoir.

Bref, la victime du soir, c’était moi et j’en étais touché. J’aurais voulu avoir été choisi pour d’autres motifs : mon humour, mon intellect, ma passion pour l’histoire de France. Mais elle m’a choisi pour satisfaire son égo et cela m’a suffi.

La fête battait son plein, les jeunes fumaient, beaucoup de bouteilles vides jonchaient le sol, et elle s’est posée à côté de moi, sur le canapé. 

« Je peux te parler dans la piaule de Paul ? C’est celle qui est la mieux rangée. » Il est vrai que cette coloc de mecs qui nous servait régulièrement de repère pour s’enivrer après les cours manquait sérieusement d’hygiène la plus rudimentaire.

Une fois la porte de la chambre fermée, elle n’a pas cherché vraiment à me séduire, ni à se faire désirer. Elle m’a roulé une pelle directement. Sa langue s’est infiltrée dans ma bouche, d’abord timidement, pour me laisser le temps de riposter, puis, après s’être assurée de l’engouement et de la vivacité de mes gestes, elle y est allée un peu plus fort. Elle me faisait de nombreux baisers au coin de la bouche, puis elle est descendue dans mon cou. Son souffle chaud, ardant et légèrement alcoolisé commençait à me faire bander.

Elle retirait maladroitement mon tee-shirt, ses gestes étaient empressés, saccadés, alors je lui ai pris fermement les deux poignets et je les ai relevés au-dessus de sa tête. « Tu te calmes, là, compris ? Laisse-moi faire… ». Elle a souri, ravie de voir que la situation s’inversait, qu’elle devenait objet sexuel, qu’elle était enfin à la place qu’elle cherchait depuis le début. Je l’ai déshabillée tendrement, sensuellement. Elle se tortillait gaiement en sentant les vêtements glisser le long de son corps. De lionne rugissante, elle se transformait en joyeuse gazelle.

Une fois nue, je l’ai collée contre le mur et je l’ai embrassée. Elle fondait de bien-être dans mon étreinte musclée. Je lui ai ensuite demandé de me sucer et elle s’y est appliquée, en me regardant bien dans les yeux. En s’assurant à travers mon regard qu’elle faisait tout bien comme il faut. Sa salive dégoulinait sur mon gland, son aspiration était idéale. Je l’ai alors caressée en même temps, pour lui montrer que j’étais satisfait. Sa petit minou glabre, fraîchement rasé, était déjà trempé. Elle frissonnait à chacun des mouvements de mon majeur, tremblant d’un plaisir qui ne pouvait être feint. J’ai adoré la sentir aussi réceptive. Je l’ai alors léchée un peu, pour recueillir le doux nectar qui s’échappait de ses lèvres puis je l’ai baisée. Elle couinait bruyamment, certainement pour faire savoir qu’elle baisait aux autres qui étaient resté en bas. C’était un peu trop théâtral pour moi alors je lui ai alors mis la main sur la bouche et j’ai ralenti mes mouvements.

Elle a paru étonnée mais finalement, nous avons continué de cette façon. Dans une chaude étreinte, très sensuelle, très douce, tout à fait silencieuse. Seuls nos regards pénétrants criaient à tue-tête que ce moment était magique. 

Quand nous sommes redescendus, j’ai senti que Charlotte était plus apaisée. Et quand je la regarde en cours, je la trouve maintenant plus sereine. Je n’ose toujours pas lui avouer qu’elle m’a toujours intéressé, mais je me suis promis d’aller lui proposer une nouvelle étreinte à chaque soirée étudiante.

(Photo à la une : Getty Images)

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