Une queue version XXL

La rédaction 16 octobre 2023

Léandra n’a qu’un seul fantasme. Prendre du plaisir avec un homme bien gaulé. Musclé et avec un énorme engin. Elle ne sera pas déçue…

Bonjour moi c’est Léana et ça c’est mon histoire de sexe. Doit-on réaliser ses fantasmes ? Cette question me taraudait sacrément depuis que je nourrissais l’envie mesquine de tromper mon mec, légèrement sous-doté en termes de taille de queue, avec un étalon vraiment bien monté.

Un fantasme devenu réalité ou (presque)

Eh ouais, on se refait pas ! J’ai 30 ans et cette idée me turlupinait : je voulais me taper une bonne grosse queue à l’ancienne pour me faire fourrer tout le vestibule et plus loin encore. J’étais avec mon copain depuis dix ans et je n’avais encore jamais vraiment goûté à un membre de belle taille.

L’idée m’est venue en regardant du porno, en voyant des filles se faire enfiler par des engins monstrueux. Je me suis mise à mouiller sévère devant ces productions politiquement incorrectes et j’ai nourri le désir de plus en plus pressant de me faire prendre par ce genre d’excroissance de la virilité.

Alors je suis allée sur un réseau social où le sexe est autorisé et les images pornos aussi. J’ai tapé “étalon” dans la barre de recherche et je suis tombée sur un compte qui m’a alléchée. C’était celui de Fabio, un bien bel homme qui semblait obsédé par sa bite et qui la prenait en photo sous toutes les coutures. Celle-ci semblait définir son identité, sa puissance et même sa personnalité. C’était tout un compte dédiée à sa belle grosse queue veineuse et saillante à souhait.

Qu’est-ce que j’ai fait, alors ? Eh bien je n’y suis pas allée par quatre chemins, et je me suis glissée dans ses messages privés en lui envoyant quelques photos de moi dénudées. Nous parlions la même langue, lui et moi, sans chichis. Je lui ai confessé mon fantasme de me faire prendre par un mec bien monté comme lui et il m’a dit que ça tombait bien, car il rêvait de me tringler lui aussi.

Je voulais un échange uniquement sexuel, du cul pour le cul, sans sentiments. Nous nous sommes chauffés par messages et j’ai vu qu’il était vraiment chouette, à l’extérieur comme à l’intérieur. Comme il était fan de photos de sa bite, il m’a demandé s’il pourrait me photographier en train de jouer avec, ce que je me suis empressée d’accepter.

Un engin satisfaisant…

Nous nous sommes retrouvés dans un hôtel en plein après-midi, avec peu de choses à se dire, mais beaucoup à partager, ça oui… Nous avons commencé par une danse de la séduction et il s’est mis à me stimuler à travers mes vêtements, puis à me les enlever un par un. J’ai fini à plat ventre sur le lit même pas défait, fesses à l’air, ma bouche de suceuse toutes voiles dehors, prête à tâter de son volume.

J’ai enfourné sa large saucisse dans mon gosier et j’ai adoré me sentir remplir de sa chair comme ça, ça me changeait de la petite quéquette de mon copain ! Ce n’était pas méchant comme raisonnement et j’adorais sa petite bite, c’était juste un fantasme que j’assouvissais pour moi et rien que pour moi.

En tout cas, l’engin de mon amant ne décevait pas et il était fidèle aux photos que j’avais vues.

Il m’a prise en photo suspendue à son dard, en train de le téter sur le bout, pleine de lui et de son gros chibre. Il adorait me voir l’enfiler à pleine bouche et apprécier cette grosseur qui me déformait le visage. Entre mes jambes, c’était la piscine tellement j’étais chaude et tellement mon esprit anticipait de me faire prendre par cette belle gaule bien calibrée.

J’étais en plein kiff sexuel et j’adorais qu’il me prenne en photo en train de le dévorer. Je me suis accroupie au pied du lit et j’ai joué ma partition de soumise à fond en faisant des mines étonnées devant la taille de sa queue qu’il agitait au-dessus de ma tête, debout près de moi comme l’étalon dominant qu’il était.

Puis à mon signal, il m’a à nouveau enfoncé sa trique dans la bouche alors que j’étais accroupie par terre. C’était un délice de sentir son désir boursouflé pour ma personne.

J’ai fini par exiger qu’il me baise enfin. Il m’a mise à quatre pattes sur le lit et s’est insinué en moi avec délicatesse. Quand il a constaté le bain de mouille qui entourait sa grosseur, il s’est mis à me pistonner et à tirer de moi des rugissements de féline. Enfin, j’avais la grosse queue dont j’avais tant rêvé qui me limait l’entrejambe comme je l’avais imaginé !

Puis, alors que j’étais désormais sur le dos, il m’a baisée encore plus profond en se tenant debout entre mes pattes, prêt à me lustrer le joyau pendant de très longues minutes… Fatigué, il s’est allongé à son tour et je l’ai chevauché à l’envers, mon cul dans sa vue, pour qu’il se fasse kiffer avec mon boule en gros plan et que moi, je continue à profiter de son érection massive.

J’avais eu pour mon compte de sa grosse queue virile et j’ai pu rentrer bien sagement dans mon foyer conjugal en emportant avec moi cette sensation cuisante entre les jambes.

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