L’autoroute du bonheur
4 janvier 2020Jacques, 39 ans
Ce jour-là , je m’étais arrêté sur une aire d’autoroute pour faire le plein et manger un sandwich. Mon métier de commercial implique en général un planning serré, mais là , j’avais du temps, ma journée était finie et personne ne m’attendait. J’avais ouvert le toit de mon coupé cabriolet, et j’ai poussé la musique à fond en sortant du parking. L’air était doux, et la lumière de fin d’après-midi splendide. Juste avant la voie d’accélération, deux jeunes femmes au look d’étudiant faisaient du stop.
En me voyant passer, elles m’ont fait de grands signes en agitant les bras. Sans trop réfléchir, je me suis arrêté. Dans un français très approximatif, elles m’ont fait comprendre qu’elles allaient à Montpellier. Moi, je n’allais pas aussi loin, alors j’ai hésité à les prendre. Je leur ai expliqué que j’allais être obligé de les déposer bien avant Montpellier. Elles m’ont répondu que ça leur était égal, et qu’elles se débrouilleraient pour trouver quelqu’un d’autre. J’ai rangé leurs gros sacs à dos dans le coffre de la voiture, et elles se sont installées à l’arrière. Elles gloussaient, minaudaient, se trémoussaient. Avec un accent à couper au couteau, elles m’ont expliqué qu’elles avaient 21 et 22 ans, qu’elles étaient étudiantes en psychologie, et qu’elles allaient retrouver un copain musicien à Montpellier. Elles s’appelaient Greta et Britt et venaient de Norvège.
Au bout de quelques kilomètres, j’ai compris que Greta, jolie brune aux cheveux courts et au minois parsemé de taches de rousseur, dominait Britt par son caractère très affirmé. Britt était tout son contraire physiquement. Elle était blonde comme les blés, son visage était doux et ravissant. Quand la nuit a commencé à tomber, et sans que j’aie fait la moindre allusion à cela, Greta m’a demandé si cela me dérangeait qu’elles dorment chez moi. J’ai accepté avec plaisir.
Puis, elle m’a laissé entendre, avec son fort accent, que sa copine Britt était très excitée. Je lui ai souri et fait un clin d’oeil, ce qui a mis le feu aux poudres. J’ai senti mon coeur battre un peu plus fort. Il restait encore quelques kilomètres avant d’arriver à mon domicile. Nous roulions en silence, la nuit était tombée. Soudain, j’ai remarqué dans le rétroviseur que les deux filles s’embrassaient. Ensuite, je les ai entendues rire aux éclats. Greta a commencé à câliner Britt et à la déshabiller. Puis, elle m’a demandé si les flashes de son appareil photo me gênaient. Elle voulait prendre quelques clichés de sa copine. Je les ai laissées s’amuser, Britt était de plus en plus déshabillée.
Nous sommes arrivés chez moi, mais les filles ont continué leur petite séance photo. Je suis sorti de la voiture, et j’ai laissé les deux donzelles s’amuser. Je suis rentré dans la maison, avec leurs gros sacs à dos que j’ai installés dans la chambre d’amis. J’ai ouvert un peu les fenêtres pour aérer les pièces et, plutôt que d’aller les chercher, je les ai laissées s’amuser dans la voiture. Je me suis servi un verre et je me suis installé dans le salon. Les bruits de leur chahut me parvenaient. Les flashes de l’appareil photo éclairaient la nuit. Comme je m’assoupissais sur le canapé, tout à coup, j’ai entendu de véritables cris de jouissance !
Les filles étaient restées dans la voiture pour baiser ! Je suis allé à la fenêtre pour regarder, et j’ai distingué un ballet d’ombres tout à fait explicite. Je suis retourné sur mon canapé, et comme ma bite commençait à bien durcir, j’ai décidé de me faire plaisir aussi, et j’ai entamé une petite branlette. Au bout d’un moment, je me suis rendu compte que je me branlais en silence. Jusqu’à ce que la porte s’ouvre. Sans frapper, les filles étaient entrées dans la maison, me surprenant sur le canapé, la queue à la main.
Pas farouches, elles se sont regardées en souriant et se sont approchées de moi. J’étais tellement excité que, même si j’avais arrêté de me branler, je restais assis, la queue raide, à les mater, sans même penser à me cacher. Greta s’est collée à Britt et l’a galochée sauvagement devant mes yeux. Je n’avais jamais vu de gouines d’aussi près ! Elles se caressaient les seins et le cul, abandonnant sur le sol ce qui leur restait de vêtements. Elles semblaient avoir l’habitude de se câliner. On sentait bien qu’elles n’étaient pas en train de se découvrir. Elles se sont installées à côté de moi sur le canapé et ont entamé un 69.
Greta a levé la tête vers moi, et m’a dit, avec son délicieux accent : « Regarde bien comme je la bouffe, ma copine. » En effet, elles s’entredévoraient littéralement le sexe, se suçant les lèvres, le clito, s’enfonçant des langues durcies dans la chatte et dans le cul… Je me branlais doucement en les regardant, et en écoutant ces merveilleux bruits de chatte mouillée… Puis, presque en même temps, des spasmes répétés ont secoué leurs corps gracieux.
Après avoir joui et s’être reposées un instant dans les bras l’une de l’autre, elles se sont tournées vers moi en riant. Greta m’a lancé : « Maintenant, nous allons nous occuper de ta bite ! » Elle a pris mon sexe dans sa main, et Britt est venue me sucer doucement le gland, puis elle a promené sa langue sur mes couilles. Ma queue est passée de bouche en bouche, les filles se déchaînaient sur mon dard, tant et si bien que je leur ai vite signifié que je n’allais pas tarder à tout lâcher !
Greta l’a bien compris, et elle ne voulait pas que cela se termine comme ça… Elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, s’est cambrée au maximum. J’ai deviné ce qu’elle souhaitait : se faire prendre. Je me suis approché de son joli petit cul qui s’agitait devant mes yeux. Britt est allée chercher une capote dans son sac, Elle m’a aidé à l’enfiler, et j’ai pénétré Greta, qui était tout humide de désir. J’avais l’impression que ma queue, que je sentais gonflée à bloc, était aspirée par sa chatte. Je l’ai pilonnée à un bon rythme, empoignant ses hanches, me délectant de la vision de son anus dont le parfum musqué me chatouillait les narines.
Il faut dire que mes deux auto-stoppeuses n’avaient pas pris de douche ! Sachant pertinemment que je ne pourrais pas tenir longtemps. Britt s’est collée derrière moi. La chaleur de son corps était délicieuse. Elle a empoigné mes fesses à pleines mains et, pendant que je bourrais sa copine, elle m’a titillé la rondelle. J’espérais qu’elle ne m’enfonce pas un doigt dans le cul, sachant que cette caresse me serait fatale… Mais elle l’a fait ! Elle s’est mouillé l’index pour me l’introduire en entier dans le fondement, ce qui a eu pour effet de me faire décharger illico…
Nous sommes ensuite restés un long moment, affalés tous les trois sur le canapé, et nous nous sommes endormis, terrassés par la fatigue. Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, elles n’étaient plus là … Greta m’avait juste laissé un petit mot griffonné sur la table basse, dans lequel elle me promettait de repasser me voir à leur retour. Je les attends toujours…
(Image à la une : Getty Images)
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