Le barbecul improvisé !

La rédaction 22 avril 2020

Raphaël, 41 ans, Aix-en-Provence.

Cher magazine, avec ce beau printemps, les premiers barbecues ont déjà été organisés. J’aime bien les barbecues : de la viande, des potes, des bières, des rencontres potentielles et tout ça en extérieur, c’est champion ! Voilà qui vous réveille les papilles et les testicules, et qui vous tourne sens dessus dessous ! Moi, ce n’est pas compliqué : l’odeur de la saucisse qui grésille dans le jardin avec des jolies nanas qui paradent en petite tenue, tout sourire et des yeux qui disent « Mange-moi l’hirondelle et je te lécherai le marsouin« … Ah la la, j’en voudrais tous les jours des dimanches comme ça moi, c’est le bonheur. Mais la dernière fois, ça s’est encore mieux déroulé.

Je l’ai vue dés que je suis arrivé. Difficile de la rater en même temps : elle était gaulée comme une princesse et sapée comme une meuf de discothèque. Le cocktail était idéal. Je l’ai abordée fissa. Elle se nommait Céline.

» – Pas terrible comme prénom », je lui ai dit.

» – Je t’appellerai Tabatha. Ok ?

– Oh non, ça fait grosse pouffiasse !

– Bon bon, Laure, tu préfères ?

– Oui, je vois bien où tu veux en venir, mais c’est déjà mieux… »

Elle rigolait à moitié et je la voulais complètement dans mon lit. On était en bonne voie ! Et puis, apparemment, elle avait une sacrée connaissance du répertoire pornographique, ce qui n’était pas pour me déplaire. Une chose en entraînant une autre, nous nous sommes très bien entendus…

À tel point que je lui ai proposé de faire un petit crochet par la chambre du fils de nos amis sur le chemin des toilettes (pardon Jérémy !). Elle a gloussé quand j’ai fermé la porte derrière elle. Avait-elle peur ? Pas du tout : elle m’a aussitôt roulé une grosse galoche de foraine. Elle était brûlante. Elle me l’a dit d’ailleurs :

» – Je suis brûlante, j’ai chaud. Fous-moi à poil, Rapha. Tout de suite.

– Bon ben OK, si Madame a le feu au cul… Je vais sortir ma grosse lance incendie pour l’arroser ! 

Ta gueule. Balance le matos que je te suce. »

Très bien ! Mais d’abord, je voulais m’amuser avec sa petite fente, je l’ai titillée en la déshabillant de ma main libre. Ensuite, j’ai donc sorti « le matos » et elle m’a formidablement pompé le dard. Quelle experte ! Elle m’a décalotté à fond, me gratifiant les couilles au passage. Elle m’a léché le noeud sur toute la longueur. Elle m’a embouché comme une grande joueuse de flûte, le pompier des pompiers ! Une vraie gorge profonde. Je ne suis jamais allé aussi loin dans la bouche d’une nana, c’était incroyable une avaleuse de sabres pareille !

Sa langue était tendre, chaude et si mouillée.

Elle n’en avait jamais assez et elle me branlait lentement tout en me bouffant le morceau. « Tu n’es ni Laure, ni Tabatha, tu es mieux qu’elles ! » Je l’ai tournée pour voir comment elle prenait une bonne bite en levrette. Eh bien, même à ce stade de notre rencontre, j’ai encore été surpris par sa sensualité sauvage : elle est allée directement s’emplâtrer sur mon machin. Ses reins venaient au-devant de ma queue. J’ai même failli en tomber du lit tellement elle en voulait. Oh la cochonne ! Je l’ai bien servie. Sa chatte était très agréable et elle savait la faire remuer à l’intérieur, ce qui n’est pas si courant ! Elle a pris deux ou trois claques sur le cul qui l’ont bien chauffée. Quand j’ai été sur le point de jouir, je l’ai avertie. Elle m’a demandé de l’arroser. Je n’ai même pas hésité…

C’était vraiment un super coup, on s’est bien amusé. Du bon cul, pas prise de tête comme j’aime. Elle s’est essuyée et on est retournés à la petite fête dans le jardin… Tout le monde nous regardait en coin, je crois qu’ils nous ont grillés ! Mais je suis sûr qu’elle ne regrette pas plus que moi, ma petite « pornstar ».

(Photo à la une : Getty Images)

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Le cul de la cuisinière
« Dis-moi, ma belle Eva, tu n’as rien mis sous ton tablier ? ». Comme tous les autres, j’étais nue, intégralement nue. Seul un petit tablier que j’avais noué autour de ma taille servait à me protéger des projections de la cuisson. Il a passé sa main sous mon tissu pour faire ressortir mes deux seins en dehors.

La belle asiatique
« Cette aventure m’est arrivée il y a quelques semaines alors que j’étais invité à l’anniversaire d’un ami. Parmi les invités, il y avait Alexandra, une jolie Asiatique qui attirait beaucoup mon attention. Nous étions tous au salon, et cette coquine m’a entraîné dans la salle de bain. »


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