Le sexe à trois à Budapest avec un couple

Paule 4 octobre 2023

Un jeune étudiant tombe sur un couple à Budapest et commence à les photographier et finit par un triolisme.

Je suis étudiant en photographie et ce qui m’est arrivé il y a quelques semaines à Budapest n’est pas commun. Voici mon histoire de sexe.

 J’étais parti réaliser un travail pour mon école, des prises de vues architecturales et d’autres sur le Danube. C’est là que j’ai rencontré Andréas et Gyula, un couple en balade qui m’a sollicité pour les prendre en photo avec leur portable. J’ai fait quelques clichés, ils étaient beaux et se sont carrément caressés devant moi sans aucune pudeur. Ils parlaient bien ­anglais, je leur ai proposé de les prendre avec mon appareil, ils ont accepté et nous avons fait un petit shooting. Je leur ai demandé leur adresse mail pour leur envoyer les portraits, mais ils avaient une autre idée en tête. Ils m’ont invité chez eux et j’ai pu vider la carte mémoire dans leur ordinateur directement. J’allais prendre congé lorsqu’ils m’ont convié à continuer la séance et quand Gyula a fait tomber son manteau, j’ai compris. Cette femme, superbe avec sa longue chevelure dorée, n’avait rien en dessous, exception faite d’une guêpière qui mettait sa volumineuse poitrine en valeur et des bas noirs. Un de ses seins était sorti de sa cachette et j’ai craqué sur son aréole énorme, un disque rose clair très large. Il se dégageait de cette fille un érotisme fou. J’ai dégluti difficilement, mais j’ai porté mon boîtier à mon œil et j’ai commencé à déclencher.

Un trio de choc

Cette splendeur slave s’est avancée vers son mari et l’a dénudé, il avait un corps massif, très musculeux, les deux étaient très photogéniques. Andréas bandait, tout comme moi, et sa queue très épaisse pendait un peu vers le sol, Gyulia a grimpé sur leur lit et, tandis que son homme se masturbait en la matant, a joué en solo un moment, m’appelant du regard afin que je me rapproche pour ne rien rater de la scène. Jambes levées au ciel et très écartées, elle m’a donné son minou en gros plan avant de se caresser, d’abord avec les doigts puis avec un gode vibrant. Sa chatte était un trait fin qui suintait de mouille, elle était d’une sensualité rare. Elle a fait jaillir ses deux seins, jamais aucune de mes copines ne m’avait offert pareil spectacle ! Le jouet a fini par trouver l’entrée de son vagin, elle s’est masturbée un moment en gémissant, la tête parfois renversée en arrière, tantôt ses beaux yeux bleus au fond de mon objectif. Elle m’a montré ma braguette en me disant que je pouvais aussi me caresser, je n’ai pas résisté et j’ai sorti ma queue, plus modeste que celle d’Andréas, mais plus longue, et je me suis branlé un peu. J’ai vite repris mon appareil photo en main, Gyula venait d’extirper le vibro de sa fente et se l’enfilait dans le cul ! Sur le dos, elle a assoupli l’entrée de son petit conduit puis s’est lovée en levrette, ses fesses à quelques centimètres de mon visage. Elle s’est alors enfoncé l’objet tout entier dans l’anus et elle a joui en quelques minutes, se sodomisant doucement.

Notre amante commune

Andréas s’est approché du lit et sa femme a sucé l’énorme bite de son homme, debout devant elle. La pipe était sonore, elle avalait tout le chibre, le laissait ressortir de sa bouche pour cracher sur le gland. Ils ont ensuite échangé de place, lui à genoux sur le matelas, elle penchée sur son vit, pompant le gros dard de toute son énergie. J’ai même fait le tour pour prendre sa croupe tout ouverte en photo. Et c’est là, pour la première fois, qu’elle m’a dit que je pouvais la toucher. J’ai jeté un œil inquiet à son mari qui m’a fait signe que c’était bon, la voie était libre.

J’ai posé une main timide sur une fesse, elle était douce et soyeuse, mais elle m’a échappée, la belle ayant décidé d’enfourcher son partenaire. J’ai vu l’énorme chibre disparaître entre les petites lèvres, Gyula a dessiné des moulinets avec ses hanches, la queue sortait ainsi à moitié de son logement avant de repartir tout au fond, c’est alors qu’elle m’a tendu le godemichet et m’a indiqué le chemin de son petit trou. J’ai enfoncé le dard de silicone lentement, ça entrait tout seul. J’ai adopté le même rythme qu’Andréas, Gyula a eu un orgasme terrible. Elle s’est penchée pour embrasser son époux afin d’étouffer quelque peu ses cris et a empoigné ma bite. Elle m’a attiré sur le plumard en me tirant par le pénis, lui m’a donné une capote que j’ai enfilée à la hâte. Je ne rêvais pas, j’allais enculer une femme pour la première fois de ma vie. J’ai enfoncé ma longue tige dans le rectum de la dame et les coups de reins sont partis automatiquement. Quand je poussais, la queue d’Andréas sortait et inversement. Gyula a eu un second aller simple pour le paradis des sens. Son mari a éjaculé au fond de sa chatte en criant très fort, puis notre amante commune m’a demandé comment je voulais jouir moi. Elle a éclaté de rire en voyant mon regard gêné sur ses énormes nichons, elle s’est dégagée de notre étreinte et s’est agenouillée par terre en enlevant son serre-taille, libérant alors ses nibards et me les offrant pour que je jute dessus. J’ai balancé ma purée avec une force incroyable, la pauvre en a eu plein le visage et les seins.

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Paule


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