Et si je te trompais ?

La rédaction 7 avril 2021

Kevin, 35 ans, et sa compagne sont candaulistes. Pour faire monter la température, la belle va se taper son pire ennemi devant ses yeux et c’est bandant.

Un soir, pour nous distraire, nous avons joué à un petit jeu avec ma compagne Julianne. On s’est interrogés : « Si je te trompais, avec qui ce serait pour toi la pire humiliation ? » Ça nous a fait marrer tous les deux. Elle a dit, de manière assez attendue, que ce serait dans le cas où je la tromperais avec un membre de sa famille. Moi, j’avais une autre réponse. « Pour ma part, je crois que ce serait si tu te tapais Jérôme, mon rival de toujours. » Elle a ouvert de grands yeux. Je ne lui avais jamais trop parlé de ça, mais je nourrissais depuis longtemps une forte animosité envers ce mec qui m’avait suivi dans mon parcours, du collège, où l’on se tapait dessus, à aujourd’hui où il bossait dans le même secteur que moi, le bâtiment, et où il avait monté une boîte concurrentielle à la mienne. Bref, j’avais toutes les raisons de le haïr… En même temps, comme nous avons des pratiques candaulistes avec ma compagne, elle m’a demandé si ça ne m’exciterait pas un peu si elle se le tapait devant moi, pour qu’elle le rende fou mais qu’il sache qu’elle était à moi, rien qu’à moi. Voici notre histoire de sexe.

J’ai regardé ma belle Julianne, trentenaire comme moi, son hâle caramel, ses seins ronds, sa peau de pêche, son visage avenant encadré de cheveux sombres… Elle était divine, et s’il y avait bien une chose que mon ennemi saurait m’envier, c’était ma femme ! L’idée m’a aussi un peu excité, de la voir prise par lui… Elle est même devenue lancinante et je me suis mis à y penser la nuit. Le lendemain, j’ai demandé à Julianne comment elle comptait s’y prendre. Elle m’a dit que c’était simple, qu’elle irait à son entreprise pour se payer ses services en prétextant que je croulais sous le travail. Ça a marché et elle lui a fait du charme, jusqu’à le ramener un soir chez nous en faisant semblant de ne pas savoir que j’étais à la maison. Il a eu un mouvement de recul quand il m’a vu, mais j’ai tâché de le mettre à l’aise en lui montrant que j’étais au-dessus de tout ça.

Il s’est détendu quand nous avons pris l’apéro et je crois qu’il a fini par comprendre le petit jeu. Il était indéniablement attiré par Julianne, alors je sentais qu’il pourrait se laisser tenter par notre esprit de contradiction et de transgression… Il ne pouvait détourner les yeux du corps de ma femme et il me jetait des regards en coin, probablement pour voir si j’allais bondir sur lui à la moindre occasion, mais comme il devait constater que j’étais à l’aise, il s’est laissé faire quand ma douce, provocante, s’est assise sur ses genoux pour l’enlacer et l’embrasser. Il était subjugué. Il faut dire que quand une femme comme elle vous met le grappin dessus, vous êtes coincés, tellement elle est bonne et tant il est impossible de lui résister.

Elle frottait son joli cul contre son entrejambe comme une strip-teaseuse et il s’est mis à lui peloter les seins. Il était captif de ma femme ! Le salaud, celle-là, il allait y goûter mais il ne l’aurait jamais. Julianne surveillait mes réactions du regard pendant qu’il enfouissait sa tête contre sa poitrine, l’air de me dire : « T’inquiète pas, c’est un jeu, je vais t’aider à conjurer le sort, il va voir quel homme chanceux tu es de m’avoir. »

Nous sommes allés dans la chambre. Julianne, en débardeur blanc et culotte de dentelle, s’est installée sur le lit pour sucer notre convive. Le mec perdait complètement pied et il se laissait pomper en renversant la tête en arrière. Ma douce était tellement bandante dans son entêtement à s’occuper de lui que je me suis mis à prendre des photos tout en me branlant. Profite bien, mon salaud, ce sera la seule et unique fois.

Ma bite était prête à exploser tant la scène titillait mes sens et ma psyché. Ma femme prise par mon pire ennemi ? Je n’aurais jamais imaginé l’énorme potentiel érotique que ça pouvait représenter. Julianne s’est mise nue, c’était une bombe, sa peau dorée tranchait avec le drap blanc. Elle s’est mise un petit gode dans la chatte tout en le suçant, pour faire démarrer plus fort sa propre excitation. Puis, la belle s’est étendue sur le lit, pattes écartées pour que je prenne sa touffe en photo. Jérôme s’est positionné au niveau de sa tête pour faire tremper sa queue dans sa bouche ouverte dans une posture dominante.

Je le prenais lui aussi en photo, pour m’exciter et aussi pour mettre un peu les choses à distance. De mon côté du corps de Julianne, j’ai tendu la main pour lui mettre des doigts dans la chatte et dans le cul, histoire de rappeler qui était son époux légitime ici. Elle était trempée de mouille la coquine, elle s’amusait bien de la situation ! Mon rival l’a prise contre le lit, la besognant en missionnaire. Ma douce semblait plus excitée par mes réactions que par lui. Elle me regardait toujours et je ne pouvais plus me retenir de me branler comme un possédé. Puis elle l’a enjambé pour s’empaler sur sa queue, la poitrine tournée et allongée contre ses jambes. Son petit cul percé de sa bite s’agitait au-dessus de son ventre comme un petit diable. Il était à croquer. Elle commençait à gémir et ça m’a encore plus fait bander.

Elle prenait son pied en plus, la chipie ! Notre ami a éjaculé sur sa chatte un amas blanchâtre de foutre. Il ne l’avait pas fait jouir alors, sous ses yeux, j’ai pris Julianne qui m’avait rendu fou par sa prestation, et je l’ai baisée ardemment, jusqu’à la faire hurler de plaisir quand elle a joui au nez de mon ennemi… Maintenant, il savait à qui il avait affaire !

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