Sept hommes à satisfaire
21 septembre 2020Cindy, 32 ans, est une petite soumise avide de sexe. Elle est offerte à un groupe d’hommes bien décidés à s’amuser et a abuser d’elle.
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Je me suis apprêtée suivant les instructions de mon Maître: tenue sexy, courte, sans sous-vêtements… un bandeau dans la poche (pour plus tard). Comme d’habitude, je ne sais où je vais et qui je rencontrerais. Mon Maître me prévient qu’il va me « prêter » à un autre Maître et que je devrai obéir. Lui s’en ira juste après m’avoir déposé. Avant d’arriver, je dois mettre mon bandeau. Il ne me quittera plus jusqu’à la fin de la journée. La voiture s’immobilise sur ce que je pense être un parking privé. J’entends la voix d’un homme qui parle avec mon Maître. Après un petit moment, on me demande de sortir de la voiture. La cour est gravillonnée, on me dirige vers une cave. Il y a deux, trois marches à descendre et il fait un peu froid. Je sens une odeur bizarre. Mon Maître m’informe qu’il s’en va et qu’il me laisse au bon vouloir d’un autre Maître.
Deux hommes me font asseoir sur une chaise. La surface est froide, j’ai l’impression que je suis sur un siège de gynéco tellement c’est inconfortable. Je dois avancer mes fesses jusqu’au bord du siège et allonger mes jambes. Mes mains sont immédiatement liées avec des chaînes, mes seins sont pincés, tapés, malmenés. Je suis immobilisée, mes jambes sont levées et écartées. Ma chatte est offerte, ainsi que mon cul. Ils commencent à me doigter, j’hésite à jouir et à me laisser aller. Les fessées pleuvent, les remontrances aussi. On me dégage les mains, je dois me lever. Cette fois, je reste debout. À nouveau, mes mains sont attachées. Je suis dos à un mur, jambes écartées, complètement à leur merci.
Mes seins sont tirés, pincés. C’est douloureux mais c’est bon. Je sens des doigts envahir ma chatte. Cette fois, je ne peux retenir un orgasme, je suis inondée. Quand l’un a terminé avec ses doigts, c’est l’autre qui prend le relais avec ses mains fermes et sa voix grave « T’aimes ça, salope, te faire défoncer! Eh bien, on va changer! » Je suis libérée de mes chaînes aux poignets, je dois me mettre à califourchon sur une table étroite et froide. Les fessées pleuvent de plus en plus, je les sens, bien cuisantes. Pendant ce temps, on me présente une queue à sucer. Je dois pomper pendant que l’autre personne me doigte et me fait jouir. Je ne dois pas m’arrêter de sucer sinon les fessées recommencent. Il a la main sûre et vigoureuse. Ça claque plus ou moins fort. Ses doigts passent de ma chatte à mon cul, comme si rien n’était. Mes jouissances sont de plus en plus fréquentes, de plus en plus intenses. Cette queue dans ma bouche m’empêche de crier, de hurler. Je suis à bout de souffle. Je suis prise en levrette, par la chatte, par le cul. Je continue à sucer. Là, je n’en ai pas une, mais deux à pomper.
Je comprends qu’ils sont plusieurs. Pas deux, mais bien plus. Les bites se relayent dans ma bouche et dans ma chatte. Je n’en finis plus de jouir. Plus rien n’a d’importance. Je suis changée de position. Cette table si étroite, je me retrouve couchée dessus en équilibre. Je ne peux pas tomber, je suis entourée. Combien sont-ils? Ils parlent entre eux, je suis devenue leur jouet. Tous mes orifices sont ouverts à leur convenance de l’instant, j’ai oublié le froid, l’odeur. Certains préfèrent ma chatte bien chaude et humide, d’autres affectionnent mon cul très ouvert et avenant. Oui, j’aime toutes ces jouissances à répétition. Ceci n’était qu’un début, qu’un amusement, avant de passer aux choses sérieuses. Je suis prévenue, je suis une salope et je dois leur montrer. J’aime les queues, alors il va y en avoir! Et il faudra bien s’en occuper. Je suis là pour ça.
On me déplace à nouveau. Cette fois, ce sera sur un matelas posé à même le sol. Je m’empale sur une queue, mon cul est pris à l’assaut par des doigts habiles, et ma bouche doit lécher, sucer, pomper plusieurs bites. Je jouis, je jouis, je jouis, je hurle quand ma bouche a été libérée de ses occupants. Je suis à bout de souffle.
On m’offre un rafraîchissement… Je le fais durer pour tenter de reprendre mes esprits, mais impossible. Ma chatte est à nouveau occupée, puis ma bouche, puis mon cul. Je ne suis pas assez chienne d’après eux. Je ne suce pas correctement selon leurs dires. Et pour bien me le prouver, l’un d’eux s’allonge. Je vais le pomper langoureusement, méthodiquement, avec application. Ma tête est maintenue de force. Pendant ce temps, un autre me prend en levrette. Je ne me cambre pas assez, ça l’agace, et il me le fait bien comprendre en me claquant les fesses, en me pinçant fortement les seins et en me flanquant de grands coups de queue bien profonds. Les autres ne sont pas loin, je le sens. Je commence à fatiguer, pas eux ! Je dois continuer, c’est eux qui décideront quand cela sera terminé. Pas moi.
D’un commun accord, ils choisissent de me punir : direction une cage. Mes mains sont à nouveau enchaînées, cette fois aux barreaux de la cage. Je suis à genoux, les bras levés. Une verge se présente à ma bouche à travers les barreaux. Je ne peux la tenir qu’avec mes lèvres. Je sens bien qu’ils ne vont pas me laisser très longtemps toute seule… Une queue, puis deux, puis une main qui se fourre dans ma chatte. Je suis exténuée, mais c’est tellement bon de jouir encore et encore, et de donner beaucoup de jouissance à ces Messieurs! Je suis libérée de ma cage bien vite pour à nouveau donner et recevoir du plaisir. Certains se vident sur moi, d’autres dans ma bouche ouverte, pour recevoir ce nectar que j’apprécie tant. Visiblement, ils sont ravis. Moi aussi. Fatiguée, mais tellement ravie !
Je suis enfin autorisée à enlever mon bandeau et là, je découvre sept hommes rayonnants rien que pour moi! Mon Maître n’est jamais parti (je sais qu’un jour, il le fera mais pas cette fois), il est resté tout ce temps à nous observer. Je découvre les lieux, une cave très bien aménagée, le siège d’infortune, la Croix de Saint André… Quel après-midi !
Mon Maître me promet d’autres sorties sexe. Pour lui, sept hommes satisfaits, cela veut dire que je peux en contenter plus, beaucoup plus… Alors, la suite de mes histoires coquines dans un prochain numéro d’Union. Je ne manquerai pas de vous les raconter.
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Franck
Oouuuaaaaaaa