Marie, une amante inoubliable

La rédaction 28 février 2025

J’aimerais partager, dans cette histoire de sexe amateur, ma soirée quelque peu épicée avec mon amante Marie. Le bruit de ses talons résonne encore dans mon appartement, lorsque je vous écris ces lignes.

Un parfum de domination

Ce soir-là, nous avions convenus de nous retrouver à mon appartement. J’attendais donc patiemment l’arrivée de ma maîtresse dans la chambre. La pièce était silencieuse, à peine éclairée par le halo blafard d’une lampe de chevet. Je regardais l’heure sur mon téléphone, pour la dixième fois depuis qu’elle m’avait envoyé son message. « Je serai là à 22h. » Il était 21h52. Mon cœur battait plus vite que je ne voulais l’admettre.

Elle avait toujours cet effet sur moi, Marie. Une façon d’entrer dans une pièce comme si elle la possédait déjà. Ses yeux, d’un vert improbable, semblaient fouiller les recoins de votre âme, et son sourire… Mon Dieu, ce sourire, mi-moqueur, mi-invitation. Tout en elle me troublait. Et ce soir, elle avait été directe, presque brutale. « Si tu veux que je vienne, prépare-toi. » Je n’avais pas osé demander ce qu’elle voulait dire par là. Pas besoin. Je le savais.

À 22h05, j’entendis la porte de l’entrée s’ouvrir. J’avais laissé les clés sous le pot de basilic, comme elle l’avait exigé. Mon souffle s’est coupé en l’entendant refermer la porte d’un geste possessif. Lorsqu’elle apparut dans l’encadrement de la porte, elle portait une robe noire semblant avoir été dessinée pour elle. Ses cheveux bruns glissaient en vagues, lâchés sur ses épaules, et elle avait ce rouge à lèvres, celui qui me rendait fou. Elle posa son sac sur la table et me regarda, un sourire à la fois joueur et carnassier. « Tu es tendu » murmura-t-elle, sa voix caressant chaque syllabe.

Je déglutis difficilement. Elle s’approche, lentement, comme un prédateur qui jauge sa proie. Je pouvais sentir son parfum avant même qu’elle ne soit à portée de main. Une odeur suave, chaude et épicée. Inoubliable. Elle posa une main sur mon torse, juste au-dessus de mon cœur, qui battait comme un tambour. Ses doigts glissèrent lentement, traçant une ligne brûlante à travers ma chemise. Elle leva les yeux vers moi, et je vis ce reflet dans ses pupilles : le plaisir de savoir qu’elle avait tout le contrôle. « Tu me veux, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle.

Je n’avais pas besoin de répondre. Mon silence était plus éloquent que n’importe quelle phrase. Elle le savait. Elle se rapproche encore, ses lèvres frôlant ma joue, puis mon oreille. Sa respiration chaude me fit frissonner. « Alors regardes moi faire » me souffla-t-elle.

Une amante inoubliable

Sa principale trouvaille la ceinture de mon pantalon, et tout ce qui me restait de lucidité s’évanouit. Le monde s’effaça, réduit à la sensation de ses doigts, de sa bouche, de son souffle. Je ne pouvais que m’abandonner à elle, à cet instant où chaque seconde semblait durer une éternité.

Chacun de ses baisers envoyait des décharges électriques le long de ma colonne vertébrale. Je fermai les yeux, incapable de soutenir son regard trop perçant, trop sûr. Elle me guida en arrière, ses doigts toujours noués autour de ma ceinture qu’elle défaisait lentement. Ses mouvements étaient précis, presque méthodiques, mais teintés d’une sensualité dévastatrice. Lorsque ma chemise glissa de mes épaules, ses mains se posèrent sur ma peau nue, et je me surpris à frissonner sous leur contact. Ses doigts n’étaient pas pressés. Ils exploraient, caressaient, traçaient des lignes invisibles qui brûlaient encore longtemps après leur passage.

Elle me repoussa doucement jusqu’au bord du lit. Je tombai en arrière, les draps froids contrastant violemment avec la chaleur de mon corps. Elle se redressa, me dominant de toute sa hauteur, et commença à défaire sa robe. Ses gestes étaient prêtés, intentionnels, comme si elle savait exactement ce que cela me faisait. Le tissu glissa le long de ses épaules, révélant une peau dorée et lisse. Lorsqu’elle se débarrassa enfin de sa robe, je fus incapable de détourner le regard. Elle portait un ensemble de lingerie noire, simple mais terriblement efficace, et ses formes semblaient sculptées pour la perfection.

Elle grimpa sur moi, ses genoux de part et d’autre de mes hanches, et je sentis son poids s’abattre doucement contre moi. La chaleur de son corps à travers le tissu m’arracha un grognement involontaire, ce qui sembla l’amuser. « Tu en veux plus ? » demanda-t-elle, ses doigts glissant sur ma clavicule, descendant lentement vers mon torse.

Je hochai la tête, presque suppliant, et elle se pencha en avant. Ses lèvres retrouvèrent les miennes, mais cette fois, le baiser était plus profond, plus urgent. Sa langue joua avec la mienne, exploratrice, exigeante. Mes mains trouvèrent enfin le courage de se poser sur elle, glissant le long de ses hanches, s’aventurant sur la douceur de sa peau. Elle gémit légèrement contre ma bouche, un son qui déclencha en moi une vague de désir encore plus forte.

Mes mains devinrent avides, traçant chaque courbe, apprenant chaque creux et chaque douceur de son corps. Je sentis ses ongles s’enfoncer légèrement dans mes épaules, et le mélange de douleur et de plaisir m’envoya au bord du gouffre. Elle se redressa juste assez pour attraper mes poignets et les maintenir au-dessus de ma tête. « Pas si vite » murmura-t-elle, son souffle chaud contre mon oreille. C’est moi qui décide ce soir.

Je n’avais jamais ressenti une telle frustration mêlée d’excitation. Elle jouait avec moi comme un chat avec une souris, et pourtant, je n’aurais voulu être nulle part ailleurs. Ses mouvements étaient lents, calculés, et chaque geste semblait conçu pour me rendre fou. Elle me torturait doucement, me laissant goûter juste assez pour me garder en haleine, mais pas assez pour assouvir le désir brûlant qui me consommait.

Lorsqu’elle se débarrassa enfin des dernières barrières de tissu entre nous, le monde sembla exploser. A cheval sur moi, elle s’empara de mon membre pour s’empaler dessus profondément. Sa peau contre la mienne était une révélation, une fusion de chaleur et de douceur. Elle bougea sur moi, avec une fluidité qui tenait presque de la magie, ses hanches trouvant un rythme qui me faisait perdre pied. Mes mains retrouvèrent leur liberté et glissèrent sur son dos, ses épaules, ses cuisses. Je voulais la sentir partout, la graver dans ma mémoire.

Ses mouvements devinrent plus rapides, plus intenses, et nos souffles se mêlèrent dans une symphonie désordonnée. Je pouvais sentir son corps se tendre, ses muscles se contracter sous mes doigts et sa mouille couler en abondance sur mon chibre durcit d’excitation. Je sentais sa cyprine s’étendre partout sur mon entrejambe à mesure que je la pénétrais. Elle était trempée. C’était divin ! Et lorsqu’elle s’empala plus profondément sur mon gros membre, son cri de plaisir remplit la pièce et je sus que je ne pourrais jamais l’oublier. Elle s’effondra contre moi, haletante, son front reposant contre le mien.

Nous restâmes ainsi, nos corps encore entrelacés, le silence seulement troublé par nos respirations saccadées. Je sentais encore les battements de son cœur contre ma poitrine, et je savais que ce moment, cette nuit, resterait gravée en moi pour toujours.

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