Ce que je sais d’elle
1 juin 2019Michel, 48 ans, Paris.
Elle adore porter des tenues qui moulent bien sa chatte et qui mettent en valeur son cul de salope. Des jeans slim ou en toile bien élastique et surtout taille basse, pour qu’on devine aisément son string ficelle qui entre à fond dans la raie de son cul et divise les lèvres de son dito.
Dans la cuisine, elle se met souvent dans des positions baissées, les jambes tendues et bien écartées, surtout la tête basse : dans cette posture, elle est sûre que son string ressort bien et que tout le monde peut la mater ! Excité comme un dingue à force de la voir dans ces positions de salope, je ne résiste pas. Je tire sur son string afin d’émoustiller sa chatte et je passe ma main dans son pantalon jusqu’à atteindre la raie de son cul. Elle se relève alors rapidement, complètement chaude. Elle fait semblant d’être offusquée mais déjà, ses gros seins libres de tout sous-vêtement se tendent. Ses tétons explosent sous son T-shirt transparent.Rien ne va plus. Elle est prête à se faire baiser par tous les trous… Ma main se déplace de son cul à sa fente. Je lui enfonce un doigt, puis deux.
Je lui rouie de gros palots en pelotant ses seins gonflés à bloc. Elle se transforme en véritable chienne en chaleur. Je garde mes doigts dans sa chatte et je l’emmène sur le lit. Elle mouille de plus en plus. Je la débarrasse rapidement de son jean moulant dont la braguette est déjà ouverte et je lui enlève son T-shirt humide de sueur. Elle me demande de prendre mon téléphone portable pour la photographier… La voilà en string, les seins à l’air, les jambes écartées avec sa chatte qui a tellement mouillé qu’elle inonde le tissu. Elle pousse des petits cris en se doigtant, tantôt la chatte, tantôt le cul. Je lui montre alors ma grosse bite en érection qui ne demande qu’à défoncer ses trous.
Mais elle préfère un avant-goût en suçant ma queue que j’enfonce le plus possible Je harponne ses cheveux pour lui donner le bon rythme de pompage et être sûr de faire aller ma tige au plus profond de sa gorge.
Elle est impatiente que je jouisse dans sa bouche pour avaler tout mon foutre. Souvent, elle alterne entre fellation et branlette, puis elle crache sur ma bite pour que tout soit bien humide. Elle change de posture, entre levrette et le missionnaire, jambes en l’air et cuisses écartées. Bientôt épuisée, mouillée de partout et remplie de sperme dans tous les trous, elle s’endort totalement nue, les bras sous la nuque et la chatte à découvert…
Elle aime laisser son string sur sa table de nuit pour que je la bourre de nouveau au petit matin. J’adore prendre ce bout de tissu odorant, renifler cette bonne odeur de mouille et m’exciter dessus. Je le frotte sur ma bite, puis je promène tout doucement mon engin sur sa chatte jusqu’à le lui enfourner. Elle est alors saisie d’un léger frisson, mais fait semblant de continuer à dormir… Alors que je lui enfonce petit à petit mon zob dans la chatte, elle pousse des cris aigus.
J’accélère alors le rythme et bien vite, ma bite est prête à redéfoncer ses orifices. Ensuite, je lui fais humer son string plein de mouille. Son désir de baiseuse reprend. Je vais lui en remettre à fond dans tous les trous. Pour bien l’exciter, je lui enfonce deux doigts dans la chatte pour la refaire mouiller. « Tu en veux encore, gros porc ! », me lâche-t-elle. Et elle se place à quatre pattes, son beau cul de salope en l’air — sa position favorite. Alors, je lui en glisse plein, mais cette fois-ci dans le petit trou.
Elle se fait rarement bourrer le fion. D’ailleurs, son œillet est encore tout serré. Pour le dilater, j’y fourre une belle dose de vaseline. Je lui murmure à l’oreille : « Vas-y lâche-toi, je vais te péter le cul ma salope ! », et elle me laisse ouvrir son conduit. Ma bite s’enfonce avec plaisir dans ce trou quasi tout neuf, où je suis prêt à envoyer une bonne dose de foutre. Elle pousse des petits cris de chienne. Je déverse alors quelques giclées de sperme dans son cul adoré. Ensuite, elle me demande de jouir dans sa chatte encore mouillée. Je lui mets deux-trois décharges qui la font crier encore plus fort. Ses cris résonnent.
C’est bon… Je sors alors mon engin de son garage à bites, je m’essuie sur ses seins encore durs pour y laisser quelques traces de sperme. Puis elle se lève, maculée de foutre, pour aller se doucher…
(Image à la une : Getty Images)
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Au doigt et à l’oeil
« J’avais d’ailleurs quasiment atteint le point de non-retour. Quelques passages un peu plus appuyés sur mon clitoris déjà gonflé, et la jouissance s’est emparée de moi, mettant le feu à mes sens, mon ventre, ma chatte, avant d’exploser dans ma tête. » Christine.
Le plaisir de ma coquine
« Nous avons pris l’apéritif, puis je lui ai proposé de regarder ma fiche sur un autre site libertin où j’étais inscrit depuis plusieurs années. » Phil.
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Une rousse incendiaire, au look un peu gothique avec un regard à vous faire péter la braguette et une petite blondinette toute frêle mais très gourmande, voici les 2 nouvelles conquêtes de Rick, qui comme toujours nous fais partager ses plans Q les plus chauds.
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Julie
Belle histoire. Étiquettes « anal » et « sodomie » à ajouter..