Maya la baise
10 octobre 2020Clément, 28 ans, se rend souvent dans un cabaret et a sa performeuse préférée : Maya. A la fin d’un show, il se retrouve dans sa loge…
Ma grande passion dans la vie, c’est le cabaret burlesque. Quand les filles sont sur scènes, quasi-nues, à faire tourner les pompons au bout de leurs nichons, je perds la tête ! En plus, je suis souvent le client le plus jeune de la salle, alors j’ai parfois l’occasion de croquer en coulisse. La dernière fois, j’ai même eu le droit de faire des photos. Que je partage avec mes copains et mes copines d’interstron.ru à travers cette histoire de sexe !
La petite canaille s’appelait Maya. Elle était nouvelle dans le business mais déjà très douée. Je l’ai découverte dans un show confidentiel de Pigalle, et comme elle me plaisait, je suis retourné la voir plusieurs soirs de suite.
Un jeu s’est instauré entre nous : elle me matait pendant sa performance et moi, je levais ma coupe de champagne dès que nos regards se croisaient. C’était très excitant, un peu comme si elle ne dansait que pour moi. Le quatrième soir, une serveuse m’a fait passer un billet avant le début du show. Dessus, Maya avait écrit : « Rejoins-moi dans ma loge », avec une marque de rouge à lèvres comme signature. Quand elle est montée sur scène et m’a lancé un sourire, j’ai senti mon estomac faire le grand huit.
Un quart d’heure après, j’étais devant la loge de Maya, c’est-à-dire une espèce de petit cagibi au sous-sol du théâtre. J’ai toqué à la porte et la belle m’a ouvert. Elle était encore plus séduisante de près… Surtout qu’elle était entièrement nue ! Elle m’a chopé par le col et m’a fait entrer en piaillant : « Vite, les autres filles m’ont laissé vingt minutes ! » Je n’en demandais pas tant.
En trois coups de cuillère à pot, Maya m’a déshabillé et m’a poussé dans un fauteuil tout crevé. J’ai préféré ne pas imaginer combien de paires de fesses s’étaient assises là… En plus, ça caillait dans la pièce. Heureusement qu’il y avait un petit chauffage d’appoint dans un coin, et puis que la belle avait décidé de me réchauffer ! Quand j’ai eu la danseuse à mes pieds, ma grosse quéquette a redressé le nez. « Dis donc, tu es super bien monté ! », a fait Maya d’un air ravi. Puis elle m’a empoigné pour me branler énergiquement.
Quand j’ai été dur comme elle le souhaitait, elle a ouvert grand le bec et m’a invité à entrer. Quel plaisir ! Après l’avoir admirée et fantasmée, j’ai pu lui enfoncer ma queue dans la bouche. Miam, miam ! Elle a tout bien récuré, du gland jusqu’aux roustons. Et puis la belle a décidé qu’il était temps de me chevaucher. Elle s’est redressée face à moi et je lui ai craché sur le bonbon, pour être sûr que ça ne raye pas le casque. Mais quand elle s’est mise à califourchon sur moi, mes craintes ont été vite dissipées : Maya était plus humide qu’une tornade tropicale…
Le mieux avec cette position, c’est que je voyais tout. J’avais les lolos de la danseuse pile sous le nez et je pouvais les admirer tandis qu’ils s’agitaient. Je pouvais aussi profiter de son abricot, qui montait et descendait sur mon pieu gonflé. Ça lui écartait bien les lèvres, un régal pour les yeux ! Maya a pris du plaisir comme ça pendant cinq bonnes minutes. J’espérais seulement que le théâtre était bien isolé, parce qu’elle ne s’est pas privée de gueuler.
Quand je lui ai titillé les nichons d’une main et le clito de l’autre, elle a même poussé des pia-pia si fort qu’on a dû l’entendre jusqu’à Montmartre ! Mais elle ne s’est pas arrêtée là : elle avait joui, il fallait que je jouisse aussi. Les yeux encore flous à cause de l’orgasme, elle m’a relevé du fauteuil et s’est mise à genoux.
Puis elle a pris mon joujou entre les doigts et l’a reniflé en riant : « Oh, ça sent moi ! », avant de tout avaler, mouille et jus de gland compris. Quel délice de voir sa bouche déformée par mon engin, maintenant au maximum de son épaisseur ! Face à tant d’ardeur, je ne me suis pas retenu et j’ai tout éjaculé. Puis je me suis rhabillé et j’ai filé en catimini. Depuis, j’ai pu profiter des copines de Maya. En plus d’être une suceuse hors-pair, c’est aussi un excellent agent pour vanter mes prouesses !