Stage pas sage

La rédaction 4 janvier 2025

Dans cette histoire de sexe amateur, je vous parle d’un temps … c’était en mille neuf cent quatre-vingt-treize, responsable de grosses agences d’intérim, j’ai reçu la visite d’une jeune fille en recherche de stage. Khadidja avait tout pour elle, la beauté, la jeunesse et un enthousiasme qui s’accompagnait d’un sourire aux fossettes mortelles. Je suis tombé sous le charme, j’ai signé la convention de stage. Elle m’a suivie partout en clientèle, apprenant les ficelles du métier, petit à petit nous nous sommes rapprochés jusqu’à ce que je craque et que je l’embrase. Je m’attendais à me faire vertement tancer, au lieu de cela, elle m’a avoué que cela faisait des jours qu’elle espérait ce moment. Nous sommes partis immédiatement dans la maison de mes parents, vide à l’époque.

Notre première fois

Nous nous sommes dénudés dans une pénombre sécurisante, Khadidja a tout de suite été intimidée par la taille de ma queue, je l’ai rassurée et prise dans mes bras et nous nous sommes câlinés de longs instants tout en nous roulant des pelles de plus en plus chaudes, je me suis mis à bander sévèrement et j’ai senti, en même temps, ses bouts de seins se dresser contre mon torse et les parfums orientaux qui exsudaient de son sexe. C’est elle qui a osé le premier geste, caressant du bout des doigts mon gland et ma hampe, j’ai glissé une main sur sa chatte, je l’ai portée à mon visage, elle était couverte d’une mouille enivrante.

Nous nous sommes allongés, son corps basané était de toute beauté avec ses obus pleins aux mamelons têtus qui étaient en érection tout le temps et sa silhouette dessinée au pinceau. La tête sur mes jambes, lovée sur le dos, elle branlait ma grosse pine tout en me disant que j’allais pouvoir lui mettre partout où j’en avais décidé, qu’elle avait envie de moi depuis le premier jour. Malgré une certaine pudeur, elle a accepté que je la prenne en photo, un vieux jetable avec flash intégré trouvé dans un tiroir a fait l’affaire.

Khadidja m’a masturbé avec les pieds, elle y avait une douceur innée dans tous ses gestes, il se dégageait de tout son être un désir charnel intense, cela me changeait de ma femme ! Elle m’a un peu sucé puis a déroulé un préservatif qu’elle avait dans son sac à main sur la queue. Elle m’a demandé d’y aller délicatement, car son copain était beaucoup moins bien membré que moi et elle m’a accueillie en elle, allongée sur le dos, ses petits doigts fins écartant ses lèvres intimes et décalottant son clitoris d’un rose soutenu. Dieu ce qu’elle était belle, j’ai adoré la façon dont elle s’est livrée ainsi à moi, sentant bon un parfum que j’ai, depuis, toujours associé au sexe et aux plaisirs interdits de l’adultère.

Initiation sodomie

Malgré son jeune âge, elle vocalisait beaucoup, criait, gémissait très fort, me réclamant de la baiser toujours plus fort, de la démonter, selon ses propres termes. Elle a joui un nombre incalculable de fois et je me suis répandu dans ma capote alors qu’elle m’offrait son cul sublime en levrette. C’était pour sûr notre position préférée, celle qui, quelques coucheries plus tard, allait nous conduire sur d’autres chemins de délectation.

Son petit ami ne voulait pas lui faire de cunni, je lui ai donc fait découvrir le plaisir avec la langue et les doigts, doigts que j’ai pu, doucement, lui introduire tant dans le petit trou que dans la chatte. Son anus était étrangement souple et ne se resserrait pas quand je l’effleurais de mes lèvres ou que j’y glissais mon majeur. J’ai très vite eu envie de la sodomiser, elle ne l’avait jamais fait et m’a demandé la plus grande patience pour ne pas avoir mal. Nous avions alors un rituel, nous prenions un bain, je lui enduisais le corps d’huile d’amande douce puis je la léchais partout sur l’entrecuisse, j’avais acheté un gode en verre afin d’habituer son sphincter à s’élargir paisiblement et lorsqu’elle s’est sentie prête, elle m’a proposé de lui « faire ce que j’aime ».

Elle a eu un orgasme dès notre première fois et s’est révélée encore plus anale que clitoridienne aussi que femme fontaine ! Après cela, nous ne nous sommes plus quittés, je l’ai embauchée et nous avons passé trois ans à baiser en tous lieux, elle me suçait en voiture, me faisait des strip-teases dans la lumière des phares, me demandait de l’enculer sur le capot de ma berline allemande, nous nous arrêtions soudainement en hâte dans un bois ou un parking souterrain et, après un rapide anilinctus, je lui démontais la rondelle jusqu’à ce qu’elle me gicle dessus, maculant mon costume et mes chaussures, m’imprégnant de l’odeur unique de sa cyprine aux saveurs de cumin et de gingembre.

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