Baise sur plage déserte

Je m’appelle Marie-Ange, j’ai 65 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Je souhaite vous raconter le souvenir le plus romantique que j’ai vécu.

Guinguette enivrante

C’était avec mon premier amant, Mehdi, un très beau Marocain avec lequel nous avions décidé de passer quelques jours de vacances, à Villers-sur-mer. Nous n’avions pas nécessairement la même culture, il était assez religieux, moi, plutôt athée, mais nous aimions tous les deux beaucoup le sexe ! Et surtout, je venais d’avoir vingt-cinq ans, j’avais un corps filiforme, tout mince, et des fesses bien formées. Beaucoup d’hommes se retournaient sur mon passage et je me sentais pleinement en confiance.

Mehdi me trouvait magnifique et était raide dingue amoureux de moi, il voulait me faire vivre mille expériences, un peu pour m’impressionner, un peu pour se faire plaisir, à lui aussi. Je me souviens surtout de cette nuit, où nous sortions d’une sorte de ginguette, bras dessus, bras dessous, l’esprit embrumé par l’alcool. Nous chantions des airs que nous venions d’entendre, nous moquions des danses guindées de nos aînés. Puis, voyant la nuit claire et la plage désert, Mehdi m’a emmené près de la mer.

Nous nous sommes assis par terre, le sable était frais et humide, mais il flottait dans l’air comme un vent d’apaisement. Le murmure des vagues était sublime, la faune habituelle, mouettes, crabes, coquillages divers s’étaient endormis. Mehdi a saisi un de mes seins, facilement accessible quand on poussait un peu les tissus de ma robe cache-cœur. Il m’a renversé sur le dos et sa bouche est venue se coller à la mienne. Nos deux souffles se sont rapidement mêlés l’un à l’autre, nous avions l’habitude de nous embrasser pour n’importe quel prétexte.

Parcours sexuel sur plage déserte

Je me suis dit que des passants pouvaient nous surprendre à tout moment, mais tant que nous ne faisions rien de mal, il n’y avait aucune raison de s’inquiéter. Ses mains ont continué leur exploration en se promenant sur mon corps derrière le vêtement. J’ai senti ses doigts sur mon ventre, mon pubis, le haut de mes cuisses. Puis, il a retroussé les volants de ma robe au-dessus de mes hanches et a pressé très fort son poing contre ma petite culotte en coton. À ce moment-là, j’ai su que j’étais cuite.

J’avais très envie de sexe, de son sexe, et j’aurai fait n’importe quoi pour qu’il me pénètre, là, sur cette plage. Il a simplement ouvert le «zip» de sa braguette, a sorti sa bite que j’ai à peine eu le temps d’apercevoir dans l’obscurité, et, en un éclair, il est entré entre mes jambes. Il m’a dit de ne pas bouger, il devait être le seul maître des à-coups, des mouvements, pour être le plus discret possible. Malgré la fraîcheur de la soirée, je me souviens avoir particulièrement apprécié la chaleur de son corps, au-dessus du mien. Son torse puissant et son souffle chaud me maintenaient à l’abris du vent frais.

Ma chatte, moite, accueillait superbement son sexe qu’il n’a eu aucun mal à rentrer. Le seul point négatif ? Les grains de sable qui glissaient contre mes cuisses et qui s’infiltraient dans la raie de mes fesses. C’était assez désagréable. Sinon, je ne garde qu’un très beau souvenir de ce moment, à la fois de la douceur des allers-retours de Mehdi, mais également de l’ambiance, calme, silencieuse, sourde qui nous enveloppait tous les deux. Comme si nous étions rentrés en comminterstron.ru avec la mer, comme un prolongement des vagues.

Il a joui par terre et a recouvert «les preuves» en retournant le sable humide. Nous sommes restés encore quelques minutes enlacées l’un avec l’autre. Ma mémoire peut me faire défaut, mais à ce moment, je crois que Mehdi m’a fait une déclaration d’amour. En tout cas, c’est comme ça que j’aime me raconter l’histoire. Puis nous sommes rentrés à l’hôtel, là où nous avions posés nos valises. Plus jamais je n’ai connu un moment aussi doux, aussi intrépide par la suite. Et pourquoi pas ! Nous grandissons, et avec, prenons en maturité et en responsabilité.

Mais aujourd’hui, à chaque fois que je regarde la mer, je repense aux mouvements lents du corps de Mehdi sur le mien. Et à son regard, perdu, et pourtant si concentré, qui me dit, à ce moment-là, que je suis tout pour lui.

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