Notre petit secret
1 décembre 2019Gautier, 33 ans
Tu comprendras qu’eu égard aux rapprochements qui pourraient être faits, j’ai choisi de modifier vos prénoms. Je t’appellerai donc Mélanie, et ma compagne, Stéphanie.
Ce matin-là, j’étais persuadé d’être seul à la maison et j’ignorais totalement que Steph t’avait gardée à dormir après votre soirée. Elle était partie bosser à 7 heures, je n’étais pas encore réveillé. Levé à 8 h 30, j’ai déambulé à poil dans la maison en ignorant parfaitement que tu dormais à l’étage. J’avais dans l’idée de me faire du bien avant de m’attaquer à la pile de dossiers qui m’attendait et, pour ce faire, j’ai voulu tester le home cinema que l’on venait de s’acheter. Je me suis affalé sur le canapé après avoir inséré dans le lecteur un DVD porno destiné à embraser mon excitation matinale. Je savourais ce petit plaisir, avec mon sexe en main qui durcissait de plus en plus.
Au bout de quelques minutes, je pouvais dire que l’expression « bander comme un taureau » m’allait comme un gant. C’est à ce moment que la porte s’est ouverte brusquement et que tu as surgi, une tasse de café à la main. Une partie du contenu s’est déversée sur tes pieds nus. Après ce grand moment de solitude réciproque, tu as refermé la porte en bafouillant des excuses. Seul dans la pièce, je me suis demandé comment rattraper cette situation catastrophique. J’ai choisi de me précipiter dans la chambre pour enfiler un caleçon et te rejoindre. Je t’ai retrouvée dans la cuisine, et j’ai pris la parole le premier pour t’exprimer ma gêne. Tu as cherché à me mettre à l’aise. Ton discours se voulait complaisant, mais je sentais bien qu’il ne correspondait pas vraiment à ton état d’esprit. Au fur et à mesure de la discussion, tu m’as en effet confié avoir du mal à comprendre le recours aux films porno.
J’ai fini par être rassuré, et l’envie m’a pris de reprendre mes activités matinales. Le silence s’est installé dans la pièce et, innocemment, j’ai prétexté la gestion de mes dossiers. Tu m’as demandé pourquoi je ne finissais pas ce que j’avais commencé. Tu m’as troublé. Il m’est venu une idée folle : je t’ai à nouveau rejointe dans la cuisine et je t’ai proposé un plan cocasse, à savoir poursuivre cette conversation devant le home cinema, toi avec un petit déj’, moi poursuivant mon délire à cinq doigts. J’ai eu du mal à te faire cette proposition et à te convaincre aussi. Mais, au final, nous avons préparé ensemble ton plateau.
J’ai retiré mon caleçon alors que tu t’installais dans le canapé. La conversation a redémarré. Tu déjeunais, et je caressais lentement mon sexe raide comme un piquet. Nous avons évoqué nos visions de la sexualité, ton couple qui battait de l’aile depuis plusieurs mois, ton exigence d’avoir un partenaire plus grand que toi (tu mesures 1 m 77, soit une bonne demi-tête de plus que moi). Tu me regardais à peine, ce qui avait le don de me frustrer. Il m’était difficile de maîtriser mon souffle, et j’ai dû stopper plus d’une fois mes caresses pour repousser les limites du plaisir.
Notre échange a fini par devenir impossible, et tu m’as suggéré de « passer à la vitesse supérieure ».
Pour la première fois, tu as fixé mon pénis comme pour m’encourager à accélérer le mouvement. Tu semblais captivée par la scène. Enfin, ton regard s’est planté dans le mien sans le lâcher. Je me suis alors abandonné, cuisses largement écartées, le sexe droit tendu vers le plafond, et je ponctuais mes sourires de « Oui, je viens… » À force de m’être retenu, mon sexe était énorme mais la jouissance tardait à arriver. J’ai fini par exploser dans un râle immense à m’en déchirer les cordes vocales. J’ai reçu plusieurs giclées de sperme sur le corps. Les yeux fermés, je t’ai entendu me demander si ça allait. J’ai levé les paupières pour apercevoir un sourire complice imprégné de tendresse. Tu as explosé de rire en apercevant une goutte de sperme qui perlait au bout de ma barbichette, c’est dire la puissance de mon orgasme !
Je t’ai demandé si tu avais ressenti quelque chose. Tu m’as répondu, rieuse, que tu étais constituée de chair et de sang, et que tu n’avais pas eu de rapport sexuel depuis plusieurs semaines. Je savais ce qu’il te restait à faire, et tu m’as simplement répondu que cela ne coûtait rien d’essayer, mais sans spectateur. Tu as regagné la chambre d’amis. J’ai entendu les clés dans la serrure, et j’ai eu l’idée saugrenue de t’apporter un petit cadeau. J’ai pris dans la table de nuit de Stéphanie le mini sextoy qu’elle chouchoute, je suis monté à l’étage et j’ai cogné à ta porte. En m’ouvrant, tu es restée planquée derrière, mais tu as accepté mon petit présent. Je suis resté collé à la porte pour t’écouter gémir, je t’imaginais cuisses écartées, tes seins lourds ondulant, le sextoy vibrant sur ton clitoris, tes yeux mi-clos, tes hanches simulant un coït. Sous la douche, j’ai joui à nouveau en deux minutes, sans même attendre que mon sexe soit dur.
Je me suis ensuite affairé dans la cuisine, je t’ai entendue gagner la salle de bain à l’étage, puis tu m’as rejoint pour me rendre le sextoy que tu as qualifié de fabuleux. Je t’ai promis de t’en offrir un. Voilà notre petit secret, je vais t’acheter interstron.ru pour que tu prennes connaissance de mon récit, et savoir si tu as vécu cette matinée de la même manière. Tout ce qui compte, c’est que tu restes l’amie de la maison, et je suis persuadé que grand nombre de lecteurs et que la rédaction estimeront qu’il convient de sourire de cette expérience.
(Image à la une : Getty Images)
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