Jeu, sexe et match !
8 août 2024Si le gazon se fait rare, quoi de mieux qu’une surface rapide pour préparer les tournois à venir. Amaury a décidé de sortir sa grosse raquette pour prendre de bien belles créatures dans ses filets. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le coup s’est avéré gagnant. Boules neuves !
Par un bel après-midi de printemps, Amaury et Anthony décident d’échanger quelques balles pour préparer leur tournoi de tennis du week-end.
Quelle bonne surprise que de découvrir les lieux totalement vides, pas le moindre joueur à l’horizon ! Après une séance d’échauffement, les premiers échanges commencèrent. Concentrés, les amis ne se rendirent pas tout de suite compte qu’ils étaient observés.
C’est Anthony qui, le premier, remarqua un mouvement derrière les grilles, quatre jolies petites nanas étaient là, gazouillant et ricanant en les regardant. Les jeunes femmes démasquées se ruèrent sur la clôture, toutes les quatre très sexy dans des tenus dignes de pom-pom girls.
Elles voulaient échanger des balles, pas de tennis, mais de pénis ! Une brunette décomplexée tomba les bretelles de son tee-shirt pour révéler deux jolis seins bien ronds. Mais cette exhibition n’en resta pas là, l’une de ses copines, munie d’une bombe de chantilly, vint lui déposer deux monticules de crèmes fouettées sur les mamelons.
Il allait falloir à Amaury et Anthony toute leur imagination pour les faire disparaître, après tout, quelques sucres rapides après l’effort ne leur feraient pas de mal. Chacun choisit un côté et lécha le téton qu’il avait sous la langue.
Les bouts de seins commencèrent à bander ostensiblement tout comme les membres des deux amis qui furent vite à l’étroit dans leur short de sport.
Personne ne faisait plus attention aux trois autres nymphes qui n’avaient pas perdu leur temps, d’aucune ayant abandonné son bas, d’autres encore s’étaient mis les nichons à l’air, le trio avança enfin pour faire plus ample connaissance avec ces deux beaux mâles visiblement prêts à toutes les folies avec elles !
Une blonde vénitienne et la brune aux fantasmes pâtissiers se rapprochèrent d’Anthony, elles abaissèrent un peu plus le short bleu moulant qui recouvrait l’objet de leur désir et sortirent un superbe manche de raquette. Le pieu était massif, déjà bien tendu et les filles n’eurent aucun mal à le décalotter afin d’en admirer le gland.
Le casque de chair luisait de pré-sperme sous le soleil qui inondait le court, deux langues se réunirent au sommet du petit dôme et entamèrent une danse des plus sensuelle. En arabesques descendantes, la tige fut bientôt couverte de salive et les mouvements de pompes s’enchaînèrent, la bite avalée entièrement, tantôt par l’une, tantôt par l’autre.
Anthony jeta un coup d’œil vers son partenaire de match, pour lui aussi, la situation avait bien évolué. Il connaissait son ami par cœur et savait que son équipement était au-dessus de la moyenne.
Il n’y allait pas avoir trop de deux demoiselles pour venir à bout de sa queue grand format ! La brune à la chevelure de jais, aidée par la fille en baskets roses au corps parfait, avait réussi à extirper le morceau par la petite ouverture de la braguette.
Elles s’échinaient dessus dans un ballet à deux bouches des plus revigorants. Amaury était véritablement ce qu’on appelle un homme bien, très bien monté !
Sa queue devait dépasser les vingt centimètres de longueur et la colonne bandante tenait à peine entre les mains frêles de ses compagnes de jeu.
Ne reculant pas devant l’hydre, les jeunes femmes, accroupies, branlèrent et sucèrent la grosse hampe, n’oubliant pas de donner quelques délicats coups de langue sur le frein et le gland qui brillait au soleil.
Mais comme dans tous les matchs de tennis, on procéda au changement de côté, ce sextuor mixte se sépara en deux, les quatre filles d’un côté du terrain, les deux garçons de l’autre, tous les joueurs montèrent au filet. L’enjeu était simple, l’équipe féminine voulait vérifier le bon état du matériel masculin.
Une nouvelle orgie de fellation s’engagea alors. La situation était … nette, les deux braquemarts de ces messieurs étaient tout à fait opérationnels pour un second set !
Les choses sérieuses purent enfin commencer après cette manche d’observation, chacun avec sa technique. Amaury et Anthony furent tour à tour allongés sur le sol pour y être chevauchés bestialement, les longues bites déclenchant la pâmoison de ces dames. Puis ils furent mis durement à contribution pour les baiser avec autant de puissance qu’il le pouvait sur le banc ou à même le sol du court.
Très libres, les filles se cédaient la place les unes aux autres et, tandis qu’un binôme se faisait démonter, le second se caressait, échangeant de sensuelles pelles lesbiennes, allant même jusqu’à se frotter mutuellement la chatte, le cul et les seins.
Les coups de reins des garçons pleuvaient, provoquant les clapotis des chairs qui s’entrechoquaient et des vagins mouillés à l’extrême libérant des jaillissements de cyprine qui se séchaient quasi instantanément sur la surface surchauffée.
Anthony et Amaury, eux, étaient au paradis, dégustant chaque nouvelle pénétration, chaque changement de fourreau, chaque paire de nibards ou de fesses inédite qui s’offrait à leurs mains et à leurs effleurements.
Les sillons étaient serrés, étroits, les nymphes enjouées semblaient s’enrouler telles des lianes autour de leur membre dressé, les ahanements et divers gémissements fendaient l’air à l’instar de la foule exultant les jours de grande confrontation.
Les balles des deux hommes étaient caressées et pelotées doucement, eux-mêmes au service du plaisir de quatre affamées, bien décidées à venir chacune au moins une fois avec l’un comme avec l’autre.
C’est finalement à quatre pattes, par terre, les raies bien ouvertes et les vulves totalement disponibles que les plus intenses orgasmes se déversèrent dans leurs veines.
Toujours cajoleuses entre elles, sans rivalité aucune, pas une n’atteint le paroxysme de la jouissance sans le concours de ses amies. Les garçons leur pistonnaient le cul, faisant tout pour tenir la distance et arriver au bout de ce marathon de sexe endiablé. Pendant ce temps, chacune prenait soin de pincer tendrement les mamelons de celle qui se faisait pilonner, de lui câliner le dos et les fesses, de l’embrasser ou bien encore de lui titiller le clitoris.
Parfois un des deux amis ressentait une petite faiblesse, mais il y avait toujours une ou deux bouches secourables à portée de bite. Les lèvres s’ouvraient, accueillantes, chaudes et voraces, les langues se remettaient en action jusqu’à rendre sa superbe au membre temporairement fatigué, mais quel joueur international n’a jamais connu un coup de mou ? La barre défaillante ayant recouvré tout son volume et la tension de la corde étant maximale, elle pouvait retrouver le fil du match derechef.
Les cris de jouissances s’unirent à plusieurs reprises, alors, les adorables partenaires d’Amaury et d’Antony firent tout pour que ces derniers parviennent eux aussi en finale, chacun prenant son pied par le biais qui lui seyait le mieux. Amaury pénétra le cul de la seule qui réclamait une sodomie, la belle blonde vénitienne n’avait pas peur de son énorme chibre et le laissa l’enculer jusqu’à la garde, celui-ci prenant appui sur sa chute de reins pour lui laminer la rondelle jusqu’à éjaculer tout au fond de ses entrailles.
Ses jets fusèrent à cinq ou six reprises, embrasant l’œillet bien dilaté et ouvert, un filet de crème s’échappant de l’orifice rougi.
Quant à Anthony, il s’offrit un dernier plaisir buccal, deux jeunes femmes étant visiblement très amatrices de son long sexe toujours en érection.
C’est grâce à leurs bons soins linguaux et digitaux qu’il finit par rendre les armes. Dans un interminable râle, il balança sa sauce, des traits puissants et volumineux qui emplirent les deux palais qui s’affairaient sur sa pine tremblante de délicieuses sensations qui lui descendaient jusque dans les couilles.