Ode à Onan

L’autre soir, je matais ma voisine, comme j’en ai l’habitude depuis que cette plantureuse quinquagénaire aimant les bains de soleil a emménagé à côté de chez moi. La dame, visiblement libérée, a pour habitude, les fins d’après-midi ensoleillées, quand elle rentre du travail, de se servir une limonade et de s’allonger seins nus sur sa chaise longue, seule, car elle est divorcée. Elle somnole et elle bronze. Je peux alors admirer ses larges auréoles brunes autour de ses tétons dressés, le volume généreux et ferme de sa poitrine, et regarder son beau visage s’abandonner aux rayons du soleil. Moi, je me poste au balcon de ma chambre, un peu en retrait, pour voir par-dessus le muret qui sépare nos jardins. Avant-hier, je me suis même mis à me masturber en la regardant, c’était plus fort que moi, je la trouvais trop belle et rien ne me fait autant d’effet que les images réelles, au contraire des vidéos.

J’ai sorti ma queue qui répond toujours très bien et je me suis mis à me palucher avec entrain sans cesser de fixer sa poitrine et son visage, comme le vieux pervers que je suis… Je me suis penché un peu plus en avant tout en tenant mon membre dressé et c’est là que – surprise ! — elle a ouvert les yeux et m’a découvert en pleine action ! J’ai battu en retraite à l’intérieur de la chambre, complètement honteux et affolé. Puis j’ai risqué un regard dehors, prêt à me répandre en excuses. Quand j’ai vu qu’elle n’avait pas bougé de sa place et qu’elle était toujours étendue, à demi-nue, le sourire aux lèvres, je l’ai regardée d’un œil interrogateur. C’est alors qu’elle s’est mise à se caresser les seins. Elle n’avait pas froid aux yeux ! Visiblement, mon excitation avait éveillé sa libido et elle se massait la poitrine et effleurait ses tétons en regardant mon entrejambe pendant que je la fixais, bouche bée. à demi-caché par un battant de volet, j’ai à nouveau dirigé ma main vers mon sexe et je me suis remis à me branler doucement. Elle m’y encourageait toujours avec un sourire engageant, et plus encore quand elle a descendu ses mains vers son intimité pour se caresser. Sans pudeur, ma chère voisine a finalement retiré sa culotte et j’ai pu voir sa chatte dotée d’une belle toison bien taillée, qu’elle s’est mise à doigter méthodiquement. Sa tête se renversait en arrière et elle accélérait ses mouvements pour se donner le maximum de plaisir. Ses doigts entraient en elle et de son autre main elle se branlait en même temps. Son doigt humide de mouille venait se porter sur un mamelon pour le caresser à son tour. Parfois, elle redressait la tête en m’incitant du regard à faire de même et, enhardi par son comportement, je me suis avancé un peu plus sur le balcon pour qu’elle voit ma main aller et venir sur ma queue. J’imaginais passer ma bite entre ses deux gros nichons et qu’elle les resserre autour de mon membre avec ses mains pour me faire une branlette espagnole. Je m’imaginais lui éjaculer dessus, voir ses seins couverts de sperme.

Elle faisait bouger sa poitrine en regardant mon sexe que je branlais vivement, tout en se caressant de plus belle, en s’astiquant le clito à une vitesse folle. Je l’ai entendue gémir depuis mon balcon et j’ai giclé sans la quitter des yeux, émettant un râle de plaisir pour lui témoigner ma gratitude. Elle m’a fait un petit signe de la main avant de rentrer chez elle, culotte à la main. J’attends la suite…

(Image à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Canicule…

« Mon copain ne portait pas de slip sous son jogging, alors je voyais très bien qu’il bandait à fond. Je me suis sentie moite d’en bas. » Audrey

Coup de pine en forêt

« Elle a alors retiré délicatement sa robe et ses dessous, en les posant sur une petite pierre. « Maintenant, je veux que tu écartes ton cul ! La Terre entière doit voir toute ton intimité. » Elle s’est exécutée et j’ai pris quelques photos. » Brice

À retrouver sur notre plateforme VOD