Oh Gaby
5 juin 2022Patricia est la belle-mère de Gabriel qui fantasme secrètement sur elle. Un jour, elle le surprend et découvre qu’elle éprouve également du désir pour lui !
Après un divorce, je suis en couple avec un homme que j’aime beaucoup, Pablo. Je suis aussi devenue la belle-mère de Gabriel, 22 ans, un jeune garçon charmant. Je ne le considérais pas vraiment comme un adulte jusqu’à récemment. Il s’est passé une chose inattendue entre nous. J’étais en train de trier le linge sale et j’ai récupéré un de ses caleçons qui était bizarrement collé par un liquide gluant qui semblait frais. Quand j’ai compris ce que c’était, mon sang n’a fait qu’un tour.
Une découverte cochonne
Ça m’a dégoûtée, alors je n’ai pas réfléchi et j’ai attrapé la pièce à conviction pour l’agiter sous son nez. « Tu sais que c’est moi qui fais la lessive ici quand tu rentres de la fac chez ton père ? Un peu de décence, ça t’embêterait ? » Gabriel a rougi jusqu’aux racines de ses cheveux. Je ne voulais pas le mettre aussi mal à l’aise, et je ne sais pas pourquoi, ça m’a un peu adoucie. Nous étions seuls dans la maison ce jour-là.
Il avait l’air tellement mal que je me suis assise à côté de lui sur la banquette qui était dans le couloir en face de la buanderie et sur laquelle il était en train de lire. « Tu sais, c’est privé tout ça, il faut faire attention ! » « Je sais, Patricia… » « T’as une copine en ce moment ? » « Non… » « Quelqu’un qui te plaît, peut-être ? »
Tout à coup, il n’avait plus rien du jeune beau-fils. C’est bien un homme qui m’a répondu avec une détermination déconcertante : « C’est toi. » Moi ? Je ne l’avais pas vu venir, celle-là ! S’en est suivie une discussion dans laquelle je lui ai expliqué pourquoi ce n’était pas possible entre nous. Je me suis rendu compte qu’à mesure que je parlais, mon corps disait l’inverse. Tout à coup, je voyais son torse jeune et musclé, son regard décidé, ses cheveux épais dans lesquels il passait une main soudainement pleine d’assurance. Sa bouche fine et juvénile avait quelque chose de sexuel que je ne savais pas expliquer.
Les envies sexe priment
Nos débats étaient stériles, car il m’expliquait qu’il n’y pouvait rien. Quand il se branlait, c’était en pensant à moi… Je lui disais d’arrêter, et en même temps, je ne cessais de me rapprocher de lui physiquement. « T’es agaçant, avec ton culot. » Les remontrances étaient devenues un petit jeu de séduction entre nous et c’était très plaisant…
Tant et si bien qu’Alex s’est mis à me caresser les bras et la nuque du bout des doigts. Je ne répondais plus de rien. Un élan de désir s’est emparé de moi comme une vague violente. L’attrait de l’interdit est ce qu’il y a de plus fort en matière de libido, y’a pas à dire.
Mes mains ont attrapé sa braguette. « Tu l’auras voulu… » J’ai sorti sa verge qui était déjà bien enflée par son propre désir. Une belle érection comme ça sans rien faire, c’était quand même très tentant ! En me tortillant sur la banquette, ma jupe s’est relevée, révélant mes bas de dentelle et le haut de mes cuisses.
Alex a été hypnotisé en voyant cela. Il a sorti son téléphone pour prendre mes cuisses et mes bas en photo. Loin de m’offusquer, j’ai trouvé ça plutôt audacieux et je me suis trouvée belle. Dans sa manière qu’il avait de me regarder. J’ai eu envie de vivre le truc pleinement. Je ressentais une franche admiration pour ma personne, ce qui ne m’arrive pas souvent. Surtout de la part de jeunes hommes fringants comme lui !
Une belle-mère torride
De toute façon, ça avait déjà bien trop dérapé comme ça et il fallait bien boire le vin une fois qu’il était tiré… Je l’ai imaginé en train de se branler en pensant à moi et ça m’a fait une telle décharge de plaisir entre les cuisses que je me suis mécaniquement penchée sur sa verge pour la fourrer dans ma bouche. C’était irrésistible, délicieux, une bite aussi ferme et vigoureuse !
Je me suis régalée, à promener ma bouche sur ce gland si rose. Si bien fait, à avaler son chibre en gorge profonde pour le sentir défaillir dans l’antre de ma bouche. Ses gémissements de puceau à mes oreilles. Il m’excitait trop. Il a joui en quelques minutes sur ma langue.
Je suis restée à côté de lui sur la banquette en lui caressant les cheveux et il a glissé une main dans ma culotte pour me caresser le clito jusqu’à l’orgasme, guidée par mes soins. Je n’ai pas eu besoin de grand-chose non plus pour jouir, ayant de surcroît eu très peur d’être surprise en plein péché de luxure par mon nouveau compagnon. C’était une folie, et je garderai ce secret pour moi jusque dans ma tombe, mais je ne regrette rien.