Orgie prénuptiale
15 mars 2019Justine, 33 ans, Bordeaux.
Cette aventure remonte à l’été 2010. J’avais 26 ans et j’étais en pleins préparatifs pour mon mariage avec Elias, mon amoureux depuis mes 20 ans.
Comme toutes les filles qui vont se marier, j’ai dû faire des dizaines d’essayages de robes de mariée. Un grand moment de solitude pour moi, je déteste essayer des fringues. Je sais, pour une fille, ce n’est pas banal mais bon. Bref, il y avait cette petite vendeuse qui me conseillait non-stop. Elle était très jolie, une vraie poupée, le genre de fille dont rêvent tous les hommes. Mais elle n’était pas mariée. Je lui avais posé la question. Bizarre. Quoique. Plus j’essayais les robes, plus elle « m’aidait ». C’est-à-dire qu’elle ne quittait même plus le salon d’essayage quand je me changeais.
Au bout d’un moment, elle m’a glissé : « Ça vous ennuie si je fais une photo ? C’est pour mon album souvenir. » J’ai été interloquée mais j’ai accepté, à condition qu’on ne voie pas mon visage. Elle m’a shootée avec son portable alors que je changeais de sous-vêtements. Elle a regardé l’écran de son smartphone et a commenté : « Vous êtes superbe ! » Moi, j’ai voulu voir la photo, alors je me suis approchée. C’est là que la vendeuse m’a enlacée et a laissé courir sa main sur ma hanche. Un frisson m’a parcouru. Je n’ai pas été surprise. Depuis le temps qu’elle stationnait dans ma cabine !
Ses mains sont descendues sur mes fesses, et un doigt a fureté le long de ma fente, en passant par-derrière. J’étais trempée. Déjà. Comme quoi, on a beau se croire hétéro, une jolie fille vous touche, et hop ! Soudain, des images de films porno m’ont traversé l’esprit. Je me voyais livrée aux mains de cette poupée perverse qui, sous ses airs angéliques, serait la plus grosse des cochonnes. Elle me lécherait, me fouillerait le cul, me baiserait dans tous les sens avec les plus énormes des godemichets. Je deviendrais sa chose, son esclave. Ses doigts s’agitaient sur mon clito et dans ma chatte alors que ces pensées obscènes se promenaient dans mon esprit. Un orgasme m’a violemment saisie.
Essoufflée, je me suis entendue lui murmurer : « Je serai à toi, rien qu’une fois, mais domine-moi… » Elle m’a adressé un sourire tellement pervers que j’ai presque eu peur de ma propre proposition. En tout cas, j’avais mis dans le mille ! Elle a répondu : « Commençons tout de suite. À genoux ! » Elle a relevé sa petite robe sous laquelle elle était nue. Elle m’a ordonné de la bouffer. Son sexe était entièrement épilé. Elle a ouvert sa fente à deux mains pour faire jaillir son clitoris et elle a sifflé : « Suce ! » J’ai obéi, la mouille coulait entre mes cuisses, la situation sortait de tous les cadres, je vivais un fantasme. J’ai pris entre mes lèvres son gros dito dur, et je l’ai léché tant bien que mal. J’avais déjà joué avec des filles, mais on s’était plus tripotées qu’autre chose. « Mieux que ça ! » Elle m’a saisie par le voile que j’avais encore sur les cheveux, et m’a enfoncé la figure entre ses lèvres. Ma bouche était collée à son clito, mon menton plongeait dans son vagin qui gouttait de désir. J’ai léché, léché, en aveugle, et soudain, j’ai senti sous ma langue des crispations. Une coulée de mouille m’a couvert le menton et a fui le long de mon cou.
Elle m’a aidée à me relever et a dit « Tu me donneras ton adresse. Je viendrai chez toi ce soir. Tu m’attendras sur ton lit, dans cette tenue, à genoux, de dos. Tu ne te retourneras pas. Je serai seule. Ou pas. Tu auras ce que tu voudras. Maintenant, écris-moi tes coordonnées et va-t’en. J’arrive dans une heure. » Elle m’a tendu un papier et un stylo, puis elle est sortie. J’ai griffonné mon adresse et toutes les infos utiles, et je me suis remise en tenue de ville, tout en gardant sous mon jean les bas, le porte-jarretelles et le soutien-gorge que j’avais dans la cabine. Et je suis rentrée chez moi. Je n’ai pas fermé la porte et je suis allée dans ma chambre. Je me suis remise en dessous, à genoux, dos tourné à la porte, et j’ai attendu. Je me sentais pute et soumise, et j’adorais ça. Je crevais d’envie de me masturber. Après tout, je pouvais ! J’ai fourré trois doigts dans mon minou et je me suis ramonée sur mon lit en repensant à cette fille qui avait enfoncé mon visage dans sa moule, en me donnant des ordres comme à une traînée. Le plaisir montait en vagues dans mon ventre, et j’ai grimacé mon orgasme.
Soudain j’ai entendu « Qui t’a permis de te branler ? » Elle était en avance. J’aurais dû y penser ! J’ai discerné le clic de son smartphone. Elle avait repris une photo de moi. « Tu vois, je t’avais bien dit qu’elle était bonne, cette salope. » Mais à qui parlait-elle ? J’ai essayé de me retourner, mais sa voix autoritaire a sifflé : « Si tu tentes de voir qui est là, on fait demi-tour et tu resteras la chatte vide ! À toi de choisir, tu es libre ! » J’ai baissé la tête. Après tout, j’avais voulu me faire dominer par cette fille, je n’avais plus qu’à assumer.
Je les ai entendus s’approcher (chez moi, il y a du parquet, ça grince…). Deux doigts ont virevolté sur ma fente, j’ai reconnu ceux de la vendeuse. Elle a écarté mes lèvres, et j’ai senti sa langue chaude s’immiscer dans mes chairs. Oh quel pied, elle me fouillait comme une déesse, me tenant à pleines mains par les fesses ! Alors que le plaisir commençait à monter, elle s’est écartée et a dit à l’autre « Voilà, la place est chaude, à toi de la démonter, cette pute. » Ces grossièretés me collaient des frissons dans le bas-ventre. Je ne savais même pas si c’était un homme ou une femme avec elle. Un bruit de latex qu’on déroule m’a laissé penser que c’était un mec. Et, en effet, quelques secondes plus tard, une barre large, longue et ferme m’écartelait le sexe. Un pénis inconnu venait de s’introduire en moi, et je ne connaissais même pas la tête de son propriétaire.
Le fantasme était à son comble. Le membre s’est arrêté un instant, s’est bien calé en moi et a entamé d’habiles va-et-vient, d’abord doux, puis plus violents. Le gland était une tête chercheuse de point G et tapait un peu partout dans mes entrailles. Moi, j’étais toujours à genoux. À ce moment-là, la poupée dominatrice s’est approchée. Elle a défait mon soutien-gorge, soupesé mes seins, puis elle s’est amusée à en pincer le bout avec ses ongles. La douleur que cela me provoquait filait directement dans mon bas-ventre se muer en plaisir, dont les vibrations allaient crescendo. Je haletais, le pénis me baisait de plus en plus fort. La poupée a fouillé dans son sac et en a sorti un vibromasseur. Elle l’a mis en marche et en a posé le bout sur mon clito. C’était intenable tellement c’était bon. Tout mon corps était sollicité. Prise en levrette, le clito branlé par des vibrations ininterrompues, je suis presque tombée dans les pommes tant mon orgasme a été long et puissant.
Mais ce n’était pas fini ! Le temps que je reprenne mes esprits, la poupée s’était harnachée d’un somptueux gode-ceinture. Elle s’est assise sur mon lit et a exigé que je vienne m’empaler lentement sur son sexe factice. Lentement, car elle a pris photo sur photo du gode qui entrait dans mes chairs. Une fois que j’ai été totalement emplie, elle a attiré mon visage à elle et m’a embrassée à pleine bouche, pendant que son complice me léchait l’anus avant d’y fourrer sa barre de fer. Ma première double pénétration : avec un inconnu et une femme dont j’ignorais le prénom ! Et dire que je me mariais deux semaines plus tard ! Remplie par tous les orifices, je me laissais aller à ce bonheur indescriptible. Je n’étais plus qu’un corps dédié au plaisir, je n’avais plus d’esprit, de morale, de conscience. Juste des terminaisons nerveuses, de la peau, des muqueuses, des fluides, de la jouissance. Et, ce soir-là, cette dernière n’a pas manqué pour moi. Notre orgie a duré toute la nuit…
Je ne les ai jamais revus. Je n’ai rien dit à mon futur mari. Tout cela m’est apparu un peu dégueulasse après coup. La poupée m’a envoyé les photos par courrier (elle avait mon adresse !).
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Cinq ans de mariage…
« Lorsque j’ai remarqué du coin de l’oeil deux hommes qui observaient mon petit manège avec insistance, tout a basculé. Puisque mon mari ne souhaitait pas me contenter, j’allais m’offrir à d’autres !» Céline.
Un amant si excitant
« À force de s’acharner sur sa fente au poil naturellement rare, il a fini par lui titiller la rondelle du bout de la langue. Alors, la rouquine s’est cambrée et a joui très vite en se frottant le clito. Il en a déduit qu’elle avait un petit faible pour la stimulation anale. » Nora.
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Un couple décide d’assouvir leurs fantasmes de faire l’amour avec une autre femme