Une panne qui tombe à pic
20 mai 2019Kitty, 27 ans, Clermont-Ferrand.
Je m’appelle Kitty, j’aurais bientôt 27 ans, et je suis très libérée ! Je bosse comme serveuse dans un bar minable d’un quartier pourri de Clermont-Ferrand. Mais bon, la paye est bonne, et je n’ai pas à travailler le week-end, alors je ne vais pas me plaindre… Bien sûr, comme je suis blonde à forte poitrine, c’est moi que les clients emm… le plus. Ça va des plaisanteries lourdes à des gestes déplacés. Les habitués, eux, me respectent. Il leur arrive même de me protéger quand un client de passage se montre trop ennuyeux.
Un mercredi soir, il y a une semaine, ma voiture était chez le garagiste, et je finissais à deux heures du mat’. Je n’habite pas tout près, et je n’avais carrément pas envie de dépenser la moitié de ma paie de la soirée pour un taxi. Heureusement, Jacky, un des piliers du bar, m’a proposé de me raccompagner. J’ai un peu hésité, mais en même temps, il n’avait pas l’air trop fait, alors j’ai accepté. Jacky, depuis deux ans que je travaille dans ce bar, il est toujours là, toujours sur le même tabouret, à la même place. Il doit avoir dans les 50, et il a vraiment cette tronche du type qui a tout vu, que la vie n’a pas épargné. Il a un coeur gros comme ça, et je l’engueule souvent quand je suis de service le matin, et que je le vois picoler dès sept heures. Parfois, il lui arrive de passer toute la journée à ne boire que des cafés, ça dépend. Il y a des gens que la vie n’a pas gâtés, c’est comme ça, faut pas juger.
Vers deux heures du matin, donc, après que j’ai passé un coup de lavette sur le comptoir, on est montés dans sa Titine (c’est comme ça qu’il l’appelle). On est vite sortis de la ville — car j’habite en banlieue — et on a pris une petite route mal éclairée. On roulait à deux à l’heure, et Jacky avait l’air inquiet. J’ai entendu le moteur tousser, un grand claquement, et bam ! On s’est arrêtés aussi sec. Jacky a essayé plusieurs fois de redémarrer la caisse, mais sans résultat. On a allumé la lumière au-dessus du rétro, et on a discuté de ce qu’on allait faire. Je l’aime bien Jacky, il est sympa, je me sens en sécurité avec lui. On se disait qu’on allait faire du stop quand il a posé une main sur ma cuisse. J’ai continué à blaguer et à papoter… Je lui disais qu’il m’avait fait le coup de la panne en rigolant, mais la main a exercé une pression et est remontée d’un cran. Son petit doigt me frôlait la culotte.
J’ai fait comme si de rien n’était, je ne voulais pas le vexer en retirant sa main, il avait toujours été tactile, le Jacky. Je me suis sentie excitée. Je veux dire, j’ai eu des papillons dans le bas-ventre, je sentais que ma chatte devenait un peu humide. Jacky ne m’attirait pas du tout mais, en même temps, j’avais envie de sentir ses grosses paluches m’explorer le corps, sentir son souffle lourd sur ma nuque, sa chaleur sur ma peau. J’étais devenue toute rouge, et j’ai arrêté de parler en fermant les yeux. Je l’ai laissé faire. J’ai senti ses grandes mains prendre possession de mon ventre, remonter sur mes seins, me les peloter fermement, puis redescendre jusqu’à mon ventre en faisant comme un massage… Ensuite, l’une des mains s’est fourrée dans mon slip assez brutalement, et ses doigts m’ont tâtée de partout. Je me trémoussais sur mon siège sans oser regarder, j’étais au bord de l’explosion à chaque instant. J’ai entendu une voiture passer, mais heureusement, elle ne s’est pas arrêtée. Les doigts de Jacky, eux, avaient trouvé leur rythme sur mon clitoris, et son pouce s’est enfoncé directement dans ma chatte ouverte.
J’ai crié quand j’ai joui. Ça ne m’était jamais arrivé de prendre du plaisir aussi vite et en faisant un boucan pareil. J’ai rouvert les yeux. Jacky a sorti sa main de mon intimité et a redémarré la voiture. Il m’a juste dit : « Me dis pas que tu le regrettes, quand même. » J’ai juste fait non de la tête. On est arrivés chez moi. Il voulait repartir tout de suite, mais j’ai insisté pour qu’il monte. En fait, je voulais le remercier. On avait continué à discuter gaiement sur le chemin, et je ne voyais pas le mal qu’il y avait à se faire du bien. Du coup, je lui ai servi un petit porto, puis je me suis assise sur la moquette, en face de lui, et j’ai sorti sa bite de son pantalon. Je me doutais qu’elle était balèze, Jacky a une grosse voix grave alors du coup! Bref, je pensais bien qu’il y avait du matos mais là, ça dépassait tout ce que j’avais déjà vu ! Elle était très épaisse, plutôt longue, assez droite. En le regardant dans les yeux, je l’ai bouffée comme une chienne. Jacky m’encourageait, il gémissait : « Ah, oui, merci ma p’tite Kitty ! », et moi ça me stimulait bien, du coup.
À un moment, je me suis stoppée et je lui ai fait : « Tu veux qu’on prenne des photos souvenir pour chez toi, Jacky ? » Forcément, ça lui faisait plaisir. Alors, j’ai couru chercher mon appareil et clic-clac, il m’a prise en train de lui tailler une belle pipe. Quand je lui ai demandé s’il voulait prendre mon tatouage dans le dos en photo, il n’a pas hésité le gars, et il a bien compris où je voulais en venir. Il m’a prise en levrette, il tenait bien la route le Jacky, et il a fini par éjaculer sur mon dos une bonne quantité de jus tiède.
Quand il est parti, je lui ai dit que je lui imprimerais les photos, mais qu’attention, il ne fallait pas les montrer. C’est un sacré bonhomme, je suis certaine qu’il tiendra parole et qu’il ne me mettra pas la honte au boulot. Ce n’est pas un bavard, de toute façon, Jacky.
(Image à la une : Getty Images)
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
En voiture, Simone !
« Mon pote s’est tendu sur la banquette arrière quand elle a glissé sa main dans son falzar. Elle a sorti sa queue et a commencé à tirer dessus doucement, puis a laissé couler un filet de salive jusqu’à son gland. » Ben.
Ma belle inconnue de la route
« A mon tour, j’ai glissé la tête entre ses cuisses et promené ma langue sur son sexe pas entièrement rasé. » Mathias.
À retrouver sur notre plateforme VOD
Aimez-vous le lapdance ? « Sex-coach » Bettina redonne le goût du sexe. Un massage en douceur et en profondeur, Notre craquant sondeur sonne chez une magnifique afro-cubaine. Roy Stuart amène deux femmes fontaines au nirvana. Le meilleur d’Union.