Paris-NY, l’aller-retour

La rédaction 15 juin 2020

Mike, 47 ans.

Chers lecteurs d’Union, je me permets à travers ces quelques lignes d’ajouter une histoire de sexe à ceux que je lis parfois, en feuilletant le magazine dans l’avion.

Je vis entre Paris et New York pour des raisons professionnelles, et toute ma vie affective est organisée autour de ces deux villes.

J’ai une femme et des enfants à Paris, mais je ne suis présent que la moitié de l’année. Bien sûr, j’ai grand plaisir à les retrouver après une longue absence, mais si je dois vous confier une chose : j’aime cette vie faite de liberté. Ma femme et moi nous nous sommes mis d’accord dès le départ, nous avions chacun le droit d’aller voir ailleurs si  nous avions envie.

À vrai dire, j’ignore ce qu’elle fait de son côté, à 40 ans, c’est toujours une très belle femme et j’imagine qu’elle doit recevoir encore de nombreuses sollicitations. De mon côté, je m’éclate. Pour vous raconter la dernière fois, à peine avais-je posé le pied à l’aéroport américain qu’une femme descendue avec moi, superbe, m’annonce que je lui ai tapé dans l’œil. Elle me laisse son numéro de téléphone et me dis qu’elle dort seule ce soir à l’hôtel.

Cela peut vous paraître bizarre, mais sachez que lorsque vous voyagez en première classe, vous rencontrez un nombre incroyable de personnes seules, belles et qui ont envie de fun pour décompresser. J’ai enchaîné les réunions et le soir, je me suis retrouvé dans le bar de son hôtel autour d’un cocktail glacé pour discuter avec elle. Elle a été très claire dans ses intentions ; elle voulait du sexe hard, elle voulait que je la traite de tous les noms, elle voulait que je me soulage en elle. Elle disait ça avec simplicité et une éloquence surprenante, qui tranchait avec le cru de ses propos. La lumière tamisée soulignait la beauté de ses traits et de ses formes, la blondeur de ses cheveux, l’étincelle de son regard assoiffé d’être possédée. Pour être honnête, c’est la première fois que j’entendais une femme me parler de la sorte, avec autant d’aplomb et cela m’a excité ! À un moment, visiblement fatiguée de la discussion, elle m’a demandé de lui emboîter le pas. À ce moment-là, j’ai réalisé qu’elle ne m’avait même pas demandé mon prénom. Je n’étais qu’un pion dans son fantasme, et je devais lui obéir, être son étalon du soir.

Arrivé dans sa chambre, rien n’était dérangé, seule sa valise rose était entrouverte avec quelques sous-vêtements de sortis. La chambre était d’ailleurs très originale, ils avaient mis un point d’honneur à rendre le tout très atypique, très « brut », avec un mur en brique.

Elle s’est déshabillée avec lenteur et sensualité et m’a demandé de faire de même. Au moment de retirer sa robe, celle-ci coinçait sur ses hanches et j’ai donc aidé à l’enlever avec les dents. S’en est suivi 2 h de baise torride où j’ai tenté tant bien que mal de me surpasser. J’ai d’abord enfoncé mon chibre dans sa bouche, dans son mont fendu, puis dans son cul. Son corps était sublime et accueillait ma queue avec beaucoup de douceur. Sa façon de me prendre en bouche était exceptionnelle, comme si elle voulait absolument m’avaler le plus fort possible, en arrachant presque mon sexe de mon corps.

Quand j’ai quitté sa chambre d’hôtel, elle m’a demandé ce que je faisais de ma vie et quand est-ce que je partais de New York.

Elle aussi vivait sa vie entre deux mondes et tenait absolument à ce que nos agendas soient synchronisés.

Je lui ai répondu que j’étais ici en vacances, et que je ne reviendrais peut-être jamais. Pas fou, elle m’avait l’air tellement barge, que j’aurai pu en tomber amoureux.

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Bon voyage !

« Au final, il a écarté franchement sa veste posée sur ses jambes – courage ou inconscience, comment qualifier son acte ? J’aurais pu ameuter le voisinage. Il a continué ses caresses sur son sexe, qui s’est retrouvé bien vite à l’air libre. Je n’ai pas prononcé un mot. J’étais pour ainsi dire fascinée par ce spectacle obscène, ce gros nœud violacé qui suintait, sa belle tige nervurée et mate dont il faisait glisser la peau dans un sens et dans l’autre, par les halètements précipités qu’il tentait d’étouffer. Je me suis surprise à prendre beaucoup de plaisir à le voir assouvir sa pulsion en se servant de moi. Je contractais le haut des cuisses et les fesses, terriblement émoustillée par cette situation incongrue. » Stephanie, 40 ans.

Un voyage marquant !

« Il s’est réveillé en sursaut avec une très belle gaule. Je lui ai demandé si je pouvais le sucer et il a hésité pendant de longues minutes, le temps de reprendre ses esprits, très certainement, et finalement, il s’est laissé faire. Je l’ai pompé comme jamais je n’avais sucé un homme. Je voulais tout lui donner, lui montrer à quel point je pouvais moi aussi être bonne, au moins autant que sa femme. Il a caressé mon corps avec ses grandes mains en me susurrant de très beaux compliments sur mon physique. » Steffy, 23 ans.


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