Prêteur sur gages
21 décembre 2024Hervé se remet d’une opération qui l’empêche de coucher avec sa femme. Pas de problème ! Cet événement va le pousser à découvrir le candaulisme !
Avant l’été j’ai subi une petite opération qui m’a éloigné des galipettes conjugales pour de longues semaines. Mon médecin était OK pour la branlette, mais pas pour le reste. On s’est amusé avec des jouets quelques jours. Carla, ma brune incendiaire, n’est pas femme à se satisfaire d’ersatz. J’ai compris qu’il lui fallait une bonne grosse queue, une afro comme la mienne de préférence.
Je m’appelle Hervé et voici mon histoire de sexe amateur !
Un ami « fidèle »
Nous avons invité un de nos amis, Benoît. Ce dernier a toujours eu un faible pour ma douce et je savais qu’il accepterait notre proposition. Un dîner, un quiz et quelques gages ont suffi à faire basculer la soirée. Benoît n’avait plus que son marcel sur le dos, son outil, presque aussi massif que le mien, pendait entre ses cuisses. Quant à Carla, elle nous a dévoilé sa guêpière noire et dorée, une paire de bas complétait sa tenue.
Les choses sont ensuite allées très vite ! Ma femme a commencé à sucer notre ami dans le salon. Je me suis mis la bite à l’air, je me suis caressé doucement en les matant et en prenant des photos.
Ce n’était pas la première fois que je voyais Carla piper un autre homme, mais ils avaient toujours été des anonymes et cela s’était passé en club. Là, à la maison et avec une vieille connaissance, c’était encore plus excitant. J’ai bien stipulé à Benoît que Carla était ouverte à tout, ça n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd !
La fellation a fait son effet ! Carla est une turluteuse de première ! Un membre épais et fortement veiné a affiché une érection terrible. Je voyais la chatte de Carla, à genoux, et le popotin bien relevé. Elle dégorgeait un jus presque laiteux, elle était prête. Même son petit trou du cul convulsait, là, plus de doute, ma femme avait envie de se faire posséder par tous les orifices.
Benoît ne fait pas partie des bouffeurs de minous. Il a craché dans sa paume, appliqué sa salive sur la fente déjà mouillée et il a fiché son gros machin tout d’un coup.
Carla la domina
Carla a suffoqué et a encaissé la pénétration tout en invitant Benoît à la baiser et à la défoncer. Elle me jetait des regards brûlants. Et dans ces regards je lisais sa reconnaissance et toute sa perversion. Elle a chevauché notre ami qui lui a sucé les seins. J’adore le cliché où, assise sur lui, elle ne quitte pas sa chatte des yeux pour y voir s’engouffrer l’épaisse colonne.
Carla s’est déchaînée comme si elle pratiquait un rodéo ! Elle se soulevait comme une folle, ses lolos secoués en tous sens, retombant jusqu’à écraser les couilles de Benoît.
Mais l’heure de sa revanche avait sonné ! Il s’est dégagé de son étreinte, la dominante et le dominé ont échangé leur rôle. Ma femme n’était plus qu’un jouet entre les mains de ce fabuleux étalon, je bandais terriblement dur et je me suis masturbé lentement.
Ma moitié était allongée sur le dos et criait son plaisir sous les coups de boutoir de plus en plus puissants de Benoît. Son membre sortait et s’enfonçait dans les chairs avec la précision d’un métronome. Sans faiblir, sans même transpirer.
Carla a joui tellement fort qu’elle en a éjaculé ! Des jets transparents qui sont venus imbiber les draps sous ses fesses. Cette cataracte a été le signal déclencheur. Elle s’est retournée et a présenté son si joli cul. Elle écartait ses lobes comme elle le fait avec moi lorsqu’elle veut que je lui prenne le petit. Elle adore ça, c’est un péché mignon chez elle. Elle en conçoit un pied encore plus intense que quand je la baise par devant.
L’entrée des artistes
L’étoile s’est ouverte sous la poussée de ma belle. Le gland a été avalé, une formalité, puis c’est le membre complet qui a été englouti par le sphincter gourmand. Comme auparavant, il n’y a pas eu de trêve, pas de pause. Les coups de pistons ont commencé, Carla grimaçait de plaisir ! Elle se tripotait le clito ou pinçait ses jolis tétons roses presque fluo.
Son carré propre et sa frange rectiligne n’étaient plus qu’un brouillard mouvant. Elle tempêtait, griffait les draps, s’égosillant à en demander encore et encore. Benoît a tellement buriné ma déchaînée qu’il est sorti de ses fesses à plusieurs reprises. J’ai juté lorsque j’ai vu l’anus si dilaté qu’il ne se refermait plus. Le sillon écarlate juste en dessous investi par la main fine de Carla qui se fistait !
J’ai souvent connu Carla dans tous ses états, mais ce que je regardais se dérouler sous mes yeux dépassait tout. Juste devant elle quand mon sperme a jailli, j’ai éclaboussé son visage et l’oreiller, elle a léché le coton afin de récupérer mon foutre brûlant. Je n’ai même pas débandé.
C’est là que Benoît a fini par craquer, il a glissé son pieu entre les fesses de ma femme et s’est frotté entre les deux boules comme on le ferait entre des seins pour une branlette espagnole. D’un coup il s’est stoppé, le gland décalotté à mort… rien. Puis cela a explosé. Six ou sept jets puissants qui ont souillé Carla jusqu’entre les épaules. Ce type a des éjaculations incroyables de pression et de volume !
Benoît est revenu souvent et ma période de jeûne sexuel prend bientôt fin, nous sommes d’accord pour une vraie partie à trois !
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