Troublant voisinage
22 mai 2025Anissa, 22 ans, joue à des jeux très coquins avec ses amies. Elle tombe sur un défi, et hop, elle se retrouve à 4 pattes dans le lit du très charmant voisin !
Anissa nous fait part de son histoire de sexe amateur avec son charmant voisin !
Depuis la rentrée, je vis à Lille pour mes études et je fais tout pour me faire de nouveaux amis. Il y a quelques semaines, j’ai donc organisé une petite fête entre filles dans ma chambre universitaire… J’étais loin d’imaginer comment cela allait se terminer !
Défis chauds entre filles
Cinq nanas, de la musique, des cocktails maison… On se marrait bien, quand ma pote Lucile a décidé de sortir des cartes et a proposé un jeu : on piochait toutes et celle qui avait la carte la plus forte lançait un défi à celle qui avait la plus faible.
Au bout de vingt minutes, on avait eu droit à un paquet de verres cul-sec, deux roulages de pelles et un strip-tease. Les défis devenaient de plus en plus chauds… J’ai pioché un deux, Lucile un roi.
Morte de rire, elle a balancé : « Allez Anissa, tu enfiles une tenue sexy et tu vas dire bonjour au mec de la chambre d’à côté ! » Les filles ont surenchéri : « Et tu vas lui demander des piles pour ton vibro ! ». J’étais mal barrée, mais les cocktails aidant, j’ai enfilé ma nuisette noire sous les cris hystériques des filles. J’ai toqué à la porte, sûre que mon voisin allait me remballer.
Première surprise, il était canon : grand, musclé, les yeux bleus, il a ouvert avec un joli sourire. J’ai bafouillé : « Heu… Salut, on joue à des jeux avec des cartes et heu… je dois te demander des piles pour ça ». J’ai agité le vibro sous son nez, pompette mais quand même assez gênée. Deuxième surprise, le beau gosse m’a invitée à entrer.
« Assieds-toi, je vais te trouver ça ». Interloquée, j’ai obéi. Il a posé une boîte sur le lit et en a sorti tout un bazar des câbles USB, des piles… et unet bombé ! J’ai ri pour cacher mon embarras : « Je vois que tu as des jouets, toi aussi ! ».
A 4 pattes dans le lit du voisin
Sans ciller, il a répondu : « Ce n’est pas pour moi, c’est pour les filles… Tu veux que je te montre ? ». J’étais sciée. Le mec proposait sérieusement de me fourrer un plug dans le cul ! Cette pensée m’a donné très chaud et j’ai senti comme des chatouilles à l’entre-jambe. Mon voisin a dû remarquer mon trouble car il a posé sa main sur ma cuisse et a remonté doucement ma nuisette…
J’étais aimantée par son regard bleu, envoûtée par sa voix grave. « Tu es tellement sexy… Laisse-moi te faire du bien ». Sans même m’en rendre compte, j’étais déjà à quatre pattes sur son lit et c’est avec délice que j’ai senti sa langue glisser en moi. « Tu es délicieuse… », a-t-il murmuré.
Cette phrase m’a fait basculer : soudain, je le désirais plus que tout. J’ai cambré les reins, offerte à ses envies. Le beau gosse a attrapé le plug et s’est mis à le frotter délicatement contre ma rondelle. Comme sous hypnose, j’ai saisi l’objet et j’ai commencé le pousser à l’intérieur, plus excitée que jamais. « Arrête ça… Je vais devoir t’enculer, si tu continues… »
Je ne me reconnaissais plus. D’habitude, je déteste qu’on me parle mal au lit, mais là, chaque mot me rendait folle. Le plug était maintenant presque entièrement rentré et je m’activais avec, me procurant un plaisir inouï.
Sodomisée à fond
J’ai levé le cul encore plus en gémissant d’une voix qui semblait ne pas être la mienne : « Défonce-moi ». Lentement, mon beau voisin a sorti le plug qui a fait un bruit humide. « Si tu voyais ça, ton trou est grand ouvert ! ».
En effet : son gland est entré sans aucune résistance et il a aussitôt commencé à se branler, son bout planté dans mon cul. Je sentais la pointe de sa belle bite m’écarter les parois, chaque mouvement de sa main faisant rentrer un peu plus le manche. N’y tenant plus, j’ai reculé peu à peu, m’empalant sur sa tige avec bonheur.
On y était. Je me faisais sodomiser à fond et j’adorais ça. Allant d’avant en arrière, j’ai donné le rythme. Plus vite, plus fort… Je le sentais désormais me ramoner sans pitié. « Tu es beaucoup trop bonne, je vais te juter dedans », a gémi mon étalon.
J’ai écarté mon derche bien grand et entendu un cri rauque, pour me prendre instantanément une giclée de foutre chaud dans les fesses. J’ai joui à mon tour dans un râle, m’effondrant sur l’oreiller. Je ne vous raconte pas la tête de mes copines quand je suis rentrée : elles avaient tout entendu, l’oreille collée au mur !
J’ai dû raconter les détails de cette histoire de sexe pour leur plus grand plaisir. C’est sûr, la prochaine fois qu’il me manque du sucre ou du café, j’irai toquer chez mon beau voisin !
(Photo à la une : Getty Images)