Les vestiaires du Paradis
1 décembre 2016Nadia était justement en train de raconter son dernier plan de drague sur internet à sa collègue Élodie, quand le plus bel étalon de la boîte est entré dans le vestiaire des filles… Il s’était trompé de porte le petit nouveau ! Mais l’avait-il fait exprès ?
On était en pleine discussion avec Nadia quand le nouveau beau gosse de la cantine est entré dans nos vestiaires… Justement, le midi en passant au self, on s’était demandé s’il en avait gros dans le paquet.
Moi, je suis très à l’aise à poil, donc pas de souci. Mais il fallait encore que je convainque ma copine de faire des petites folies… Parce que là, tout de suite, j’en avais une énorme envie ! J’étais en plein récit de ma dernière aventure en ligne et je disais justement à Nadia que j’avais été bien déçue par les dimensions de mon dernier coup… Je m’étais laissé avoir par la gueule d’ange de ma target, quelle idiote !
Mais là, je sentais que c’était le bon numéro, avec sa tronche de petite frappe et ses muscles saillants d’ouvrier laborieux… Hmm, je pouvais me tromper, mais ça sentait le bon plan et j’ai une sorte de radar pour les belles queues quand je me mets à réfléchir avec mon bassin, mes tétons et mon cul de cochonne !
Je me suis donc laissé aller à mes purs instincts de fille facile, celle que j’avais toujours été, ou fait semblant d’être pour arriver à mes fins, pour provoquer des situations de lupanar, des scènes dignes des plus chaudes BD de Manara !
À ma grande joie, Nadia a sauté sur l’occasion quand je lui ai proposé qu’on passe du bon temps avec ce joli petit poney. Elle et moi avions déjà fait des petites saloperies ensemble et on aimait bien se flatter le caliquot de temps à autre…
L’atmosphère était donc saturée de phéromones et un épais brouillard de sexe commençait déjà à prendre possession de nos méninges. Je n’avais plus qu’à retirer mon petit string en silence et à m’allonger sur le banc en bois pour que la température monte de dix degrés d’un coup.
Nadia, vorace, s’est jetée sur mon abricot qu’elle a repeint avec sa salive gluante de fille pas propre.
Elle me titillait gentiment le bout du clito, exactement ce que j’aime pour commencer tranquillement et sentir monter le désir, comme un escalier, marche après marche…
J’ai enfin pu tâter le bon bâton du diable de notre cuistot à travers son pantalon en grosse toile industrielle… Ce côté populo bas du front me faisait tellement mouiller putain ! Je l’ai branlé doucement, en le regardant dans les yeux, qu’il se rende bien compte de la perversion à laquelle nous allions nous adonner.
Il n’en avait absolument rien à foutre de mes simagrées de petite bourgeoise, c’était évident ! Ce qu’il lui fallait à ce mec-là, c’étaient des actes, pas des promesses. Alors j’ai pressé plus fort sur son concombre de chair et j’ai particulièrement appuyé sur la pointe de son gland. J’ai senti que j’avais trouvé un premier point sensible… J’allais m’y attarder quand il a sorti tout son matériel d’amour. C’est-à-dire qu’il s’est foutu à poil le coquin.
Ça a été un signal très puissant. Nous nous sommes toutes les deux mises à genoux. Sa queue était très belle, lisse et longue avec un air juvénile. Un beau manche bien réactif, comme il fallait. Cela frétillait.
Nous avons toutes les deux tendu nos langues en même temps pour tout lécher, de bas en haut. Nadia s’est amusée à le prendre en bouche sans y aller trop fort. Elle l’avalait mollement et le recrachait aussitôt pour ne pas l’exciter trop vite. Moi, je me concentrais sur sa hampe qui était déjà dur comme du béton à prise rapide.
Le garçon était parfait : il ne s’est pas mis à couiner comme une pucelle dès qu’il a senti nos bouches le titiller, non : il avait l’air résolu du gars qui n’est pas là pour rigoler. J’avais déjà vu ce regard, c’était celui d’une machine à baiser. Nous avons tellement bavé sur son bambou qu’il était luisant de nos salives.
Ensuite, il s’est allongé avec le plus grand naturel sur le banc et la chorégraphie a coulé de source. Nadia a pris place sur son visage pour se faire bouffer la chatte et moi, j’ai opté pour une bonne amazone, à l’ancienne.
J’ai enfilé son tuyau dans ma petite grotte en essayant de retenir mon empressement à me faire sauter. C’était très difficile parce que j’avais des picotements dans la minette tellement j’en avais envie !
La pointe de son gland m’a raclé tout l’intérieur cuir, c’était délicieux. Il n’était pas très large, mais il allait pile là où il fallait. J’ai senti mon bassin se détendre et une grande chaleur m’a envahi l’abdomen. Oh oui, c’était bon.
J’ai senti la pointe de sa lance toucher le fond de ma caverne aux mille délices et le monde s’est mis à tanguer. Je le savais, c’était LA bite. Celle que j’avais attendue pendant tout le dernier mois, celle qui allait enfin me donner ce dont j’avais besoin : une station de décollage pour un monde parallèle. Cette queue allait me faire basculer de l’autre côté du miroir.
Je me suis tordu le cou pour embrasser Nadia qui poussait des petits piaillements de gorette en mal d’amour. Il nous régalait bien l’étalon !
Je me suis concentrée sur les mouvements circulaires de mon bassin. Pas de doute, je me faisais parfaitement ramoner la boîte à bonheur. Il allait partout en moi et je sentais son cou de poulet qui frottait sur toutes les bonnes touches du clavier de ma jouissance. C’était magique là-dedans. J’ai senti une grosse vague de jute monter. Et vlan, j’ai tout lâché sur sa barre de pole dance. Ma mouille a coulé sur ses couilles pendant que je me caressais le clito pour bien me finir. J’ai flatté ses bonnes boules au passage, je lui devais bien ça. Je peinais presque à reprendre mon souffle tant cet orgasme m’avait surprise. J’étais pantelante et heureuse, quelle entrée en matière !
J’ai vraiment dû me faire violence pour ressortir son machin de mon entrecuisse, il était comme rivé en moi.
Nadia s’est aussitôt jetée sur ma rondelle pour m’offrir un adorable pétale de rose tout en branlant notre ami dont nous ne connaissions même pas le nom !
Nous commencions à vraiment pousser des râles d’acteurs X à présent. Je me suis allongée sur le banc à mon tour pour me faire correctement lécher la cramouille par ma pote qui, décidément, aimait beaucoup cela !
L’étalon anonyme s’est calé derrière elle et l’a pistonnée d’un bon coup de reins. Comme ça, sans préambule. J’ai senti les dents de Nadia se serrer sur mon bouton d’amour quand il est entré en elle… « Tout doux, bijou… » lui ai-je demandé… Elle a grogné une excuse en reprenant sa séance de léchouilles sur mon intimité et je me suis tout de suite détendue à nouveau. C’était comme un massage, en fait.
Il suffisait d’écarter les cuisses et d’avoir l’esprit un peu élargi… Nadia poussait des sons de plus en plus rauques. Notre cheval de Troie lui tapait vraiment au fond.
Ses bourses tenaient une mesure au rythme soutenu, c’était très martial, très viril, un peu comme l’idée que je me faisais d’un sauna gay.
Mais bientôt, il a voulu changer de chatte à nouveau, et Nadia a dirigé son grand bonhomme dans ma fente trempée. Elle a pris mon sein dans sa bouche et j’ai bien cru qu’elle allait s’étouffer avec, la petite cochonne.
Wow, le bonheur quand deux adultes aux idées bien tournées s’occupent de vous comme ça… J’avais juste à me détendre et à profiter de la balade au pays des rêves. Je me sentais à la fois présente et loin d’ici. J’étais dans un état second. J’étais bien enfoncée dans un trip qui ne semblait ne devoir jamais s’arrêter. Le plaisir arrivait lentement, comme des ondes qui glissaient sur moi et me caressaient tout le corps. J’étais dans un monde de douceur, d’amour partagé.
J’ai crié tout mon plaisir sans même m’en rendre compte, j’ai entendu ma voix, mais elle était très loin, comme dans une autre pièce, j’étais quasiment sourde de jouissance en fait.
Notre beau garçon commençait à fatiguer, alors il était temps de s’occuper de lui… Nadia a grimpé sur lui et s’est bien accrochée pour le baiser comme une petite cheffe.
Elle était tellement collée à lui, j’avais l’impression qu’elle voulait l’essorer à fond. De mon côté, je me suis échinée à rendre la pareille à ma pote en lui offrant un lavage en machine vite fait bien fait de son œillet brun. J’ai bien étiré ses petites fesses et l’œil noir de son cul m’a regardée sans faire de manière. J’ai tendu ma langue et j’ai léché.
Oh oui, j’ai léché ! Pendant ce temps-là, la bite de l’étalon de la cantine continuait son travail de sape, et j’avais dans le nez l’odeur mignonne de leurs organes en pleine copulation. Le fumet était piquant, le remugle était fauve.
Comme elle était belle notre France du métissage, quel espoir j’ai ressenti pour l’avenir de notre pays à cet instant ! Je me sentais débordante d’amour.
Tout cela m’a mise en joie et j’ai eu envie de corriger quelqu’un… Justement, l’insolente croupe de Nadia me lançait des œillades de défi. Je me suis légèrement reculée et je lui ai appliqué sur le derche une fameuse fessée qu’elle ne serait pas près d’oublier ! « Plaf plaf plaf, alors ma salope ? Tu kiffes là ? » Elle roucoulait de bonheur la petite démone !
Puis, ce sont les jolies couilles de notre beau gosse dont j’ai eu envie. Je les ai pressées, il était temps de récolter le fruit de nos efforts, après tout !
Je serrais la fesse de Nadia et j’écrasais de plus en plus fort le charmant scrotum du champion. Je m’amusais bien à les emboîter de la sorte. Ils étaient mes jouets et je n’avais pas fini moi… Je leur criais des encouragements, je crachais sur leurs parties pour qu’elles coulissent parfaitement. J’aime bien quand un truc semble fait pour s’imbriquer idéalement dans un autre, pas vous ? J’étais fasciné par ce spectacle auquel je ne m’étais pas préparée. Je flattais alternativement les boules du garçon et le boule de ma pote. Je salivais d’envie sur ces belles mécaniques bien huilées.
Ensuite, j’ai commencé à taquiner le petit trou de Nadia. Un doigt, puis deux, puis trois… Elle encaissait facilement sans rien dire. C’était pourtant bien serré et musclé à l’intérieur. Mes doigts ont commencé à bouger dans son fondement. Elle jouissait la cochonne, c’était très… vocal !
Je me suis aussi bien amusée à lécher ce bel ensemble orchestral, je passais ma langue sur tout le cul de ma jolie copine et j’aimais bien coller ma bouche là où leurs organes se réunissaient. J’étais au cœur de l’œil du cyclone. Là où tout n’est que luxure, calme et volutes d’odeur de cul.
Ma bouche est descendue un peu plus bas pour venir à la rencontre du service deux pièces de notre ami. J’ai gobé une de ses couilles, et il a geint de bonheur. Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde et à partir de là, je n’ai plus arrêté ce petit jeu.
J’ai carrément taillé une pipe à ses couilles. Je m’éclatais, c’était tellement rigolo en fait ! Et puis, son engin avait un goût parfait, un peu salé mais pas trop, presque sucré salé en fait. Le dessert parfait, il ne nous manquait plus que la liqueur en digestif… Et j’avais dans l’idée qu’on n’allait pas tarder à nous la servir.
En attendant, l’étalon tenait une cadence implacable. C’était dingue l’endurance qu’il avait !
Nadia s’en prenait plein la vulve. Je m’attendais presque à voir de la fumée sortir de son pot d’échappement, quelle bande de sportifs ! À fond les formes !
Puis, ils ont commencé à ralentir. Notre petit poney devait sentir la jute lui monter à la bite. Nadia était obligée de se tirer piteusement le gras de la fesse pour l’accueillir au plus loin en elle… La machine était-elle cassée ? Que nenni ! Il reprenait juste des forces avant de remettre un coup de collier ! Ah le polisson ! C’était reparti la cavalcade ! Même la chevauchée de walkyries connaît des accalmies, des moments où tout ralentit, tout le monde se détend, avant l’assaut final, question de contraste et d’amplitude ! C’est dans les ténèbres que l’on discerne mieux la lumière, et on ne peut percevoir le silence sans le bruit, n’est-ce pas ?
Et quel bruit ! Toute la machinerie s’est remise en marche, et les pantins de viande se sont mis à gigoter à cent sous de l’heure ! Ah le beau feu d’artifice. Les couilles claquaient sur le cul comme un lacet de cuir sur la bombance d’un pénitent. Je pouvais à peine attraper les bourses, tellement elles volaient à la rencontre du cul de Nadia.
Il semblait vouloir perforer pour de bon la bougresse. Que c’était bon de les regarder en pleine action. J’ai salivé sur un de mes doigts pour aller chatouiller le petit trou de l’étalon et il s’est cambré pour m’éviter au départ, mais j’ai bien senti qu’il était tenté… Alors je suis allée plus loin et il s’est carrément retourner pour prendre Nadia à la paresseuse et surtout pour que je le fouille plus avant ! Il me dégageait l’accès de son petit endroit poivré.
Cela m’a permis d’utiliser sa queue comme un marteau pilon que j’ai enfoncé de plus en plus loin dans Nadia. Je lui enfournais de ces coups de burin putain ! Elle prenait cher de la chatte ma parole ! Elle est comme ça ma pote, il lui en faut toujours plus, plus, plus ! Je lui ai titillé le clito pendant qu’il la besognait jusqu’à plus soif. Elle a fini par jouir une dernière fois et ça a été mon tour… Elle est venue me sucer les grandes lèvres et le clitoris pendant que l’étalon se branlait en nous regardant. Manifestement, cela lui a donné des idées…
Toujours allongé, comme un pacha, il nous a demandé de nous approcher de lui. Il a pris mes seins et s’est branlé avec ! Comme j’aime ce genre de truc, bordel ! La concupiscence à l’état pur, le genre de truc que devaient déjà faire les encyclopédistes au XVIIIe siècle. Nadia a ajouté sa petite touche orientale en venant coller ses lèvres de truie sur le gland rose vif de notre étalon.
Elle le suçait pendant que je le branlais avec mes toutounes volumineuses. C’était un moment formidable. On partageait vraiment un truc très spécial, aucune gêne, seulement l’envie commune de se faire du bien et de s’aimer librement. C’était comme un sport, mais qui faisait encore plus de bien que le yoga. Nadia a embouché la queue de l’étalon de plus en plus loin dans sa gorge. Il a poussé un petit cri rauque, très viril, presque animal. Elle l’a recraché, et on s’est toutes les deux jetées par terre à genoux pendant que lui se relevait pour nous arroser.
Des hectolitres de foutre sont venus recouvrir nos visages, nos lèvres, nos nichons, nos cheveux… Nous en avions partout. Nous avons continué à jouer avec son beau membre d’amour. Nous l’avons tété pour en extraire tout le bon jus plein de plaisir.
Quel jouisseur ! Il avait beaucoup à donner, la récolte avait été excellente. Nous lui avons encore agacé un peu les couilles pendant qu’il se répandait en mots doux qui semblaient presque déplacés à présent… Les étalons, c’est mieux quand ça ne cause pas trop… Nous avons nettoyé sa tige de haut en bas et nous nous sommes rhabillées.