La jeune fille au « père »

La rédaction 28 mai 2020

Je viens de Saint-Pétersbourg et j’ai écumé une partie de ma jeunesse sur les stades d’athlétisme. Passé mes 22 ans, j’ai senti que quelque chose d’autre m’appelait alors je suis devenue jeune fille au pair, en France.

Cela faisait deux mois que j’étais tombée dans une chouette famille et je voyais bien que Rick, le père, me regardait toujours avec insistance dès qu’il me croisait. Il était comme hypnotisé par mes courbes.

Une fois, alors que je prenais ma douche, il est arrivé avec son caméscope dans la salle de bain, vêtu d’un simple tee-shirt blanc.

J’ai cru qu’il voulait me filmer façon gros pervers pour ensuite se palucher dessus seul, mais il a eu l’audace de m’avouer son secret. « Alya, ça fait deux mois que je ne pense qu’à toi. Que tu m’obsèdes.

Tu es mon plus grand fantasme, j’aimerais tellement pouvoir t’aider à te laver, toucher ton corps… Enfin voilà, je ne pense plus qu’à toi. » Honnêtement, avec les petits trémolos dans la voix, c’était très touchant.

Je l’ai un peu éconduit en lui rappelant que j’avais un petit copain qui m’attendait en Russie et qu’accessoirement, il avait une femme. Il s’est mordu la lèvre, plein de culpabilité en disant « C’est vrai, c’est vrai. »

En même temps, j’avais aussi très envie de lui. Et qu’est-ce qu’en saurait mon amoureux ? Rien, certainement !

Ce n’est sûrement pas Rick qui prendrait le risque de crier notre potentielle petite escapade sur tous les toits. Comme il restait un peu pantelant, le caméscope dans une main, dissimulant de l’autre une évidente érection, j’ai pris le contrôle de la situation.Je me suis agenouillée au niveau de ses parties intimes et je l’ai regardé droit dans les yeux. À partir de ce moment-là, il n’y avait plus de retour en arrière possible.

Nous allions l’un et l’autre basculer dans le camp des infidèles.

Je l’ai regardé une dernière fois, comme pour m’assurer qu’il était bien sûr, lui aussi, de vouloir jouer avec le feu. Il m’a fait un petit sourire entendu, tout à fait craquant. J’ai senti qu’un tourbillon d’émotions l’envahissait : l’euphorie du courage, la honte, la peur, l’envie… Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai posé mes lèvres sur son gland violet. Il a tressailli de plaisir, comme si une décharge électrique lui avait parcouru la colonne vertébrale. Fière de mon petit effet, j’ai poursuivi avec quelques coups de langue bien placés. J’enroulais tout le bout de son sexe et je m’amusais à enfoncer une petite partie de ma langue dans son urètre.

Il ne bougeait plus, trop heureux que son fantasme devienne enfin réalité. Je lui ai un peu massé les couilles, je les faisais rouler doucement au creux de ma paume, puis je me suis relevée, face à lui. Nous nous sommes alors embrassés avec passion, mélangeant nos langues l’une à l’autre, nous dévorant les lèvres avec la même fièvre, le même désir brûlant. Il a effleuré ma chatte du bout des doigts. Elle était encore chaude de la douche et rendue moite par l’excitation.

Il m’a glissé à l’oreille : « Quel corps de rêve Alya. Je savais que tu étais parfaite. Je m’en doutais bien. Mais te voir nue dépasse totalement toutes mes espérances. Tu as tout ce dont un homme peut rêver. » Je me laissais bercer par tous ces compliments et j’ai rougi un peu bêtement. Je savais qu’il était sincère. Il tremblait et était même un peu maladroit.

Peu à peu, entre baisers fougueux et caresses appuyées, nous avons rejoint le canapé. À cette heure de la journée, la maison était totalement vide, sa femme était partie au boulot, et nous avions bien deux bonnes heures devant nous, avant qu’il ne doive lui aussi s’en aller.

Rick a emporté la caméra avec lui et a continué à me filmer comme si j’étais une star. Grisée, j’en ai profité pour lui faire un petit show sexy avec ma serviette, ça m’amusait de le voir baver devant moi.

Mais le “gentil garçon” ne l’est pas resté longtemps.

Il s’est approché doucement de moi, a pris mon visage dans une de ses mains et de l’autre m’a fait lécher son pouce. Je l’ai sucé comme s’il s’agissait de sa bite, avec douceur et détermination.

« Tu as encore envie de me sucer ? » m’a-t-il demandé rieur. Et moi j’ai approuvé, très sérieuse.

J’aimais bien la façon qu’il avait de me demander la permission pour chacune de nos pratiques sexuelles.

Certainement un truc qui doit tenir de “l’élégance à la française”. Il s’est allongé sur le canapé, la bite bien tendue vers le ciel, et je me suis placée entre ses jambes, telle une chasseuse prête à avaler sa proie. J’ai d’abord répandu toute ma salive sur sa tige. Je le sentais frémir sous mes doigts, comme ensorcelé. Puis, je l’ai pompé. J’ai pris sa queue entièrement dans ma bouche et je l’ai avalée jusqu’au bord de ma gorge.

Je le dévorais des yeux, avec ce regard que je réserve d’habitude à mon petit copain. Mais je voulais user et abuser du petit pouvoir magnétique que j’avais sur lui. « J’ai envie de toi, Alya. Est-ce que je peux te pénétrer ? J’en ai très envie… » Alors je me suis retournée et je lui ai présenté ma belle croupe. Il a d’abord caressé mes fesses d’une main, et en a apprécié la douceur ainsi que la fermeté. Puis, très doucement, il a approché le bout de son gland près de ma chatte, luisante de désir.

Je n’avais qu’une envie, qu’il s’engouffre en moi d’un coup sec et bien net. Mais Rick s’est fait désirer et il m’a pénétré tout doucement. Il avançait en moi, centimètre par centimètre. Tel un chevalier prudent, je le sentais savourer chaque parcelle conquise de mon corps, chaque petite poussée qui l’enfonçait un peu plus dans mes entrailles.

Enfin, arrivé au bout, il a entamé quelques mouvements de va-et-vient. Toujours très lentement. Avec une énergie parfaitement contenue. J’ai fermé les yeux pour profiter de toutes les sensations que sa queue provoquait en moi.Mon cœur s’affolait, mes cuisses se crispaient… Puis soudain, il s’est arrêté et m’a abandonnée. « Alya s’il te plaît, mets-toi sur le dos ! J’ai envie de profiter de tout ton corps, de voir tes seins, ton ventre, ta chatte ! ». J’ai obéi sans discuter plus longtemps ses ordres.

Il a tenu fermement mes chevilles et s’est enfoncé, à nouveau très lentement, en moi. Sa queue me donnait mille plaisirs.

J’avais envie qu’il s’enfonce plus fort, plus loin, mais il butait inlassablement contre le fond de ma chatte. Tout mon corps était en éveil, de mes orteils jusqu’à la pointe de mes tétons qui réclamaient des caresses. Alors je les ai massés, et pressés l’un contre l’autre. Cela a rendu Rick complètement fou.

Je l’ai vu perdre les pédales et il s’est mis à me pilonner avec vigueur. Nous étions maintenant sur un rythme de baise totalement démesuré avec une cadence tellement folle que très vite il nous a fallu faire une petite pause. Cherchant un moyen de profiter encore plus de sa grosse queue, je me suis alors allongée sur le côté, espérant que, de cette façon, il puisse s’enfoncer encore plus loin. Il m’a avoué adorer cette vue, il profitait de tous les détails de ma chatte luisante de désir et si offerte.

Prête à l’accueillir encore et encore ! J’étais bouillonnante de désir pour lui. Il a alors écarté bien grand mes jambes et m’a à nouveau pénétrée. Rick portait tout le poids de son corps sur ses bras tendus mais ses mouvements étaient entravés par le canapé et par mes longues jambes qui lui retombaient dessus.

Éreinté, il a fini par s’affaler sur le canapé, ce qui m’a permis de venir m’empaler d’autorité, sur lui.La façon dont son sexe appuyait sur ma paroi ventrale était juste incroyable.

Et maintenant, c’était moi qui avais le plein contrôle sur la pénétration. J’ai commencé par onduler doucement du bassin sur son sexe, pour qu’il se sente totalement pris, piégé dans mon étreinte chaude et humide. Puis je me suis appuyée sur mes bras et j’ai commencé à monter et descendre sur son engin. Je le sentais très tendre, il caressait doucement mon corps. Je le contemplais devant moi, la bouche entrouverte, le visage détendu, profitant pleinement de son plaisir… Mais ma chatte en demandait plus et j’ai fini par m’acharner sur sa queue.

Je bougeais de plus en plus vite, comme dans un carrousel. Ma poitrine s’agitait dans tous les sens, sensible à chaque mouvement. Je respirais bruyamment, pleine d’un souffle nouveau et fougueux. J’étais gorgée de vie. Je m’accrochais bien fort à ses mollets pour conserver le rythme et sentir mon corps approcher de l’orgasme. C’est alors que Rick s’est redressé et est venu m’embrasser sur la bouche, très délicatement, mettant fin à ma course effrénée vers le plaisir.

Quelque peu frustrée de n’avoir pas atteint l’objet de ma quête, je me suis étendue sur le canapé en faisant tourner un doigt dans ma bouche comme une grosse cochonne.

Nos deux corps aspiraient à un dernier assaut qui nous mènerait vers le 7eciel.

Il est à nouveau venu planter sa grosse bite plus tendue que jamais. Je sentais que son souffle s’accélérait, son cœur battait plus vite, ses mouvements étaient plus précipités. J’étais totalement offerte, ouverte.

Je sentais ma tête basculer dans une profonde volupté, je perdais pied, j’ai poussé des cris jusqu’à la jouissance pour enfin profiter du volume de sa queue dans les spasmes de ma chatte.

Comblé, il a joui à son tour abondamment sur mon petit mont et mon ventre.

Coquine, j’ai joué avec sa semence du bout de mon ongle.

Soudain, on a entendu un claquement de porte : « Chéri ! Je suis rentrée… » Oh non ! Déjà ? Certainement les grèves ! Rick m’a jetée hors du canapé en me passant ma serviette. Et je me suis enfuie dans ma chambre en riant… Je m’en souviendrais de cette douche !

Mais ce fut une de mes parties de baise les plus formidables depuis le début de mon cours séjour.


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