Coloc’ and fuck

La rédaction 25 février 2021

De retour de la fac, Cindy a envie de fuck. Quoi de mieux que de réviser ses cours d’anatomie et découvrir la jouissance anale avec son nouveau coloc’. Allez hop, en selle !

Ce que je m’apprête à vous raconter se passe l’année où je suis entrée en fac de biologie. Je m’étais installée dans un nouvel appartement avec un nouveau coloc, Charles. Cela faisait pas mal de changements dans ma vie et ça me plaisait bien. Le souci, c’est que mon coloc et moi nous sommes mis en colocation très vite, sans trop réfléchir. Pourtant j’avais bien senti une forme d’attirance sexuelle entre nous lorsqu’il était venu visiter l’appart. Ce n’était pas du tout une bonne idée de le choisir lui, mais que voulez-vous… Apparemment j’aime plus vivre dangereusement que de ne rien vivre du tout ! J’étais donc curieuse de la suite des événements.

Un après-midi après notre installation, je suis rentrée un peu stressée à l’appart après les cours, la journée s’était bien passée, mais notre prof d’anatomie nous avait donné plein de boulot. Et moi, quand je suis stressée, il n’y a qu’une chose qui m’apaise vraiment et me fasse redescendre : le sexe.

Du coup, je suis rentrée chez nous dans l’idée de me glisser sous la couette pour me masturber et me donner un orgasme qui me relaxerait. J’avais d’ailleurs mon vibro dans mon sac à main (je l’y avais laissé depuis que j’étais partie avec un week-end).

Ce matin-là, je m’étais amusée à me déguiser en étudiante modèle – jupe à carreaux, gilet, chemise et chaussettes blanches. Je savais que cela me donnait un air faussement sage et que ça avait le don de faire craquer les garçons, d’autant que je m’employais bien sûr à remonter ma jupe le plus haut possible pour révéler le haut de mes cuisses…

Quand je suis rentrée, Charles était lui aussi à la maison et il a vu que j’avais l’air soucieuse. Je lui ai parlé des devoirs et il m’a tout de suite proposé de m’aider, car il avait lui aussi des cours d’anatomie. Ma petite séance de branlette était remise à plus tard. À moins que… Nous nous sommes assis sur le canapé tous les deux et il a entrepris de m’expliquer les exercices. J’étais un peu nerveuse, sa présence à mes côtés me faisait de l’effet, j’avais chaud, j’étais excitée par sa voix et ses gestes, par sa main qui avait frôlé ma cuisse par inadvertance.

C’est alors qu’il a vu dans mon sac mon gode blanc à petits cœurs. « C’est quoi ? Ah ouais ! Tu te fais plaisir ! » Il se marrait. J’ai attrapé l’objet pour le lui montrer. « Ouais, avant que tu décides à jouer au prof avec moi, j’avais prévu de me caresser tranquille toute seule. Mais bon, comme tu es là, je ne peux pas, parce que ce truc me fait crier, t’as pas idée. » La flamme du désir s’est allumée dans ses yeux. « Et si moi, je te faisais crier ? » « Si t’arrives à faire aussi bien que le vibro, pourquoi pas. »

Ça y est, notre colocation venait de commencer et elle allait déjà basculer. Charles a avancé sa main pour me caresser la cuisse. Sa peau était douce et j’ai senti mon cœur s’agiter et mon clito palpiter sous ma jupe. C’est vous dire à quel point j’avais besoin de sexe ! Charles m’a embrassée, nos langues ont joué ensemble et j’ai laissé le feu du désir m’envahir à mon tour. J’ai un peu glissé sur le canapé pour me retrouver à demi allongée, jambes écartées. Il a soulevé ma jupe pour découvrir ma petite culotte blanche. Il a passé ses doigts sur le tissus et m’a caressée délicatement, faisant naître en moi des sensations de plus en plus intenses.

Peu à peu il a retiré la culotte pour me masturber. Il me roulait des pelles en même temps. Notre envie l’un de l’autre se faisait plus pressante, et ses doigts m’exploraient, me doigtaient, me branlaient, au moins aussi bien que ce que j’aurais fait moi même, alors j’étais aux anges ! Mon coloc était plein de ressources : j’avais tiré le gros lot s’il pouvait devenir mon pourvoyeur d’orgasmes à domicile !

Charles a quitté le canapé pour se mettre à mes pieds, entre mes jambes, et me lécher. Ça aussi, il savait faire ! Il posait ses doigts sur mes lèvres et jouait sur mon clito avec sa langue, avec une gourmandise dont les hommes manquent souvent. Je profitais, me détendais de ma journée…

« J’ai envie de te lécher toute entière », a-t-il dit.

Je me suis mise à quatre pattes sur le canapé pour lui tendre mes fesses et pour qu’il puisse vraiment me fouiller de sa langue en profondeur. Là, il s’est mis à me faire un anulingus et j’ai compris ses intentions… qui n’étaient pas pour me déplaire. Je me suis laissée aller à son exploration de mes orifices et j’ai savouré le contact humide et chaud de sa langue qui me faisait frémir jusque dans les cuisses. Ça commençait à chauffer fort alors je lui ai imposé un petit break le temps de retirer ma chemise et mon gilet.

J’étais à poil, avec juste la jupe et les chaussettes blanches, et je savais que j’étais irrésistible. J’ai aidé Charles à se déshabiller et il s’est retrouvé nu comme un ver sur le canapé, sa queue d’un beau volume dressée au beau milieu de son corps. Elle m’attirait tellement. Alors, à genoux sur le sol, ç’a été à mon tour de lui faire plaisir.

Je me suis mise à sucer son joli pieu. C’était autre chose qu’un gode en plastique !

Il m’a rempli la bouche et c’était bon de sentir cette chair chaude et bandée, de la goûter et de la faire durcir encore plus, tandis que sous ma jupe, mon sexe et mon cul avaient hâte d’y goûter à leur tour. J’ai enlevé ma jupette et je me suis assise sur lui, dos à son buste. J’ai mis sa queue dans ma chatte, qui trépignait d’impatience.

J’étais comme accroupie sur lui et je me tenais au dossier du canapé en me tournant légèrement, ses mains entouraient mon ventre et sa bouche tétait l’un de mes seins tout en me regardant d’un regard ravageur. Sa bite dans ma chatte faisait des merveilles, sa grosseur et sa longueur me stimulaient d’une manière émoustillante et je vivais enfin cette extase, ce lâcher-prise que j’avais espéré en rentrant de mon cours d’anatomie.

Il a passé une main sous moi pour me doigter le cul. Il l’a écarté, stimulé, réchauffé, de telle sorte que, quand j’ai poussé sur mes pieds pour que sa bite sorte de moi et que je m’empale à nouveau sur lui, je n’ai pas hésité et l’ai pris dans mon cul.

Le fait d’être au-dessus de lui me permettait de maîtriser la profondeur à laquelle il s’enfonçait et de ressentir la progression de sa percée en moi. Je l’avais tellement désiré que je le voulais au plus intime de ma personne. Sa bite dans mon cul glissait toute seule – je ne pensais pas que ç’aurait été si facile ! Le ressenti était dingue, le plaisir, immense. Il me tenait les fesses par en-dessous pour m’aider à monter et descendre sur son sexe bien bandé.

Je voulais le ressentir plus fort encore, alors je me suis remise à quatre pattes sur le canapé pour qu’il me pénètre plus brutalement. Là, il m’a enfilée comme une perle encore une fois et il pouvait s’agripper à mes hanches pour me pilonner à sa guise. Ses mains massaient et claquaient mon cul pendant qu’il rentrait dedans encore et encore, provoquant un embrasement de mes sens d’une puissance extrême.

Je ne savais si nous pourrions jamais avoir un échange normal entre colocs “lambdas” après ça. Ça paraissait compromis ! Car, bon, il était quand même dans mon cul, là ! Mais c’était si bon, ç’aurait été bête de me priver de ce cours très personnel d’anatomie ! Si c’était comme ça à chaque fois qu’il voudrait m’aider à faire mes devoirs, ma vie allait s’avérer très plaisante !

Nous avons changé de position, emportés par notre désir dévorant l’un pour l’autre. Je me suis allongée une nouvelle fois sur le canapé. Il a pris mes jambes pour les écarter en grand et dégager cette chatte et ce cul qu’il s’était appropriés.


Là, il m’a de nouveau fourrée par les fesses et je le ressentais encore plus puissamment dans cette nouvelle posture. C’était autre chose que mon gode, cette bite dans mon cul qui me faisait autant grimper aux rideaux ! J’écartais les pattes au maximum. Son sexe pilonnait mon cul et, à l’aide de son pouce, il s’est mis à masser mon clitoris.

C’était ouf ! J’avais à la fois le plaisir intense de son chibre dans mes tréfonds, et la saveur d’une caresse titillante qui faisait frétiller mon clito de plaisir !

Il n’avait pas été aussi bien que mon gode, il avait fait mieux en termes de sensations, ce à quoi s’ajoutait l’excitation de le voir penché sur moi, me dévorant des yeux. J’ai fermé les miens pour me concentrer sur mon plaisir. La vague orgasmique s’est abattue sur moi et m’a emportée dans son impétuosité.

J’ai crié, et bien plus fort que lorsque je me fais plaisir avec mon vibro ! Pendant que j’étais secouée par ma jouissance, il a sorti sa bite pour éjaculer, aspergeant mon sexe de son foutre.

Waouh, cette démonstration anatomique avait été tout à fait remarquable ! Autant vous dire qu’après ça, nous avons noué un lien autrement plus fort que ce qui lie habituellement de simples colocataires.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru