Toubib or not toubib ?
21 octobre 2020Magali, 32 ans, est lesbienne et n’a jamais essayé de coucher avec un homme. Un jour, elle se rend chez son gynéco qui est fasciné par sa chatte, et le désir va monter entre les deux…
Je m’appelle Magali et à 18 ans, j’ai connu ma première fois avec une femme. Depuis, je n’avais eu que des filles dans ma vie : je suis lesbienne jusqu’au bout des ongles ! Ce qui ne m’a pas empêchée de succomber à « l’appel de la verge », comme se moquent mes copines. Une seule fois, il y a 2 ans. Je vous raconte mon histoire de sexe.
Mon ex-gynéco était un mec de 40 ans, très beau et un peu coquin. Je retournais chez lui parce qu’il était compétent. Et puis j’avoue que cela m’amusait quand il me faisait des palpations des seins vraiment poussées, ou qu’il commentait l’étroitesse de mon vagin « qui n’avait pas dû en voir passer beaucoup ». Il savait que j’étais homo et je crois que ça le fascinait. Un jour, on a dérapé dans son cabinet.
Il était en train de faire son examen. J’avais les jambes en l’air, pas vraiment une position sexy… Mais j’étais en confiance. Il a fait son truc, tout allait bien. Sauf qu’avant de me dire de me rhabiller, il a lancé une phrase qui a mis le feu en moi… « Magali, je suis admiratif de la beauté de votre sexe. On devrait vous exposer dans les cabinets de chirurgie esthétique comme modèle ».
Jamais aucune fille ne m’avait complimentée comme ça ! Je suis restée les jambes en l’air, avec l’envie d’en savoir plus. « Vous savez que je suis techniquement vierge de toute pratique avec des hommes… Si vous deviez me donner des conseils pour une première fois, ça serait quoi ? » J’ai lancé cette phrase sans même réfléchir, toute étonnée de ma propre audace.
Mon médecin n’a d’abord pas répondu. Puis il s’est approché de la table et m’a dit : « Et bien pour commencer, je vous dirais qu’il faut bien lubrifier. » Ses yeux gris brillaient. Il était très attirant, avec son air sévère et son visage anguleux. Ses larges épaules lui donnaient un air puissant… J’ai frissonné de peur. La peur de mon propre désir pour cet homme…
« Lubrifier… Comment ? », ai-je balbutié. Là, tout a basculé… J’ai vu le doc s’approcher de moi, puis se pencher entre mes cuisses toujours ouvertes. J’ai senti son souffle, puis une masse collante couler entre mes grandes lèvres. Il salivait au-dessus de ma chatte…
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J’ai perdu le contrôle, tout en étant consciente que ses caresses étaient contraires à l’éthique médicale ! Mais mon envie était trop forte. Quand les doigts du médecin m’ont pénétrée, j’ai senti une montée de plaisir intense. J’ai étouffé un soupir avec difficulté… Je savais que la salle voisine était pleine de patientes qui attendaient.
Il fallait faire vite avant que quelqu’un ne comprenne notre manège. Et puis l’interdit était tel que nous brûlions tous les deux de désir. Je me suis relevée sur la table et j’ai mis mes jambes dans le vide, présentant ma chatte ouverte. Le docteur, très grand, était quasiment à la bonne hauteur. Il a tout de même attrapé le petit escabeau qui servait aux patientes pour monter sur la table et a grimpé dessus.
Là, son pantalon est tombé et j’ai vu sa verge énorme en face de moi. Il m’a enfilée d’un coup. Un mélange de douleur et de plaisir… Mais très vite, son ardeur est retombée. Le stress, sans doute. Alors, je lui ai proposé de venir s’exciter dans ma bouche. Après une seconde d’hésitation, il a placé le tabouret à l’autre bout de la table, du côté de ma tête.
Je me suis penchée en arrière et j’ai reçu l’engin ramolli. Quelle sensation étrange ! C’était musqué et à moitié dur, à moitié avachi. J’avais surtout envie que le beau gynéco me reprenne la chatte, mais j’ai avalé comme j’ai pu. Cela a marché : en quelques secondes, il a de nouveau été en pleine forme.
Vite, vite, l’escabeau, la bonne position, ses mains puissantes qui me prennent par les cuisses en m’attirent vers lui… Il m’a réempalée. J’ai gémi à nouveau, me redressant pour me blottir dans ses bras. J’étais assise à moitié sur la table, à moitié dans le vide, sa queue me pénétrant totalement. J’ai murmuré à son oreille que c’était bon, sa grosse queue dans ma teuch de lesbienne, et ça l’a obligé à enfouir sa tête dans mes seins pour étouffer les bruits de son plaisir.
Le rythme était de plus en plus intense, l’excitation à son comble. J’ai demandé au docteur ce qu’il allait faire… Il a répondu en grognant : « Je vais jouir en vous… » J’ai fermé les yeux, impatiente de découvrir cette sensation nouvelle… Quand il m’a serrée contre lui, j’ai su que c’était le moment.
J’ai glissé ma main en direction de mon clito et je me suis donnée du plaisir, une décharge vaginale étant suivie d’un bel orgasme clitoridien. J’ai alors senti qu’il venait. Le foutre a coulé en moi, quelques gouttes venant s’écraser sur le lino du cabinet. J’étais repue.
Fatigués tous les deux, il a bien fallu nous rhabiller. L’excitation est retombée rapidement. Je suis partie avec une mine coupable, le rouge au front devant les autres patientes. Et je n’ai jamais rappelé mon médecin, de peur d’avoir envie de plus. Ma vie avec des femmes me convient très bien, même si je chéris ce souvenir aussi tabou que délicieux.
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Marie-Claude
Bonsoir ça donne envie d’aller voir un gynéco mal car ce n’est jamais agréable mais une bonne baise c’est plus qu’agréabe