Ton sur tond
22 août 2024Le bain de soleil possède une vertu toute particulière, celle de mettre les corps en émoi. Excitées par Yvan, le beau jardinier, Anaïs et Melinda, nos deux blondes à croquer, vont ne faire qu’une bouchée de leur proie masculine. Alors gazon maudit ? Non gazon béni !
En ce début de printemps, le soleil pointe enfin le bout de son nez ! Profitant d’une journée de congé, Anaïs et Mélinda se sont empressées de s’épiler pour être les plus belles et les plus douces possible afin d’offrir leurs corps somptueux aux rayons ardents du maître du ciel. En bikinis assortis, voilà que les deux comparses déploient un grand plaid confortable sur le gazon fraîchement tondu et s’allongent, laissant leur peau se faire doucement haler.
Quinze minutes sur le ventre, quinze sur le dos, elles se prélassent sans se douter qu’Yvan est toujours dans l’abri de jardin en train d’entretenir la tondeuse. S’il est efficace dans son travail, cela ne l’empêche pas de reluquer avidement les demoiselles. Sans bruits, ce dernier glisse sa main dans la poche de sa tenue de travail.
Sa queue bande déjà et il se touche à travers le tissu rêche de son bleu. Certes, il se les taperait bien, mais les deux châtelaines n’ont certainement que faire d’un ouvrier aux mains calleuses comme lui, on n’est pas dans L’amant de lady Chatterley, se dit-il en son for intérieur… à tort.
Voilà les deux nymphes qui commencent à se caresser sous ses yeux ébahis ! Une main glisse sur le bonnet d’un soutien-gorge tandis qu’une autre agace le nœud de la culotte voisine.
Anaïs et Mélinda, légèrement troublées par le grand air et la chaleur, ont décidé de passer à des jeux plus coquins qu’un simple bain de soleil. Faute de mâle disponible, elles se satisferont très bien entre filles. Elles échangent leurs premiers baisers à genoux, face-à-face. Leurs lèvres étaient délicieusement douces, leur peau brûlante, leur souffle court, le plaisir sexuel allait tellement bien avec ce beau ciel bleu.
Un mouvement attira cependant l’attention de Mélinda. Qui se cachait derrière la porte en bois de l’appentis ? Le jardinier ! Le petit cochon avait la paume sur l’énorme bosse qui déformait sa cotte et les matait tout en se branlant comme il le pouvait. D’un index coquin, elle lui fit signe d’approcher.
L’ouvrier, resté interdit, se désignait incrédule de la main pour être bien certain qu’il n’avait pas la berlue. Il n’y avait personne d’autre que lui dans les parages, c’était bien à lui que s’adressait ce message muet. Il s’avança donc vers ce duo de rêve. Lui qui aimait par-dessus tous les bondes à forte poitrine, il était servi, il en avait deux à disposition qui semblaient vouloir s’offrir à lui sans chichi !
À peine arrivé près du plaid, Anaïs et Mélinda entreprirent de défaire les boutons qui retenaient sa tenue de travail et baissèrent le tout jusqu’à ses chevilles ! Les jeunes femmes ne s’étaient pas trompées, Yvan était un amant prometteur, aussi bien par la nudité qu’il affichait, sans le moindre tee-shirt ni aucune trace de slip sous sa salopette, que par le parfait volume du braquemart qu’elles venaient de découvrir.
Monsieur était monté comme elles en rêvaient, ni trop long, ni trop gros, la juste taille pour les satisfaire de partout et surtout, toutes les deux, ensemble. La seule question était, tiendrait-il la distance pour leur donner du plaisir sans faillir ?
Quelques préliminaires s’imposaient, Anaïs prit les devants et la queue finit bien au chaud dans sa bouche aux lèvres pulpeuses. Tandis qu’elle commençait à pomper le beau dard déjà raide, Mélinda s’affaira sur son soutien-gorge, libérant les seins voluptueux de son amie ainsi que les siens.
La pipe gagna de l’ampleur, les deux bouches se relayaient à merveille sur la tige de plus en plus dure. Les jeunes femmes échangeaient des caresses saphiques ou se laissaient tenter, chacune leur tour, par la paire de couilles qu’elles effleuraient avec sensualité pendant cette interminable et goûteuse fellation.
Yvan, conscient d’être gâté, dans tous les sens du terme, fit alors signe à ses amantes providentielles que, lui aussi, avait envie de leur faire plaisir. Le trio s’organisa de la plus belle des manières.
Anaïs s’allongea sur le dos et écarta largement ses longues jambes fuselées, offrant ainsi son petit abricot tout lisse à la langue gourmande du jardinier. Il allait pouvoir lui labourer la motte tout à loisir. Dans le même temps, Mélinda vint donner à brouter son minou délicat à sa copine, dans un face-sitting des plus hot.
On n’entendait plus que les bruits de lape et de mouille, de fente fouillée et de gémissements épars. La chaleur monta encore d’un cran lorsque les rôles s’interchangèrent.
Yvan se retrouva dos au sol, l’avidité des filles n’était pas étanchée, elles voulaient une ration de plus de queue à sucer avant de passer aux choses plus sérieuses. À son tour, le visage du mâle fut recouvert par les lèvres intimes de ses partenaires, ces dernières se frottèrent contre sa cavité buccale et son nez jusqu’à ce que leurs clitoris explosent et qu’un orgasme des plus délicieux submerge leurs corps libérés.
Les préliminaires étaient dans l’ADN d’Anaïs et Mélinda, mais pour autant, elles n’en avaient pas perdu des yeux leur but ultime, ce qu’elles désiraient vraiment, c’était se faire prendre l’une après l’autre par ce chibre qui tenait toutes ses promesses.
Ce fut Anaïs qui s’offrit la première en levrette, les reins cambrés à la limite de l’inconfort, la tête plongée entre les cuisses de Mélinda. À peine effleura-t-elle la délicate perle de son amie que le gland d’Yvan se présentait à l’orée de sa fente enduite d’une mouille aux fragrances de désir indéniablement abondante et huileuse à souhait.
Leur amant jardinier n’eut qu’à imprimer un léger mouvement de son bassin et les deux lèvres gorgées de sang s’écartèrent immédiatement. Il se rua alors en des va-et-vient de plus en plus sauvages, se régalant, au passage, du spectacle saphique qu’il lui était donné de regarder. Les seins d’Anaïs, plus petits que ceux de sa copine, mais très élastiques, ballottaient au rythme de ses saillies, une simple pression sur ses mamelons et elle partit dans un orgasme fou qui la fit trembler des pieds jusqu’au cuir chevelu.
Ce fut au tour de Mélinda de profiter du pieu toujours en activité.
Tel un volcan sourd, attendant l’heure de son éruption, il se tenait là, droit, fier, presque fumant de connaître les affres de ce second vagin encore inexploré. Anaïs céda sa place, le sourire aux lèvres, et regarda le nouveau couple se former.
Son alter-ego choisit de faire s’allonger son amant, sexe pointant vers le ciel. Elle lui présenta ses fesses divinement rebondies, jouant avec, dansant lascivement au-dessus de son visage, écartant ses globes pour lui montrer à quel point sa cyprine coulait de son joli con rose, puis elle s’accroupit avec une lenteur calculée, visant le gland tendu jusqu’à ce qu’il atteigne son cœur de cible.
La pénétration se fit tout en douceur, la blonde aux seins ronds et dodus comme des melons prit appui sur ses mains de part et d’autre des jambes d’Yvan et le baisa en faisant claquer son cul contre ses cuisses. Elle remontait au maximum, laissant parfois la bite sortir de son trou, Anaïs la remettait alors consciencieusement en place, non sans avoir donné quelques coups de langue sur le bout et sur la cicatrice béante et vide.
Mélinda aussi se fit sucer les nichons, ces pomelos gonflés étaient des proies de choix pour des lèvres gourmandes. Son plaisir se cristallisa lorsqu’elle sentit une main féminine venir lui caresser l’échine. Ces effleurements coururent le long de sa raie fessière et s’infiltrèrent au plus profond de son intimité. Là, un index, ou peut-être un majeur, se fraya un chemin jusqu’à son anus, son point faible.
Après quelques tentatives infructueuses, enfin l’anneau céda et les phalanges s’enfoncèrent dans le sphincter serré.
Sans doute accepta-t-elle l’intromission de plusieurs doigts, toujours est-il qu’elle profita de la parfaite coordination entre pénétration vaginale et introduction anale, la queue sortant du fourreau de devant pendant qu’Anaïs lui investissait le vestibule arrière et inversement. Le choc fut violent, partant de ses deux orifices pour se réunir à hauteur de son nombril.
La déflagration l’emporta et la fit hurler de bonheur et de satisfaction.
Un regard complice, les jeunes femmes aidèrent Yvan à se relever et, de concert, lui sucèrent la bite et les couilles, le couvrant de caresses et charmant ses mâles oreilles de gémissements entraînants.
Elles le firent gicler en quelques minutes, récoltant tout le foutre épais et onctueux pour se le partager dans un rouage de pelles exquis.