Cours de langues

La rédaction 6 octobre 2016

Pour des impératifs professionnels, Alain se voit contraint de prendre des cours accélérés de roumain. Mais les manuels se révèlent vite rébarbatifs, et les professeurs particuliers difficiles à trouver. Quand il tombe sur l’annonce de Gina, étudiante d’origine roumaine, une drôle de rencontre se profile.

Les professeurs de roumain sont plutôt rares dans ma région. Aussi quand j’ai repéré cette annonce sur le panneau d’affichage du lycée de ma fille, j’ai vite noté le numéro. J’avais besoin, pour des raisons professionnelles, d’apprendre les bases de la langue. J’ai contacté l’étudiante. Nous avons convenus d’un rendez-vous pour le lendemain.

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Gina a sonné à 19 heures au portail, et je suis immédiatement tombé sous le charme de son regard bleu si profond. Je lui ai offert un verre près de ma véranda avant de discuter des modalités de nos futurs cours.

Elle était étudiante en littérature française, afin d’enseigner à l’université, à Paris ou à Bucarest. En attendant, elle avait énormément de mal à boucler les fins de mois. Elle était charmante, curieuse de tout.

A mesure que la conversation avançait, je me sentais attiré par elle. J’aimais les inflexions de sa voix, et sa manière de relever ses grands cheveux bouclés. Je venais d’acheter un guide de Bucarest que j’avais laissé posé sur ma table de chevet. Je lui ai proposé de monter le parcourir. De façon très naturelle, elle s’est assise sur mon lit pour le feuilleter. Je devinais ses cuisses galbées sous son jean moulant. Gina avait besoin d’aucun artifice pour mettre son corps en valeur. Et son petit haut pas vraiment top tendance n’enlevait rien à son charme. En feuilletant les pages du guide, elle me parlait de la beauté du delta de Danube, de Cioran et le Ionesco, de sa ville natale et de la terreur communiste qu’avaient connu ses parents.

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J’avais terriblement envie d’elle. Je suis venu m’asseoir sur le lit. Sans doute était-ce l’effet de l’apéritif un peu trop chargé que nous avions bu, mais sitôt à son contact, je me suis mis à bander.

J’ai risqué une main sur son ventre. Après tout, pourquoi un homme divorcé comme moi n’aurait-il pas pu draguer une si jolie fille, même si nous affichions une différence d’âge…certaine ? Loin de s’effaroucher, elle a posé doucement sa main sur la mienne. J’ai été étonné de la chaleur que son corps dégageait. Nous nous sommes embrassés longuement.

J’ai tout de suite aimé ses caresses tendres et sensuelles, la douceur de sa langue et les fragrances suaves qu’exhalait sa peau : une forte senteur de blonde, mélange de lait chaud et de miel…Je me suis collé un peu plus derrière elle, et j’ai remonté mes mains jusqu’à ce que ses petits seins en poire emplissent mes paumes. Elle s’abandonnait contre moi, posant sa tête sur mon épaule. Je respirais sa nuque, tout en pinçant légèrement ses tétons qui durcissaient sous mes doigts. Je la sentais fondre petit à petit.

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Gina ne manquait pas d’expérience, à en juger par la manière dont elle a déboutonné mon pantalon avant d’extirper une queue bien raide de mon slip au tissu distendu ! Nous avons fait voler nos vêtements dans tous les coins de la pièce.

Choses incroyable : cette fille qui me paraissait si timide et si innocente, portait des bas résilles sous son pantalon ! Mais je n’étais pas au bout de mes surprises ! Elle n’a pas tardé à me prendre en bouche, goulûment, cherchant à m’avaler le plus profondément possible…Ah, cette génération qui a grandi avec le porno !

On peut dire se que l’on veut, mais parfois, ça a du bon ! Gina connaissait tous les petits trucs qui font infailliblement plaisir à un homme : la langue qui tourne entre le gland et le prépuce, le pouce qui appuie juste au bon endroit, sous le frein, puis, comble du raffinement, les doigts qui viennent appuyer sur le périnée avant de descendre autour de l’anus pour un massage doux mais appuyé. Et puis, surtout, le regard insistant, par dessous, alors qu’elle posait mon gland sur sa langue.

Tandis que son majeur frottait ma rondelle, elle m’a regardé d’un air interrogateur : pouvait-elle ou non aller plus loin, m’enfoncer un doigt dans le derrière ? Après tout, nous nous connaissions depuis si peu de temps… La caresse était plutôt intime ! Pour toute réponse, j’ai soulevé le bassin, appelant son doigt. Elle a commencé un doux va-et-vient dans mon cul tout en me prenant délicatement en bouche. Elle suçait le gland, parfois posait ses lèvres ouvertes dessus pour faire couler de la salive. Ma queue était luisante. Elle me branlait la hampe de ses mains fines. Ses caresses s’accompagnaient de bruits excitants.

Pendant qu’elle me suçait, je regardais dans le miroir, en face du lit, ses courbes parfaites, ses fesses toutes rondes au galbe superbement dessiné. J’ai tendu le bras pour déboutonner son jean, puis j’ai glissé une main pour caresser l‘étoffe qui épousait ses lèvres intimes.

Sa petite chatte chaude palpitait.

Elle s’est relevée pour ôter son jean et m’a soufflé, avec son délicieux accent : « Prends-moi, maintenant, s’il te plaît ! » Elle s’est allongée sur le dos.

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Le parfum de son sexe se mêlait à celui de nos sueurs, des ses cheveux et de son eau de toilette. Je me suis placé à l’entrée de sa chatte, une véritable fournaise dans laquelle je me retenais de m’enfoncer d’un seul coup…

J’ai opté pour une lente poussé à l’intérieur. Son abricot mouillait abondamment. J’ai ainsi possédé Gina en missionnaire. Par d’amples mouvements du bassin, j’essayais de faire durer le plaisir le plus longtemps possible.

Ses cheveux s’étalaient sur le lit, la belle me regardait la baiser, comme si elle était amoureuse.

C’est elle qui a relevé généreusement mes cuisses pour que je la pénètre loin, au plus profond. Ma queue allait et venait dans son minou, mais j’en voulais plus, je voulais la baiser dans toutes les positions, qu’elle se souvienne à jamais de notre première rencontre, tellement imprévue !

Je me suis allongé sur le dos, et elle est venue s‘empaler sur mon membre gonflé à bloc. J’ai empoigné son cul à pleines mains. Des envies de sodomie me sont venues.

Tout près du bout de mes doigts, je devinais son anus qui s’élargissait d’aise sous mes coups répétés. Les abords de son petit trou étaient brûlants et trempés de sueur. Je lui ai demandé de se retourner, et, écartant bien ses globes, j’ai plongé ma langue dans l’orifice beige qui ne demandait qu’à être investi à son tour. Pointant mon doigt à l’intérieur, j’ai commencé à lui fouiller ce doux conduit. Elle gémissait, appelant ma queue que j’ai enfoncée progressivement par de petits mouvements qui ont achevé de dilater l’orifice.

Son anus me souriait, m’accueillait, m’aspirait…

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Je m’enfonçais dans ses entrailles comme dans une caverne au trésor. J’y suis allé de quelques claques sur les fesses. J’ai ajouté que j’allais lui apprendre de nouveaux mots en français.

En la pilonnant, je lui balançais des termes crus : « Tu aimes que je te casse la rondelle, petite chienne ? » Ses couinements m’excitaient.

Elle, elle semblait apprécier le claquement de mon ventre contre ses fesses. Puis j’ai senti le moment fatal s’amorcer. L’anneau se son cul s’est contracté sur ma bite, et Gina a miaulé comme une chatte en chaleur.

Je me suis retiré de ce cratère brûlant pour offrir ma semence à sa bouche. Des jets épais ce sont écrasés contre son palais. Elle me regardait de ses grands yeux clairs et candides, tandis que la semence dégoulinait de ses lèvres, qu’elle a essuyées d’un doigt, avant de le porter à sa bouche.

A force de cours répétés, mes progrès en roumain ont été fulgurants ! Et je milite depuis pour un rapide élargissement de l’espace Schengen à la patrie de Cioran.


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