La prise en passant
14 septembre 2015Mathilde et Erwan font connaissance dans une salle de théâtre parisien, au cours du dernier spectacle de leur comique favori. Après avoir bien ri, les deux jeunes s’en vont discuter autour d’un verre. Erwan est un fondu d’échecs, Mathilde n’y connaît rien. En voulant partager sa passion avec sa nouvelle amie, le jeune homme va avoir l’occasion de découvrir un autre terrain de jeu avec elle, bien plus glissant…
J’ai rencontré Erwan à la sortie d’un spectacle de mon comique préféré, dans un théâtre parisien. On était assis non loin l’un de l’autre, chacun ayant à la main un pauvre billet chopé pour super pas cher sur le Net. Autant dire qu’on était mal placés ! Enfin bref, on a bien ri quand même. À la sortie, il m’a proposé de prendre un verre, et j’ai accepté. On s’est revus plusieurs fois suite à cette rencontre.
Erwan est informaticien et occasionnellement, joueur d’échecs amateur de haut niveau. Moi, je n’ai jamais rien compris à ce jeu. Trop intello ! Mon nouveau pote s’est proposé de m’apprendre. Why not ? C’était l’occasion de le recevoir à la maison (les parents sont en voyage pour deux mois !). Autant en profiter pour passer une bonne soirée, et qui sait, plus ? Ce samedi, il est arrivé avec un échiquier portable et très vite, s’est mis à m’expliquer les règles de base. À dire vrai, moi, j’avais plutôt envie de jouer avec sa grosse tour (enfin, je la supposais grosse), et qu’il cajole mon petit pion ! Bref, je faisais ma gourde, j’en rajoutais, je rigolais, et je n’écoutais strictement rien de rien de ses explications. Je n’avais qu’une envie, que ses mains lâchent les pièces du jeu pour visiter mes cases secrètes.
Je portais une petite tunique légère ultracourte avec des collants, et pas de sous-vêtements. Erwan, toujours à son affaire, m’expliquait un coup d’échec. Je me suis assise sur ses genoux, qu’il sente un peu mon odeur de femelle, tout en faisant mine de réfléchir à cette passionnante “prise en passant”. J’ai légèrement écarté les cuisses car je mouillais de plus en plus et j’avais franchement envie qu’on passe à autre chose, justement… Je lui ai glissé : “J’ai mes deux petits fous qui pointent, tu veux les voir ?” Et j’ai tiré sur mon top léger pour dévoiler un nichon… Erwan, très intéressé, a posé sa main sur l’autre, afin de s’assurer d’une parfaite équité entre les deux. Un sein dans sa paume, l’autre à l’air, je chauffais de plus en plus fort.
Je me suis redressée assez brusquement et j’ai balancé à Erwan sans préambule : “Tu veux pas plutôt jouer à chat ? Enfin, à chatte ?” Et là, j’ai descendu mon collant pour lui dévoiler ma jolie petite touffe châtain foncé. Mon beau brun m’a lancé un regard aussi doux que coquin, et son sourire a validé ma proposition. Il m’a invitée à me rasseoir à ses côtés et a approché son visage du mien. Nos bouches se sont jointes en un baiser très langoureux… La respiration d’Erwan s’accélérait peu à peu, preuve que je lui faisais mon petit effet… Plus je regardais ce mec, plus il me plaisait. Je ne savais pas encore s’il était aussi doué pour le sexe que pour les échecs, mais j’avais bien l’intention de m’en assurer le plus rapidement possible. Tout en m’embrassant, il a relevé ma tunique pour mettre mes seins à l’air. Mes pointes étaient dures comme du béton, les aréoles pigmentées par l’excitation.
Puis, il a maladroitement descendu mon collant. Ma foufoune suintait de plus en plus, exsudant son désir de lui. Sa main chaude s’est posée sur ma jambe, et il m’a attirée contre lui. Il a glissé sa cuisse sous mes fesses, et mon derrière nu a frotté contre la toile de son jean. Ma fente gouttait sur son pantalon, mais cela n’avait pas l’air de le gêner, bien au contraire ! Ses doigts sont remontés vers mon triangle bouclé, et il a chatouillé l’entrée de ma grotte. Je pense qu’il a constaté un degré d’humidité très avancé… Ses doigts m’électrisaient, et j’avais bien envie de saisir sa main pour l’inciter à me caresser le clitoris jusqu’à l’orgasme. Mais je ne devais pas précipiter ainsi les choses. Il était encore habillé !
Je me suis détachée de son étreinte et je me suis installée contre lui afin de défaire la fermeture de son jean, de dégager la bosse sous son jean, enfin, le but était de lui enlever son jean… et de découvrir les trésors cachés dessous, bien sûr. Erwan s’amusait à me regarder galérer avec les boutons de son pantalon. Je me coinçais les doigts dedans, une vraie gourde. Il faut dire que mon chevalier servant pelotait très adroitement mes seins, et que ses caresses ne me laissaient vraiment pas de marbre. Il m’était d’autant plus difficile de me concentrer sur des boutons pressions ! En outre, ma chatte coulait de plus en plus et, malgré moi, je ne pouvais m’empêcher d’y laisser traîner un doigt ou deux. Pourtant, je suis venue à bout des pressions du jean. Et la surprise a été de taille, on peut le dire, quand j’ai vu la belle chose qui se cachait sous la toile ! Une superbe queue, raide et vaillante, qui n’attendait que moi pour se faire déguster.
J’ai vite entamé une bonne pipe, tenant fermement l’objet du désir dans ma main tout en salivant abondamment sur le gland palpitant. Erwan avait un très beau sexe, bien dessiné, et je me préparais à me régaler… Mais, apparemment, mon nouveau camarade voyait les choses autrement. Il m’a glissé d’une voix troublée et rauque : “Non, arrête s’il te plaît, j’ai envie de te baiser d’abord. Tu veux bien ?” C’était demandé si gentiment, je n’allais quand même pas refuser ! Je me suis immédiatement placée en levrette sur le canapé, et il a posé son bout juste à l’orée de mon palais des plaisirs, trempé et crispé d’envie de se faire emplir. J’ai gémi quand il a introduit son gland. Quel kif ! J’ai toujours vécu l’instant de la pénétration comme un pur soulagement. Cette sensation de vide soudainement apaisée, et qui augure tant de bien-être… Miam ! En tout cas, mon joueur d’échecs n’était pas doué que pour bouger les pièces du jeu, il savait aussi merveilleusement bien se servir de sa tour large, chaude et habile…
Il me ramonait à grands coups de bite, placé très au-dessus de moi pour prendre un bon élan, un peu comme un acteur de porno. Je gémissais de plus en plus fort, agrippée au canapé, ressentant à chaque ruée des montées de plaisir. Je me sentais objet sexuel et j’aimais ça. Ses couilles tapaient sur mon clitoris à chaque “enfoncée” de queue. Je n’ai même pas eu besoin de me toucher pour qu’il m’emmène vers mon premier orgasme. Mon fourreau s’est crispé violemment sur sa tige de béton alors que je haletais ma jouissance. Mais Erwan n’avait pas joui. Je lui ai demandé s’il voulait bien que je le suce. Il a bafouillé un “oui” timide, en totale contradiction avec la manière virile avec laquelle il venait de me baiser. Je me suis installée de façon à bien gober sa queue et à caresser ses boules plus sa raie en même temps. Son sexe avait l’odeur et le goût du mien, j’avais l’impression de me sucer moi-même, c’était très troublant. Ma langue tournait autour de son gland et lui, il flattait ma chute de reins de douces caresses. Douces mais suffisamment habiles pour réveiller en moi l’envie de me faire prendre à nouveau. Je crois bien que c’est ce qu’il voulait.
Une fois de plus, il a stoppé ma pipe pour se réintroduire dans ma fente. Ce coup-là, il m’a levé haut la jambe et s’est montré plus hardi dans ses mots “Regarde, ma queue qui entre en toi. Mhhh, c’est beau, c’est chaud, j’adore… C’est bon de te baiser, ça te plaît ? Allez, dis-moi si t’aimes ça !” J’étais bien incapable de répondre, la tournure très hot des événements me coupait le souffle. Je n’avais jamais eu d’amants comme lui, qui alternent le romantique et le hard. Et je dois reconnaître que ça m’excitait tellement que j’étais incapable de prononcer un mot. Seules les plaintes de bonheur sortaient de ma bouche…
Je devinais qu’avec ce mec, j’allais pouvoir vivre tous mes fantasmes. Son engin me fourrait à une vitesse folle. J’ai manqué tomber du canapé tellement il me secouait fort ! “Lâche-toi, dis-moi à quoi tu penses là…”, m’a lancé Erwan, entre deux coups de queue. Sans réfléchir, j’ai répondu un truc du genre : “Oh oui, vas-y, défonce-moi, baise-moi, fourre ma chatte, j’aime ça, oh j’aime ça, c’est boooon !” Je ne me croyais pas capable de parler comme ça.
Grisée par la situation, j’ai agité mon bassin pour m’empaler encore plus profond sur la queue de mon baiseur de compet’. Il a rigolé tendrement : “Ben tu vois, quand tu veux !” Et là, il s’est retiré. J’ai éprouvé une sensation de vide horrible, comme un vertige de l’intérieur. Erwan s’est assis sur le canapé et il m’a glissé d’une voix suave et quasi perverse : “Viens ici, viens te baiser sur moi, petite chatte !” Je me suis empalée à toute vitesse sur lui pour retrouver cette sensation de plénitude. Ses mains dans mon dos me caressaient, remontaient vers mes seins, repartaient, puis il m’a chuchoté : “Touche-toi en même temps, ce sera meilleur…” Cochon va ! Mais j’ai suivi son conseil. Et effectivement, c’était meilleur. Il a glissé ses mains sous mon cul pour donner le rythme, et je me suis baisée et branlée en même temps sur cette queue de rêve. J’entendais le claquement sec de mes fesses sur ses cuisses, les bruits de ventouse de ma chatte sur son pénis, c’était délicieusement obscène, et ça m’a fait partir dans un orgasme d’une puissance et d’une longueur que je n’aurais jamais imaginé connaître. Je ne pensais même pas que ça pouvait exister, à dire vrai.
C’était fou ! Erwan s’est relevé, m’a appuyé sur l’épaule pour que je glisse au sol, a saisi son engin à pleine main et m’a ordonné : “Suce-moi salope !” J’ai gloussé, mais je me suis exécutée. J’ai enveloppé de mes lèvres ce bon sexe qui m’avait fait tant de bien, et j’ai joué le jeu un peu porno de mon amant du jour. Je l’ai pompé comme je l’avais vu dans les films X, je me suis touchée en même temps, plus par défi que dans le but de me faire jouir, et aussi parce que je me doutais que ça plairait à Erwan. J’ai vu, il ne parlait plus trop. Sa main dans mes cheveux me donnait des consignes, elle. Là, il se concentrait sur son plaisir après m’avoir gâtée comme une princesse. J’ai eu un peu de mal à absorber ce gros sexe aussi profondément que la main me l’indiquait, mais j’ai fait de mon mieux.
Et cela a eu l’air de plaire car j’ai entendu Erwan marmonner : “Oh oui, tu suces bien, oui, continue, elle est bonne ta bouche, oui, comme ça, mmmmhhh…” Quelques va-et-vient plus tard, il a crié : “Aaah, je vais jouir !” Il s’est vite retiré et moi, jouant à la hardeuse jusqu’au bout, j’ai rapproché mon visage, ouvert la bouche, tiré la langue et je l’ai regardé droit dans les yeux. Il a compris que je voulais qu’il me gicle dessus et, quelques mouvements enveloppants de sa main sur son sexe ont suffi à faire jaillir sa crème d’homme. Le sperme a atteint ma joue, mes lèvres, ma langue, mon menton. Ses doigts crispés sur son engin se sont détendus, et il m’a regardée, couverte de son plaisir. Il m’a souri. Moi aussi. On était bien.
On doit se revoir bientôt. Je ne sais pas s’il a toujours envie de m’enseigner les échecs. Et moi, je ne crois pas que j’ai encore envie d’apprendre On a mieux à faire, tous les deux… Un autre genre de parties à deux. Il semblerait qu’on s’entende plutôt bien aussi à ce jeu-là…