L’eau à la douche

La rédaction 15 avril 2015

Ce matin, Chloé a des envies de réveil coquin. Alors que le frère de sa coloc est de passage dans la capitale, la brunette va faire irruption dans la salle de bains afin de satisfaire son irrépressible envie de sexe.

Ce matin, Chloé a des envies de réveil coquin. Alors que le frère de sa coloc est de passage dans la capitale, la brunette va faire irruption dans la salle de bains afin de satisfaire son irrépressible envie de sexe.

Jérémy venait de se lever. J’avais entendu couler l’eau du robinet, la salle de bains était collée à ma chambre. Mélanie, ma colocataire, était partie très tôt ce matin. J’avais entendu le bruit sec de ses talons sur le plancher, et la porte avait claqué derrière elle.

La seule personne qui restait dans la maison ne pouvait être que Jérémy, son frère, que nous hébergions le temps d’un court séjour à Paris. Nous avions passé la nuit dernière à veiller tous les trois ensemble, assis sur le canapé devant la télévision. Je dois avouer que Jérémy m’avait tout de suite tapé dans l’œil. Cela faisait très longtemps que je ne m’étais pas fait prendre par un mec, et mes petites parties de masturbation en solitaire ne me suffisaient plus.

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Sans réfléchir plus longuement, je suis sortie de mon lit, j’ai enfilé rapidement le minishort et le débardeur qui traînaient près de moi et ai fait irruption dans la salle de bains sans frapper à la porte. Jérémy était en train de se brosser les dents. Je l’ai interrompu en lui passant langoureusement ma main sur le ventre.

Il ne m’a même pas décroché un bonjour, il a tout de suite su où je voulais en venir !

J’ai baissé mon débardeur pour faire sortir mes seins. Il a collé timidement sa bouche sur mes tétons dressés ! Ouf, avoir une expérience coquine avec la colocataire de sa sœur n’avait pas l’air de le déranger. Cependant, il restait bien sage et n’osait s’aventurer plus loin. J’ai décidé de passer à la vitesse supérieure. J’ai serré mon petit short en jean à l’entrejambe pour le faire glisser dans ma fente. L’effet a été immédiat ! Jérémy s’est rapidement baissé pour lécher tout ce qui dépassait : mes lèvres, mon clito, le tissu de mon jean… Sa langue agile s’insinuait partout.

Une fois qu’il s’est bien fait plaisir, il a pris une serviette sur l’étendoir et l’a posée sur le sol. Mince ! C’était celle de Mélanie ! Je me suis retenue de le lui faire remarquer et d’aller chercher une des miennes dans ma chambre, de peur de briser notre élan fougueux.

Il s’est allongé dessus en me faisant un signe pour que je vienne le rejoindre. Je me suis couchée dos à lui et l’ai embrassé dans le cou. Il m’a vite fait tourner la tête de l’autre côté et a soulevé ma jambe. Et bien voyons !

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Toute la gêne du début s’était donc envolée pour laisser place à un vrai animal en rut. Il a sucé ses doigts et a enfoncé son majeur directement dans ma chatte, en accompagnant son geste d’un soupir rauque. Il a caressé mon petit bouton au-dessus avec son pouce encore libre.

C’était délicieux ! Si Mélanie savait que son frère se débrouillait aussi bien avec ses doigts… J’ai voulu lui rendre la pareille ! J’ai léché ma main entière, sous ses yeux, en faisant bien passer ma langue sur toutes mes phalanges et je l’ai branlé. Moi aussi, j’étais beaucoup moins prude qu’au début. Je l’agitais dans tous les sens en la pressant bien fort.

Il me faisait couiner de plaisir en me doigtant, je ne retenais aucun de mes cris, aucun de mes gémissements. Une fois que j’étais bien prête, il a enfoncé sa bite en moi, très profondément. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti ça ! Aucun de mes sextoys n’avait réussi à remplacer le plaisir d’une queue dure et frémissante au fond de mon vagin.

Il a empoigné fermement mes deux fesses et les a largement écartées pour pouvoir s’enfoncer encore plus loin. Je collais ma main sur la baignoire pour me retenir, la serviette glissait sur le carrelage, et la position était très inconfortable. « Si Mélanie savait ce qu’on fait sur sa serviette ! » ai-je dit à Jérémy en souriant. « Tu as raison, mieux vaut faire ça ailleurs ! » m’a-t-il répondu, amusé. Ah ! Ce que j’aimais les cunnilingus le matin. Tous mes sens commençaient à s’éveiller doucement. Je l’ai fait s’asseoir sur la baignoire et ai passé ma main à travers son caleçon. Il n’osait plus bouger, interdit. Je me suis dit qu’il n’avait pas dû voir une petite chatte depuis bien longtemps lui non plus, il avait des réticences à prendre des initiatives.

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Sa bite commençait à se durcir au fur et à mesure que je le branlais. Il en avait une bien épaisse, comme j’aimais. Il fallait que je la goûte ! Je l’ai passée par le bas de son caleçon et ai commencé à suçoter le bout. On sentait qu’il n’avait pas encore pris sa douche, son sexe avait gardé une odeur très forte, un mélange de sueur et de sperme.

C’était très excitant ! Je l’ai enfoncé plus profondément. Il restait les bras ballants, savourant tranquillement sa pipe.

Mince, il fallait vraiment qu’il se bouge un petit peu s’il voulait m’exciter ! J’ai pris sa main et l’ai placée sur mes cheveux.

Il restait en simple observateur mais j’avais vraiment envie qu’il participe à la fellation. Il a serré bien fort mes longues mèches brunes, m’obligeant à engloutir sa queue dressée jusqu’aux abords de ma gorge. J’ai posé mes genoux sur le carrelage pour pouvoir mieux me maintenir. Les assauts de la bite de Jérémy étaient de plus en plus forts. Le carrelage était glacial, mais je le remarquais à peine. L’excitation arrivait à me faire oublier tout le reste. Jérémy commençait vraiment à se laisser aller ! Il a soulevé sa queue pour que je puisse lécher ses couilles. Je les lapais comme une petite chatte, les mordillant doucement au passage. Il a commencé à se branler en même temps, sous mes yeux. J’adorais cette vision d’un homme qui n’a pas honte de se donner du plaisir ! Ça y est, Jérémy était lâché, plus rien ne pouvait l’arrêter. Il a poussé ma tête sur son entrejambe et m’a fait gober ses testicules, en me les mettant toutes les deux à tour de rôle dans ma bouche grande ouverte.

Il s’est mis debout et m’a aidée à me relever. Brutalement, il m’a jeté contre le lavabo et m’a embrassée à pleine bouche. J’avais encore envie de sa queue, j’étais loin d’être rassasiée. J’ai pris sa bite toujours aussi raide et je me la suis enfoncée. Mmm… Même debout, les à-coups de Jérémy étaient sensationnels ! J’avais très chaud. J’ai ouvert le lavabo derrière moi du côté de l’eau froide. J’ai trempé ma main sous le jet glacé et l’ai passée dans mes cheveux, pour me revigorer.

J’étais trempée de sueur ! L’eau coulait de mes cheveux sur son tee-shirt en laissant au passage une belle auréole.

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Jérémy les a relevés au-dessus de ma tête et m’a retournée pour me prendre en levrette. « Tu as chaud ?, m’a-t-il demandé, et bien voilà de quoi te rafraîchir ! » Il a ouvert les vannes du robinet encore plus fort et a fermé le bouchon d’écoulement. La cuvette du lavabo commençait à se remplir. Il a appuyé ma tête pour que ma bouche se retrouve pile au niveau du jet d’eau. Mes lèvres étaient complètement anesthésiées par le froid et le débit puissant.

Jérémy continuait de s’enfoncer en moi de façon brutale, ce qui me brûlait presque. Les sensations étaient vraiment incroyables ! J’avais très chaud et très froid en même temps.

J’étais tremblante, laissée à sa merci. Il pouvait faire de moi ce qu’il voulait telle une poupée de chiffon.

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« Tu as une très belle chatte, Chloé, j’ai envie de jouir dessus » m’a-t-il dit, comme une dernière volonté. Je me suis allongée sur la serviette encore chaude et ai écarté bien grand mes cuisses.

Jérémy s’est branlé sur mon clitoris tout en caressant les lèvres de ma bouche, encore gelées par l’eau froide. Ça l’a tellement excité qu’il s’est mis à gicler en laissant de belles traces blanches sur ma chatte et sur la serviette de Mélanie.

Aaaaah… Les joies de la colocation

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