Journal intime

La rédaction 10 juillet 2021
lea journal intime érotique

Salut, moi c’est Emilie, j’ai 29 ans et je suis une belle blonde sportive qui aime la vie et le sexe ! Les hommes m’adorent et je le leur rends bien… Depuis quelque temps, j’ai décidé de leur rendre hommage en créant un journal de mes aventures érotiques. C’est une sorte de carnet dans lequel je note mes plans culs, nos performances, avec un commentaire sur l’expertise du type en question et surtout, quand c’est possible, j’accompagne tout ça d’un petit polaroïd de nous en pleine action. J’adore tenir ce carnet comme un Don Juan qui aurait un tableau et qui ferait des concours de bite avec ses potes pour voir qui baise le plus. Moi, je le garde pour moi et ça me permet juste de replonger dans un moment charnel qui m’a plu. Ça me donne des sensations en évoquant ces bons souvenirs et parfois, en le feuilletant, je finis même par me branler sur ses pages, tant relire ces mots et revoir ces photos met mes sens en éveil. Du coup, j’ai décidé de vous envoyer une petite sélection de ces conquêtes sur une période d’une semaine particulièrement active… Voici quelques unes de mes histoires porno.

 La pipe

Jour 1 : J’étais avec un amant et je voulais tester plein de positions différentes pour le sucer, histoire de tester ma souplesse, l’élasticité de mon corps et de ma bouche ! J’adore quand il se met nu et que je joue avec sa queue en expérimentant des trucs. Là, on était chez lui et il s’est allongé, mon appareil photo polaroïd en main pour me prendre en photo. Je me suis calée à genoux entre ses cuisses pour lui administrer une pipe de l’au-delà, à l’envelopper avec mes lèvres et ma langue en passant sensuellement dessus, de la garde jusqu’au délicat frein. En plus des succions, j’ai donné des petits coups de langue sur toute sa surface avec tendresse. J’adorais voir sa queue sursauter sous mes caresses et j’adorais m’occuper d’elle. Puis j’ai voulu le prendre autrement. Il est venu à califourchon sur le haut de mon buste, ses cuisses me prenant le cou presque en tenaille et sa belle bite se trouvant juste à la hauteur de ma bouche. Je n’ai eu qu’à l’ouvrir pour qu’elle s’y glisse et j’étais sa prisonnière, envahie par l’érection que j’avais provoquée qui se frayait un chemin dans ma bouche, et son corps nu au-dessus de moi m’excitait. Bien sûr, j’ai demandé à ce qu’il prenne des photos et j’adore le résultat.

Le cucurbitacée

Jour 2 : Avec un autre amant, on a voulu tester des trucs avec des légumes J’avais toujours été attirée par les alternatives aux godes pour la masturbation Mon côté bobo bio peut-être… Nous étions sur mon lit, à nous chauffer avec ce mec, quand je me suis échappée pour aller dans la cuisine et ramener l’objet du délit : un concombre de belle taille qui saurait satisfaire mes nouveaux appétits culinaires. Je me suis mise à plat ventre sur le lit et je lui ai demandé de me stimuler la chatte jusqu’à ce que je sois bien humide. Il a enduit le concombre de lubrifiant et il a écarté mon cul et ma chatte pour me l’y enfoncer progressivement… C’était frais et excitant, la texture était agréable et il est allé tout doucement… C’était vraiment pour faire l’expérience et pour nous chauffer en faisant un truc un peu “barré” ! Il a pris des photos de ma chatte dilatée par le cucurbitacée et je trouvais ça tout à fait stimulant de me retrouver dans pareille posture ! J’aimais bien qu’il ait accès à cet angle de vue et pas moi sur le moment, j’aimais sentir qu’il apprenait avec moi, qu’il était précautionneux et qu’il m’aidait à réaliser mes désirs de découvertes…

L’arroseur

Jour 3 : Là, j’ai atteint le climax avec un troisième plan cul régulier. Je portais ce jour-là une sorte de culotte zippée léopard qu’on peut dézipper pour voir mon cul tout en continuant à la porter. J’aime bien baiser tout en ayant encore des fringues sur le dos. Je trouve qu’il y a un côté débridé, genre on est incapables de se retenir, et ça me fait grave mouiller. Pareil, j’étais face contre le lit et lui derrière moi et il se régalait de regarder mon cul, de le prendre avec ses mains et de le malaxer.lComme j’ai des fesses très sensibles, il me suffit de quelques caresses dessus pour me mettre le feu au cul. C’est ce qui s’est passé et, au bout de quelques massages, j’étais déjà chaude comme une baraque à frites, prête à me faire prendre. C’était mon amant préféré, j’avais l’impression que sa queue se fondait parfaitement dans ma chatte. J’étais à demi-allongée sur le lit, comme un Sphinx et je lui faisais une totale confiance, et lui aussi prenait des photos de mon cul avec mon appareil photo polaroïd pendant qu’il mettait sa queue en moi. Jusqu’à ce que je lui dise de lâcher l’appareil et de me bourriner un peu plus. Là, il s’est lâché et il a fait coulisser plus vivement sa bite en moi. C’est le moment final où j’entre en fusion avec lui et cette fois, j’ai voulu qu’il m’éjacule sur le visage et me prenne en photo, parce que je trouvais ça beau. Quand il a senti qu’il venait, il s’est posté au-dessus de ma figure pour se branler et cette vue me faisait tellement planer que je me suis branlée moi aussi et que j’ai joui au même moment où je me prenais les giclées de sperme dans la gueule… Du coup, sur la photo, j’ai du foutre sur la joue et un sourire béat en raison de ma jouissance…

J’adore mes amants et j’espère que je vous aurais transmis un peu de ma passion à travers ces récits.

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