La revanche d’une timide
2 avril 2025Cynthia, 23 ans, ne se sentait pas séduisante. Elle déménage à Paris et prend en confiance, lorsqu’elle revient, elle se tape son crush du lycée !

Cynthia nous fait part de son histoire de sexe avec Antoine, son crush du lycée que toutes les filles convoitaient !
Bonjour interstron.ru, je m’appelle Cynthia et j’ai vingt-trois ans.
Antoine le crush de Cynthia
Si au lycée, on m’avait dit que ma vie deviendrait cool, je ne l’aurais jamais cru. À l’époque, j’étais la timide, celle qui s’effaçait dans les couloirs, toujours à l’écart des autres. Les moqueries fusaient. Je me souviens encore des surnoms qu’on me donnait : “la planche à pain” à cause de ma petite poitrine, “la sorcière” car j’ai de longs cheveux noirs… J’ai détesté ces années-là, cette sensation de ne jamais être à ma place, étrangère dans ma propre peau. Le pire, c’était d’être invisible pour ceux qui comptaient. Et par là, je veux surtout parler d’Antoine, le garçon dont toutes les filles rêvaient.
Antoine était le beau gosse du lycée. Grand, brun, les yeux bleus, avec un large sourire qui me faisait fondre. Et moi, je n’étais qu’une silhouette parmi tant d’autres. Une ombre. Il ne savait même pas que j’existais. Antoine passait dans les couloirs entouré de sa bande, rieur, charmeur, et moi, je le regardais le cœur battant, espérant qu’un jour il me remarquerait. Il ne l’a jamais fait. En tout cas, pas à l’époque.
Un nouveau départ
Après le bac, j’ai pris une décision radicale : j’ai quitté ma province pour Paris. Envie de tout effacer, de repartir de zéro. Je me suis installée dans un petit studio, loin des souvenirs de mon adolescence. Là, j’ai découvert une nouvelle version de moi-même. J’ai appris à m’aimer, à me faire des amis, à sortir, à séduire. J’ai commencé à fréquenter des hommes, à expérimenter, à m’affirmer. L’ancienne Cynthia, celle qui se cachait derrière ses cheveux, a disparu. Je suis devenue une femme pleine de vie et d’envies.
En septembre, je suis retournée chez mes parents pour quelques jours de vacances, ce que je n’avais pas fait depuis le bac. D’habitude, ce sont eux qui viennent me voir. Mais là, je sentais que j’étais prête, que personne ne pourrait me replonger dans mes anciens complexes. Je me suis même rendue à une soirée organisée à la salle des fêtes du village. Et c’est là que je l’ai revu. Antoine.
Il n’avait pas vraiment changé, toujours aussi séduisant, même s’il avait tout de même perdu un peu de sa superbe. Peut-être avait-il fini par comprendre que le monde ne tournait pas autour de lui ? D’abord surpris, il m’a fixée avec insistance, comme s’il essayait de se rappeler où il m’avait déjà vue. Quand il a enfin compris, il m’a saluée, un peu gêné, comme s’il était impensable que la « planche à pain » du lycée puisse se tenir devant lui, sûre d’elle.
La revanche d’un ancien fantôme
Je n’ai pas pu m’empêcher de savourer l’instant. La roue avait tourné. Moi qui autrefois rêvais de lui, j’étais maintenant celle qu’il regardait avec un intérêt non dissimulé. Nous avons échangé quelques banalités, mais je sentais qu’il me scrutait, qu’il me trouvait même séduisante. Et alors que la soirée avançait, j’ai pris une décision. J’allais lui montrer.
Vers la fin de la soirée, je l’ai fait sortir discrètement. Nous nous sommes retrouvés derrière la salle des fêtes, loin des regards, même si certains avaient compris. J’ai planté mes yeux dans les siens, un sourire en coin, puis j’ai commencé à me déshabiller lentement, sans rien dire. Antoine est resté figé, d’abord incrédule, puis fasciné. Il ne disait rien, mais je pouvais voir à quel point il était captivé. Moi, je jouissais de cette sensation de pouvoir, de contrôle, que je n’avais jamais connue en sa présence.
Après cette nuit, tout s’est enchaîné. Nous nous sommes revus chez lui à plusieurs reprises. À chaque rencontre, je jouais de son désir, de son étonnement face à la femme que j’étais devenue. J’ai pris un plaisir particulier à lui montrer qu’il n’avait plus la moindre emprise sur moi, que je menais le jeu. J’ai mis de la lingerie, j’ai dévoilé mon corps sans complexe, moi la brunette piquante et sexy. C’était à son tour d’être dans la position du garçon qui se consume de désir pour une fille sans avoir aucune prise.
Une assurance de feu !
C’est moi qui, à chaque fois, lui ai demandé des photos. Regardez-moi le prendre en bouche et imaginez-vous la sensation, mes douces lèvres qui se referment sur son sexe tout dur, puis ma bouche qui s’entrouvre avant de serrer à nouveau… J’avance et je recule sur sa queue qui pulse, je l’aspire à présent, Antoine gémit. Je réclame une photo, il doit se concentrer et sa queue ramollit un peu. Alors j’enroule ma langue autour de son gland et j’aspire le mélange de salive et de liquide séminal. Il se tend à fond, le goût est salé, délicieux.
La vengeance est un plat qui se mange froid, et lentement, alors souvent, après l’avoir excité au maximum avec ma bouche ou tandis qu’il me baise bien dur en levrette, je lui demande une nouvelle photo. C’est autant pour avoir un souvenir que pour tenter de redescendre d’un cran. Regardez comme mes joues sont rouges, je suis au bord de jouir, je sens mon sexe qui palpite dès qu’Antoine s’enfonce. J’imagine ce qu’il va faire des photos… Sans doute se branler dessus, peut-être les montrer à ses amis… Je visualise alors les anciens du lycée en train d’admirer la scène, ils n’en croient pas leurs yeux de me voir comme ça, cambrée en levrette. Certains me traitent de petite salope, mais ils me veulent, et l’idée me procure une sensation incroyable. Quelques secondes après, mes reins se creusent et je jouis, entraînant Antoine à ma suite…
Je suis retournée à Paris sans aucun regret, au contraire. Je sais que quand je rentrerai chez moi pour les vacances, je n’aurai qu’un SMS à envoyer à Antoine pour reproduire de nouvelles histoires de sexe. À lui ou à d’autres anciens du lycée… Ensemble, je sens qu’on va bien s’amuser.