Sages libertines
18 juin 2025Adèle, 43 ans, souhaite coûte que coûte raviver la flamme au sein de son couple, quitte à se lancer dans le libertinage !
Adèle nous raconte son histoire de sexe amateur avec son mari Emmanuel, avec qui elle souhaite rallumer la flamme en se rendant dans une soirée libertine privée !
Bonjour, bonjour. Je m’appelle Adèle bien que j’ai dépassé la quarantaine, je suis encore une belle femme avec un corps qui ne laisse pas les hommes indifférents.
Sauver le couple
Mon petit plus? Une paire de nibards aux dimensions titanesques, je sais que les mecs en raffolent et que leur regard a du mal à s’en détacher lorsque je porte un grand décolleté.
Pour parler de ma vie «perso», cela fait 20 ans que je suis en couple avec Emmanuel, et nous sommes mariés depuis 15 ans. Malgré les années qui défilent, nous avons conservé une vraie complicité et nous sommes toujours très amoureux l’un de l’autre.
Le petit hic ? Notre sexualité avait tendance à s’estomper au fil des années, et sur les derniers mois, nous n’avions même plus envie de faire l’amour !
Au départ, nous n’osions pas vraiment en parler en couple de peur de provoquer un vent de panique inutile et de briser quelque chose d’aussi fragile que le lien qui nous unit.
Je ne sais pas comment il vivait l’histoire, mais de mon côté j’en parlais beaucoup à mes amies ; elles me conseillaient de prendre un amant, ou de m’offrir de la lingerie pour «redynamiser» la libido, mais au fond de moi, je savais que la solution ne se trouvait pas « à l’intérieur du couple ».
Première soirée libertine privée
Quand j’ai enfin osé en parler à Emmanuel, il a été soulagé que j’aborde le sujet. Il m’a dit : « Et le libertinage, ça te tente?» Honnêtement, j’ai été un peu prise de court, je n’avais jamais envisagé la situation !
Après quelques jours de réflexion et de recherches de témoignages, nous avons d’un commun accord décidé de franchir le cap. C’était une décision assez difficile pour nous deux mais nous avions établi la règle « d’en parler si ça n’allait pas ».
Sur internet, nous nous sommes renseignés sur les différentes façons de vivre le libertinage, et c’est finalement sur une soirée privée que notre choix s’est porté.
Le lieu avait l’air superbe, nous devrions être 4 couples et l’entrée semblait très sélective: nous avions dû fournir 4 photos différentes (visage, nu face, nu dos, habillé en pied) avant de valider notre inscription.
Une fois la validation confirmée, nous étions dans une excitation totale avec Emmanuel, et cette simple formalité nous a déjà donné envie de nous rejeter l’un sur l’autre. Mais sans succès, car il n’a pas réussi à bander.
Un début de soirée sage
Le soir venu, nous nous sommes mis sur notre 31 : lui portait un costume 3 pièces sur mesure et moi robe noire longue avec de en dessous. Nous avions ramené une bouteille de champagne et des fleurs, pour la forme.
J’étais trempée d’excitation, trempée de voir mon homme si désirable, trempée de rencontrer d’autres corps, d’autres vies, trempée de remettre 20 ans de vie commune en danger…. Mais cela me semblait nécessaire !
La soirée est restée très sage jusqu’à 23 h environ, et comme dans un mariage ce sont les hôtes qui ont commencé «les festivités» avec un couple qui connaissait bien, donnant implicitement le signal de départ.
Les couples se sont au fur et à mesure dénudés autour de nous, en se prenant à pleine bouche. Emmanuel et moi avions passé le plus clair de la soirée en tant qu’observateurs et nous ne nous étions pas vraiment fait des « amis ».
Désirer la bite de son mari
Bien qu’excités par la situation, nous avons décidé de coucher ensemble, c’était plus respectueux et moins intrusif que d’arriver subitement au milieu d’ébats.
Nous nous sommes trouvés un lit et j’ai commencé à lui tailler une pipe d’enfer. Un homme s’est approché de nous et s’est branlé discrètement.
Je m’en foutais, ce soir, seule la bite d’Emmanuel, bandante comme jamais, comptait. J’avais l’impression que c’était réciproque de son côté ; seul mon corps, mes yeux, ma bouche sur son membre n’avait d’importance.
Le reste était accessoire. Et c’est comme ça que nous nous sommes retrouvés au beau milieu d’une orgie. Notre sexualité a été décuplé les jours d’après, mais nous ne sommes pas restés sur cette expérience !
Nous sommes retournés dans quelques soirées et clubs après (pas plus d’une fois par mois, pour garder le côté « exceptionnel ») et nous ne couchons toujours qu’ensemble. C’est peut-être ça la définition du romantisme 2.0 ?
(Image à la une : Getty Images)