Yuki-party

La rédaction 3 août 2020

Claude, 49 ans, est un expatrié au Japon. Un repas avec ses amis français va se pimenter avec Yuki, une belle asiatique prête à faire plaisir à tout le monde.

Je vais vous raconter mon histoire de sexe.

Je me suis installé au Japon en 2019. Je bosse pour une grosse boîte française et les conditions sont bonnes. J’aime la culture d’ici. Pas de conflit au travail, on règle tout au resto devant une bonne bouteille de saké, puis on en torche trois ou quatre au bar. Il y a aussi des soirées très sympas chez les collègues expat’ quand on a le mal du pays. Alexandre est celui qui nous reçoit le plus. C’est mon boss, et j’envie autant son salaire que son appart’ dans un quartier chic de Tokyo, avec vue sur la ville et chef à domicile. A chaque fois, c’est bon vin français, cuisine au top et, comme il a bon goût en matière de femmes, très jolies concubines qui ne restent malheureusement pas longtemps dans les parages.

La plus “investie” dans notre groupe de collègues s’appelait Yuki. Une jeune femme délicate, qui ne devait pas dépasser les 20 ans et les 50 kilos. Alexandre nous l’a présentée lors du repas de début d’année. Nous n’étions pas nombreux, seulement cinq de ses plus proches collaborateurs. La bouffe était exquise, de même que les boissons et la compagnie de sa nouvelle amie locale. Elle ne parlait pas un mot de français et seulement quelques mots d’anglais, mais Alexandre faisait l’intermédiaire. Nous l’avons taquinée et elle riait de bon cœur devant cette tablée de Gaulois pas si bien élevés. A la fin du repas, Alexandre a renvoyé le chef en cuisine et demandé à Yuki de chercher des cigares. Oh, surprise, la jeune femme est venue fumer sur les genoux de notre hôte après nous avoir présenté la boîte à tous. Les blagues sont allées bon train. Nous étions pompettes et Yuki était terriblement excitante.

C’est alors qu’Alexandre a lancé, l’air désinvolte : « Il faut savoir qu’elle n’avale pas que la fumée du cigare. Si ces messieurs désirent essayer… » Yuki, cette fois, a eu l’air de comprendre. Elle a pointé son minois vers mon collègue François et a avalé une grande bouffée blanche. Lui, tout surpris, a fini par se lever, obéissant. La jeune femme, toujours sur les genoux du boss, lui a fait signe : « Come here ! ». Quand le pauvre a été à sa hauteur, elle l’a attrapé par la boucle de sa ceinture et l’a attiré vers elle. Un regard d’encouragement d’Alexandre et elle a sorti le membre du zigoto, qui ne savait plus où se mettre. Je suis personnellement peu pudique et je voyais à la tête de mon boss que la fête avait commencé. J’ai donc reculé ma chaise et j’ai sorti l’engin, pendant que Yuki branlait à présent notre François. Quelle scène incroyable que de voir cette gracile nymphe japonaise faire gonfler la queue courte et épaisse de ses doigts fins, puis lécher doucement le bout de sa petite langue rose.

Beaucoup trop d’infos pour François, qui est devenu tout rouge et a débandé rapidement. C’est alors Marc qui s’est levé comme un ressors et l’a remplacé, cette fois, avec plus de succès. Non seulement, il bandait fort, mais son membre a produit au bout de quelques minutes un jet impressionnant, que la petite a pris de plein fouet. Avec un rire coquin, elle s’est tournée vers Alexandre, qui a essuyé les dégâts avec sa serviette d’un air sérieux. Etienne, le plus âgé de la bande, a alors demandé : « Ne pourrions-nous pas la partager tous ensemble, mon cher Alexandre ? » Le boss a opiné et fait sauter Yuki de ses genoux. Il nous a proposé une chambre, où la jeune femme a enlevé sa robe stricte pour passer à de la lingerie plus à propos. Les photos qui ont été prises sont de moi, et comme vous pouvez le voir, la fête s’est prolongée agréablement. Alexandre avait beau rester en rentrait, j’ai bien vu à son visage concentré qu’il prenait un plaisir terrible à offrir sa compagne à la bande en rut. Etienne, Marc, Jean-Pierre, Kaleb et moi-même avons tous contribué à son fantasme, en plantant nos bites entre les fines lèvres de Yuki. J’ai personnellement tout donné de ma queue rouge de plaisir, d’abord avec un collègue puis seul. Je l’ai placée à ma convenance, un peu en biais pour une meilleure photo, et j’ai secoué l’engin en lui ordonnant d’ouvrir grand jusqu’à lui repeindre la glotte.

J’ai ensuite pu admirer un véritable bukkake. Yuki au centre, des bites dans tous les sens et du bon gros foutre qui lui coule sur les lèvres et le menton, pour le plus grand plaisir du patron.

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