Sexe sans paroles
9 août 2019Michel, 38 ans.
Voici 15 jours, j’ai aidé un couple de très anciens et bons amis à déménager. Nous avons le même âge, et nous nous connaissons depuis toujours.
Nous faisons un premier tour et l’après-midi, mon ami repart vers leur ancienne maison, avec le camion de location. Je me retrouve donc seul avec Justine. Nous montons le maximum et en fin d’après-midi,
il n’y a que leur lit comme matériel de couchage, et à part coucher par terre… Donc, elle me propose alors que je me couche avec elle dans leur lit. Fatigué de la journée, j’accepte, en tout bien tout honneur. Je me couche le premier en pyjama et elle vient me rejoindre.
Le lendemain matin, tout juste réveillé, elle vient poser sa tête à côté de mon épaule ; encore inconscient, je suis surpris et je pose une main sur ses cheveux, sur son oreille, sur sa joue, sans que cela n’occasionne un geste de sa part… Puis ma main atteint l’épaule par-dessus le pyjama, l’avant-bras et le bras sur lequel je fais doucement
plusieurs allers-retours. Elle approche sa tête pour la poser sur mon épaule. J’insère ma main sous le pyjama et je caresse directement son bras, sans réaction. Je remonte ma main jusqu’à l’épaule et toujours sur le pyjama, je lui caresse le flanc, puis le buste en effleurant les seins, puis en les caressant d’une manière plus affirmée.
Deux doigts s’immiscent dans le passage entre deux boutons au niveau de l’abdomen et parcourent sa peau douce ; encouragé, j’ôte 2, 3 boutons, et toute ma main se promène sur ses seins jusqu’à l’élastique du pyjama, le reste des boutons saute, je m’empare alors de ses deux beaux et chauds seins ronds.
Lorsque nous étions beaucoup plus jeunes, en vacances en bande à l’Île de Ré, nous avons fréquenté une plage naturiste, j’avais eu l’occasion d’admirer ses superbes seins bien proportionnés ; de bonne tenue, aux larges aréoles marron, ainsi que son petit buisson en triangle noir abondamment fourni et bien frisé. Poursuivant mes cajoleries, je fais le nécessaire pour faire durcir leurs pointes, elle se laisse docilement faire, sans dire mot. Je descends doucement, caresse son ventre, ses cuisses par-dessus le pyjama, puis ma main aventureuse passe la frontière de l’élastique de la culotte de pyjama, jusqu’à ce que mon majeur atteigne le poil pubien et se perde dedans.
Le pyjama est large, et ma main est à l’aise, je traverse son petit buisson du haut en bas, les cuisses s’écartent : un appel à descendre sur sa chatte pour lui cajoler, ce que je fais, je crache sur mes doigts et commence ma câlinerie qui ne reste pas vaine, un liquide bienfaiteur, gras et chaud vient faciliter les mouvements de mon
majeur. Les cuisses s’écartent largement, la chatte s’ouvre, je remonte jusqu’au clitoris et je le mouille, il gonfle, j’introduis mon majeur dans son fourreau bien chaud et bien gras, je cherche son point G, je le masse longuement puis je ressors et m’applique sur son clitoris que je caresse, caresse et caresse encore. Elle respire plus fort, puis une nette cambrure et un petit cri puissant m’alertent de sa jouissance. Je laisse mon doigt immobile, elle a resserré ses cuisses.
Cette situation ne m’a pas laissé de marbre, j’ai une superbe érection. Elle récupère puis sa main droite vient sur mon ventre, par-dessus le pyjama, elle se heurte à ma bite super bandée, elle la tâte comme pour en évaluer le calibre et la fermeté, elle la caresse, puis passe sa main sous l’élastique de mon pantalon, et sa main saisit mon braquemart. Elle me caresse les couilles, le gland qu’elle dégage doucement en tirant sur ma peau avec deux doigts, me fait comprendre d’enlever ma culotte de pyjama, ce que je fais entièrement.
Elle me tire par le bras en m’attirant vers elle, je me mets à califourchon, elle commence à déboutonner ma veste de pyjama, je continue et elle m’attrape par les flancs pour que je m’allonge sur elle, sur son corps tout chaud et ses beaux seins. Elle saisit avec deux doigts ma queue, la frotte contre sa chatte pour bien lubrifier le gland, le place à l’entrée de sa moule, et met ses deux mains sur mes fesses.
Je comprends qu’elle souhaite que je la pénètre, ce que je fais. Ma queue allant et venant dans sa large chatte lui donne satisfaction, je prends soin d’exciter son clitoris avec ma bite et l’instant suprême arrive : mon sexe s’immobilise au plus profond d’elle et je lui déverse un très abondant sperme, je reste en elle immobile, je jute, je jute, nous sommes joue contre joue, puis elle cherche mes lèvres, nous nous embrassons en ouvrant très largement nos bouches et nos langues bataillent langoureusement pendant 1 à 2 minutes.
Ses pointes de seins sont fièrement dressées. Je reste en elle le maximum de temps, elle me retient en posant ses mains sur mes fesses, je me retire lorsque j’ai débandé, elle attrape mes épaules et me pousse en bas de son corps, la couverture tombe, elle écarte largement ses cuisses en grenouille et je lui caresse l’intérieur, du genou au sexe. Je lui fais des petits bisous, et je lèche sa chatte toujours très humide, elle pousse un soupir de satisfaction : elle veut que je lui administre un cunni. Je caresse largement en tous sens sa belle chatte sans ménagement, la cyprine déborde de sa moule. Je lui fourre mon majeur au plus profond, plusieurs allers-retours rapides, je masse à nouveau le point G, je passe des grands coups de langue sur sa chatte bien ouverte, je dégage le clitoris et le titille en raidissant le bout de ma langue, la position est inconfortable, je tire ses jambes, ses cuisses jusqu’au bord du lit, je prends mon oreiller et je le glisse sous ses fesses, son sexe bien ouvert est tout au bord du lit.
Je m’agenouille sur le sol, je lui tiens les cuisses écartées et je commence doucement le cunni qui m’humidifie la langue de son abondante mouille. Lorsque je l’ai bien léchée partout, je me concentre sur son clitoris, ma bouche grande ouverte emprisonne totalement sa moule bien offerte, je titille son clito, je lui mange littéralement sa chatte, elle commence à haleter, puis elle prend ma tête à deux mains et m’imprime le mouvement souhaité de ma langue sur son clitoris.
Je m’exécute, quelques mouvements nerveux lui font refermer les cuisses, m’emprisonnant la tête, puis les rouvrant, son bassin s’agite, je la doigte profondément tout en aspirant son clitoris, elle s’agite nerveusement de tout son corps, elle ferme et ouvre plusieurs fois ses cuisses, jusqu’à un « aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh » sonore qui déchire le silence de la chambre.
Ma langue vient de lui donner une grande jouissance, je lui bécote la chatte, la caresse. Je me redresse, vais me laver la bouche, le sexe, je remets mon pyjama, et je commence à préparer le petit-déjeuner. Elle arrive en pyjama, prépare le café, nous n’échangeons pas un mot, et nous n’en échangerons plus jamais à propos de ce que nous venons de faire tous les deux. Comme si de rien n’était, nous reprenons nos activités de déménageurs, en fin de matinée, son mari arrive avec un dernier chargement, nous nous comportons comme si rien ne s’était passé.
(Image à la une : Getty Images)
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
Parole de gendre !
« Avec ma langue, j’ai câliné son clitoris, ses petites lèvres molles et douces, j’en avais plein la bouche. Elle tendait sa vulve vers moi pour me la faire manger » Xavier.
Une vraie cougar avant l’heure
« Puis, mon pote s’est assis sur le bord du canapé et a invité Françoise à venir s’empaler sur lui de dos, pendant que je continuais à lui baiser la bouche avec ma queue en lui tenant la tête par les cheveux. » Philippe.
À retrouver sur notre plateforme VOD