Plaisir coupable
22 janvier 2023Je m’appelle Faustine, j’ai 51 ans et j’aimerais vous confier une histoire porno qui m’a bien remué.
Un gendre qui sait rendre service
Mère célibataire, mais grande amoureuse avant tout, j’ai eu beaucoup d’aventures. Certaines sans lendemain, d’autres qui ont porté leurs fruits (ma délicieuse fille Daphné en est la preuve irréfutable). Je voulais vous raconter l’une des plus marquantes : celle que j’ai vécue avec mon gendre.
Je me souviens très bien de cet après-midi. Il était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec Daphné. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en bossant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me matait en douce en même temps.
Bien que flattée par les regards d’envie de cet homme de 25 ans, en toute logique, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû, mais je n’ai pas su résister quand il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Au contraire, je l’ai laissé me caresser le visage sans répliquer. Il s’est encore rapproché et m’a serrée dans ses bras. Il a osé un baiser timide dans mon cou, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins.
Nos sens se sont réveillés, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. Ensuite, ses mains se sont égarées sous mon pull pour arriver à mes seins. Mes tétons ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Il m’a soulevée et m’a portée dans ses bras jusqu’à mon lit. J’ai trouvé ça à la fois romantique et déplacé… mais tellement excitant !
Et qui sait baiser
Il m’a déposée sur mon lit, et nous nous sommes déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et ma chatte humide. Il bandait dur, je n’attendais plus qu’une chose : le moment où il me pénétrerait. J’ai voulu lui rendre la pareille avant qu’il me prenne. J’ai pris en bouche son gland qui perlait. J’ai sucé cette bonne queue recourbée, difficilement au début (sa forme spécifique m’a obligée à certains « ajustements »), avec passion ensuite.
Il m’a proposé que je m’installe sur sa bouche en 69, il ne devait pas vouloir jouir seul. Je me suis exécutée, en lui spécifiant que je voulais quand même qu’il me baise, et qu’il avait intérêt à tenir jusque-là ! Il a ri… Il avait bien compris le message. Quelques minutes plus tard, nous étions au bord de la jouissance. Nous nous sommes arrêtés, le temps que je me mette sur le dos, les jambes bien écartées pour qu’il me pénètre.
Mon gendre s’est redressé, la bite à la main, et puis l’a posée sur ma chatte avide. Son regard était captivé par son engin qui entrait peu à peu en moi, jusqu’à buter au plus profond de mon intimité. Arrivé à bon port, mon matelot a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise.
Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de me pilonner de plus en plus fort. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses coups de boutoir. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller.
Même si je pense avoir vécu des baises plus « impressionnantes », je ne peux m’empêcher de considérer celle-ci comme la plus excitante. Ce mélange de sentiment de culpabilité par rapport à ma fille et de désir partagé, quel bonheur !
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