Sous les boules du pompier

La rédaction 29 septembre 2020

Océane, 29 ans, n’en a jamais assez ! Cette petite canaille englouti le pénis de son pompier jusqu’à l’étouffement. Si il ne l’arrête pas, elle peut sucer des heures.

Sous les boules du pompier

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J’ai commencé par lui lécher les bourses, elles avaient un relent vinaigré qui n’était pas pour me déplaire. En plus, j’adore cette peau douce dont sont pourvus les hommes sous les couilles (la « table basse » comme on dit dans la série Weeds).
J’ai vu son monstre marin s’éveiller lentement sous mes yeux ébahis. Quelle jolie bite il avait ce Thierry ! J’étais persuadée qu’il commençait à se réveiller, mais qu’il persistait à faire semblant de dormir. Il aimait bien jouer à la belle endormie, c’était mignon. Ça m’a encouragée à m’appliquer, je voulais le gâter mon petit prince. Je le léchais de bas en haut, j’étalais toute ma salive le long de sa lance à incendie.

Je m’acharnais particulièrement sur son gland en forme de champignon. Je roulais littéralement des pelles à son engin qui durcissait lentement mais sûrement. Tout à mon affaire, je n’ai même pas remarqué qu’il était absolument réveillé et qu’il souriait de toutes ses dents en me shootant avec le numérique qu’il venait d’avoir pour son anniv’. Le délicieux salopiaud ! J’oscillais entre le courroux et le comble de l’excitation sexuelle ! J’ai tranché (enfin, façon de parler) et j’ai englouti son pénis qui a presque vibré de plaisir dans ma bouche. Je l’ai pris jusqu’au fond, la pointe de Thierry a touché ma glotte, je l’ai même un peu forcée dans l’entrée de ma gorge. J’étais épatée par ma propre performance, mais sa bite était tellement gonflée que j’aurais pu la sucer des heures durant. Je l’ai pompé mon Thierry, pompé !

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Je montais et descendais à une cadence folle, je caressais ses boules bien fermes. De temps à autre, je le sortais pour jouer avec. Je secouais mon chouchou de chair et je lui faisais subir les « supplices » les plus abominables, je le mordais même un peu pour venger mon droit à l’image scandaleusement bafoué. À un moment, j’ai tenu le membre bien droit devant mon visage et je me suis approchée lentement. Je lui ai fait sentir mon souffle chaud, je voulais qu’il sache que j’allais le polir jusqu’à ce qu’il me balance tout son foutre au visage.

J’aime bien expérimenter avec les jouets des messieurs et là, j’avais tout mon temps. J’ai humecté le bout de mon index à la source de ma chatte débordante de mouille et j’ai massé le dessous du gland dans un mouvement circulaire rapide, puis lent, puis rapide… Pendant ce temps-là, je lapais la base de son bâton d’amour. Il m’a demandé d’accélérer, je me suis exécutée avec bonheur. Je l’ai branlé vigoureusement, des deux mains. Je voulais qu’il vienne.

Il s’est raidi, j’ai approché ma bouche bien ouverte. « Jouis chéri, jouis-moi sur les dents, sur la langue, jouiiis que je t’avale ! » Il a obéi. J’en avais partout, dans les yeux, les cheveux, sur les joues. J’ai avalé tout ce que j’ai pu. J’ai fait une toilette de chat à sa queue qui continuait à produire quelques gouttes sous la pression de mes doigts qui la pistonnaient. Il avait les yeux écarquillés. Il n’avait pas jouis comme ça depuis longtemps ! Inutile de vous dire qu’il ne me quitte plus depuis ce jour. Mesdemoiselles, Mesdames… Prenez-en de la graine : si vous voulez garder votre homme, sucez-le bien !

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