Spécial vacances : la grande bouffe

La rédaction 31 août 2019

Gilles, 27 ans.

Je m’appelle Gilles et j’apprécie particulièrement la version trimestrielle de votre revue. J’ai notamment adoré le numéro où vous évoquiez les jeux sexuels avec de la nourriture [ndlr: interstron.ru spécial Lettres et e-mails n° 21, janvier 2009]. Je n’ai pas pour habitude de coucher avec une fille si elle est une amie. Pourtant, j’ai eu à plusieurs reprises des occasions. Mais cette fois, il y avait de l’électricité dans l’air. Peut-être était-ce à cause de Dom, un pote qui dînait avec nous ce soir-là et qui passait dans notre bande de copains pour un sacré dragueur. Ou peut-être était-ce parce que Fanny venait de se faire larguer par son mec ? En tout cas, nous n’avons parlé que de cul au cours de cette soirée.

Nous dînions tous les trois autour d’un bon gros plat de spaghetti que j’avais préparé. Nous regardions distraitement les émissions nulles de la télé, et nous parlions de nos histoires d’amour et de fesses. Nous nous connaissons depuis assez longtemps pour en discuter sans fausse pudeur. Je ne me souviens plus très bien comment la bagarre a commencé. De toute façon, nous avions trop bu. Je crois que Fanny m’a mis au défi de lui jeter mon verre au visage, je ne sais plus pour quelle raison. Ce que j’ai fait. Elle a riposté en me lançant une poignée de spaghetti. En quelques minutes, l’appartement était sens dessus dessous, nous étions couverts de nourriture et nous nous battions comme des gamins ! Dom retenait Fanny prisonnière et moi, je la chatouillais. Elle se tortillait dans tous les sens, elle a toujours été hyper chatouilleuse. J’ai glissé une poignée de pâtes dans son corsage. Elle a été obligée de défaire son chemisier pour les enlever. Elle ne portait rien dessous. Ses seins fermes et pointus m’ont fait beaucoup d’effet… Ils étaient enduits de sauce tomate. Des pâtes y étaient encore accrochées. Fanny s’est jetée sur moi, pas du tout démontée d’être à moitié nue, et nous avons continué à nous battre. Nous étions sur le canapé, à tenter de nous chatouiller. J’essayais de ne pas lui toucher les seins mais ce n’était pas facile. D’autant moins facile que j’en mourais d’envie.

Les choses avançant, je l’ai un peu tripotée, et elle s’est laissé faire. À court de « munitions » sauce bolognaise, Dom et Fanny ont décidé de me dépoiler. Ils se sont jetés sur moi et, à grands coups de chatouilles et de pinçons, ils sont parvenus à leurs fins. Je bandais à moitié à cause de Fanny. En riant, elle m’a versé du vin sur la queue pour la faire dégonfler. Ça n’a pas marché, mais alors, pas du tout ! Avec mon aide, Dom a fini de désaper Fanny. Dans l’affrontement, lui aussi avait perdu une bonne partie de ses vêtements et gagné une belle trique. Je suis parti à la cuisine chercher de la confiture. Je me disais que tartiner Fanny était une bonne idée.

Quand je suis revenu, ma confiote ne servait plus à rien. Dom et Fanny étaient collés et s’embrassaient. J’ai posé mon pot de confiture et je me suis joint à eux. Fanny nous embrassait tour à tour, et ses mains étaient occupées par nos deux queues. Elle nous branlait de concert. Elle frottait nos glands contre son ventre poisseux de vin et de sauce tomate. Nous avons continué debout. Nous étions en sandwich, à l’embrasser partout. Elle se laissait faire en soupirant. Je frottais ma queue entre ses fesses, et Dom la pénétrait par-devant. Nous utilisions des poignées de spaghettis, glissants et poisseux, pour la caresser. Elle semblait adorer ça. Elle couinait. Dom s’est retiré pendant que je lubrifiais le petit trou de Fanny avec mon doigt humide de sauce et de vin. Puis, nous l’avons baisée des deux côtés en même temps. Elle criait son plaisir. Elle est montée lentement au septième ciel. Nous aussi d’ailleurs. Elle était très étroite de l’anus. C’était un régal de la sodomiser. Dom a joui en premier et s’est retiré. J’ai continué à enculer Fanny tandis qu’elle se caressait le clito. J’ai joui à mon tour. Pour finir, elle s’est abandonnée à nos caresses jusqu’à l’orgasme.

Nous étions bien. Il n’y avait aucune gêne entre nous. Même pas entre Dom et moi. Pourtant, nos bites avaient été « voisines » pour la première fois de notre vie ! Nous nous sommes douchés. Ce n’était pas du luxe ! Puis nous avons nettoyé le séjour de fond en comble. Un vrai chantier ! Nous n’avons jamais recommencé un délire pareil, mais nous en parlons des fois avec amusement et pour moi, secrètement, une grande, une énorme envie de remettre ça, avec Fanny, et avec Dom aussi. Mais peut-être… séparément. Alors, s’ils lisent votre revue, maintenant, ils le savent. La balle est dans leur camp.

(Image à la une : Getty images)

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