Symphonie en sodo majeur

La rédaction 22 juin 2020

Marine, 51 ans, Châteauroux, s’éprend de son élève qui a lui aussi la cinquantaine. Un ébat tout en douceur, en musique et en so-do-mi…

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Ancienne chanteuse lyrique, j’enseigne aujourd’hui à domicile à un public de 7 à 77 ans. Depuis quelques mois, je me cassais les dents sur Ousmane, un élève difficile. Stressé par ses responsabilités dans un grand hôpital, il voulait apprendre le lâcher prise grâce à mes cours, mais il était incapable de suivre les exercices de respiration et de jouer pleinement le jeu. Heureusement, avant et après chaque cours, il me jouait une charmante musique, toute en sourires coquins et en œillades. Mat de peau, il avait de belles dents blanches, de somptueux yeux verts et quelques rides en adéquation avec sa petite cinquantaine – la même que la mienne. Quant à sa voix de baryton, même mal contrôlée, elle faisait vibrer mon âme de chanteuse…

Pour détendre Ousmane, j’ai fini par employer la méthode forte. Après cinq cours sans progrès réels, j’ai coupé court au flirt et imposé un exercice : qu’il s’allonge sur son canapé, sur le dos, et se laisse manipuler par mes soins, jusqu’à détendre son diaphragme. Mais impossible d’y parvenir. Je palpais son ventre, relevais ses reins, mais mon élève ne faisait que pouffer et s’agiter… Je me suis acharnée tant et si bien que j’ai fini par trébucher sur le tapis… pour finalement m’affaler sur lui !

La gêne était totale, de mon côté du moins. Lui semblait ravi, au vu de son sourire de Don Juan… J’ai relevé la tête et il a glissé une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, en me dévorant de ses prunelles vertes. Qu’est-ce que je sentais-là, en contrebas ? Point de baguette de chef d’orchestre, mais un équivalent bien plus large et plus dur. J’ai rougi et tenté de me relever. Mais le bel Ousmane a plaqué ses mains sur mes omoplates, ce qui m’a projetée lèvres en avant contre les siennes.

Ainsi commença notre symphonie. D’abord, les cordes : un pizzicato de langues, piquant et nerveux. Puis les bois : pour couper court à ces baisers trop vifs à mon goût, je descendis le long du corps d’Ousmane, pour sortir son instrument de son caleçon et le porter à mes lèvres. De flûte à bec, il devint un puissant basson à force d’en pincer le bec. Je fus ensuite retournée sur le canapé, et un concerto pour index commença entre mes rondes cuisses, ma voix de soprano répondant aux accords bien plaqués d’Ousmane.

Enfin, notre pièce devint chef-d’œuvre. Mon baryton enleva nos derniers vêtements et nous nous découvrîmes nus, dans la lumière poudrée de la fin du jour. D’allongée sur le dos, je roulai sur le ventre, tandis qu’Ousmane attrapait un coussin qu’il plaça sous moi. Une harmonie parfaite s’installait entre nos corps ! Après avoir fait glisser son instrument sur mes reins pour y laisser une traînée cristalline, il en agita la pointe entre les deux beaux tambours de mon cul. Je le redressai presque malgré moi, l’invitant ainsi à un voyage en sodomie. Étais-je prête ? Ousmane fit en sorte que oui. Il redescendit et je sentis de longs baisers mouillés attendrir mon trou, puis sa langue pénétrer en terre inconnue. Pour moi, une explosion des sens. Pour lui, une source d’excitation incroyable, qui transforma l’instrument en un marteau piqueur quand il se remit en position au-dessus de moi !

Je contrôlai mes cris pour qu’il ne s’excite pas trop vite – une tâche délicate. Mais après une entrée en trombe dans mon antre, mon élève se mit à fouiller très profond, à une cadence de type allegro. En extension sur ses avant-bras, il plongea, ressortit, plongea de plus belle. Ma voix, bien qu’assourdie par ma posture, monta en un falsetto digne de mes meilleures prestations lyriques. Aigu, aigu, aigu ! Oui ! Oui ! Ce fut l’orgasme, une note déchirante qui me traversa tout le corps, tandis qu’Ousmane bouillonnait entre mes fesses.

Il se laissa enfin retomber sur moi, à bout de souffle d’avoir joué sa partition si intensément. Nous nous lovâmes l’un contre l’autre, puis le sommeil nous prit tandis que les derniers rayons du soleil disparaissaient par la fenêtre. Le lendemain, je me réveillai dans son lit. Mon baryton m’avait porté jusqu’à sa couche durant la nuit, et venait de se lever pour nous préparer un bon café.

Il n’est toujours pas devenu bon chanteur, mais reste un excellent musicien, avec qui je joue mes meilleurs duos !

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