Passionnée de sododomie, elles témoignent !

La rédaction 22 février 2025

Grandes amatrices de sodomie, elles témoignent !

Lety Howl : La meilleure chose au monde !

Aujourd’hui âgé de 36 ans et originaire de Belfort, Lety Howl poursuit son rêve d’actrice porno en privilégiant le côté amateur dans ses réalisations. La sodomie ? Elle avoue sans problème que c’est sa pratique préférée. Et pourtant : « La première fois, ce fut une véritable horreur. Juste un jeune homme trop pressé de rentrer. Il m’avait demandé s’il pouvait essayer en anal avec moi. J’avais eu à peine le temps d’accepter qu’il s’était enfoncé d’un coup. Il n’a pas pu rester, c’était trop douloureux pour moi. Un très mauvais souvenir, donc. »

Par la suite et au fil de ses nouvelles rencontres, Lety est restée très réticente sur le plaisir qu’on pouvait éprouver dans cette pratique. Mais heureusement pour elle, ses autres partenaires se sont montrés moins pressés et plus attentifs, plus expérimentés aussi : « La sodomie est revenue très doucement et progressivement dans les jeux intimes pratiqués avec mes amants. Mieux vaut commencer par un doigt, puis deux… Sans se presser, sur plusieurs mois, pourquoi pas. Et quand on se sent prête, un petit pénis, de préférence. »

Voilà comment, peu à peu, l’anus de Lety a été réapprivoisé pour devenir pour elle une agréable zone érogène. Et du simple plaisir, elle est passée à une réelle addiction : « Pour moi, c’est devenu la meilleure chose au monde. Les doigts, la langue entre les fesses, les sextoys, les sexes masculins… que du bonheur ! »

À tel point qu’à présent, Lety ressent encore plus de plaisir par-derrière qu’avec son vagin : « C’est pour moi un endroit de plaisir aussi incroyable qu’intense et extraordinaire. »

Sa position préférée pour la pratiquer ? Toutes. Mais pour débuter, elle aime bien venir chevaucher son partenaire pour varier ensuite jusqu’au septième ciel : « Il s’agit vraiment d’orgasme, à tel point qu’en anal, je peux devenir “fontaine” alors que cela ne m’arrive jamais en vaginal. La première fois qu’une mini fontaine est sortie de moi, c’était avec mon chéri. À ce moment-là, il n’utilisait pas sa bite mais un dildo ! Il a fait un mouvement particulier et a ouvert le robinet sur le lit, c’était fou !

Et le summum pour elle, c’est la double pénétration : « On a vraiment l’impression d’être remplie, impossible de ne pas gémir super fort. On se sent dominée, capturée, prise de partout, manque juste parfois une bite dans la bouche pour faire moins de bruit. »

Son conseil : Douceur, délicatesse, écoute : « Pour moi, c’est essentiel et c’est le conseil que je donnerai pour faire aimer la sodomie à sa partenaire et pour qu’elle puisse, comme moi, en jouir. »

Onlyfans.com/Lety_Howl ou Mym.fans/Lety_Howl

Gourmandises68 : La sodo, comme la cerise sur le gâteau

Mary, du couple Gourmandises68, ne pratique pas la sodomie régulièrement. Une à deux fois par mois, sans plus : « Je n’aimerais pas du tout que la sodomie devienne quelque chose de banal dans ma vie de couple. Au contraire, j’aime sentir que mon mari ne pense plus qu’à ça : me prendre par-derrière. Qu’il devienne complètement fou de mon cul. »

Par malice, donc, cette Alsacienne de 39 ans s’amuse à se refuser, à retarder le moment venu tout en sachant que son plaisir, et celui de son mari, n’en sera que plus violent « Avant son sexe, j’adore sentir sa langue entre mes fesses. C’est en l’autorisant à lécher mon petit trou qu’il comprend qu’il pourra me sodomiser. »

Mary n’affectionne qu’une seule position : à plat ventre, son partenaire étendu dans son dos : « En dehors de mon mari, je laisse peu d’hommes me sodomiser car lui seul sait me mener jusqu’à l’orgasme. Il commence très lentement et sent très bien quand il peut accélérer et y aller plus fort. Il reste vraiment à l’écoute de mon plaisir. La position lui permet de me murmurer des mots cochons à l’oreille, ce qui m’excite encore plus. »

Pour Mary, le cérébral est aussi important que les sensations physiques : « J’ai l’impression de faire quelque chose d’un peu honteux, de m’avilir et de m’offrir de manière dégradante, humiliante et pourtant, j’en jouis d’une manière incroyable. »

Son conseil : Un bon lubrifiant etune double stimulation : « un sextoy type Wand qui vibre sur le clitoris et un sexe qui va et qui vient profondément entre les fesses et c’est pour moi le 7e ciel garanti. »

Harmonisex : Encore plus de plaisir dans des lieux ou des situations insolites.

Laborantine et libertine depuis déjà une bonne vingtaine d’années, Mme Harmonisex a découvert la sodomie, justement, grâce au libertinage : « Avec un homme rencontré sur Paris. Il était expérimenté, mature, et dominant. Dans une soirée sur le thème de la soumission et après plusieurs petites fessées, il a réussi à m’ouvrir et à me donner beaucoup de plaisir avec la sodomie. Je me souviens avoir été complètement bouleversée par cette nouvelle pratique et le plaisir. » 

Suite à cette jouissance amplifiée, la sodomie est devenue, petit à petit, pour elle, une pratique de plus en plus régulière. C’est plutôt avec son compagnon qu’elle s’offrait plus facilement à ce type de rapports, mais parfois aussi, selon les occasions, les partenaires libertins… Aujourd’hui, c’est avec son amant régulier quelle s’adonne le plus souvent à cette pratique. Elle est devenue une grande adepte des jeux de langues, de doigts et des pénétrations anales avec des sextoys. En soirée, il lui arrive de porter un rosebud pour mettre en valeur son anus et la levrette reste sa position préférée pour la sodomie. Elle adore cette sensation de se sentir totalement ouverte et à la disposition de ses partenaires : « La jouissance anale est une jouissance différente de celle éprouvée au cours d’une pénétration vaginale. Quand il y a un orgasme il est très intense. Et lorsque je pratique la double vaginale -anale, avec des partenaires bien membrés et habitués à cette pratique, je peux jouir encore plus violemment. »

Pour Harmonisex, le cérébral participe bien sûr au plaisir éprouvé : « J’ai demandé à mon mari d’acheter deux chaises hautes de bar permettant une position bien écartée, pour être sodomisée par mon amant chez nous… Quand je rencontre mon amant dans des lieux style hangar, j’aime être sodomisée contre ou dans la voiture. »

Son conseil : Trouver un homme expérimenté pour sa première fois pour que le plaisir soit au rendez-vous.

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