Place à la salope

La rédaction 17 novembre 2021

Je m’appelle Ilona, j’ai 24 ans et j’aimerais partager mon histoire porno, qui me laisse encore toute chose.

Sortir des sentiers de la bourgeoisie

Il est sept heures en ce matin du 6 juin dernier, la soirée de fin de cycle de mon école de commerce vient de terminer par un célèbre refrain qui parle d’un mariage au bord de lacs en Irlande, je suis éreintée, mais je marche dans une rue de Bordeaux bras dessus, bras dessous avec Paul et Romuald. Moi qui fais partie de la grande bourgeoisie du fameux « carré d’or » de la préfecture de la Gironde, je suis bien décidée à sortir des sentiers battus et à m’envoyer en l’air avec ces deux mecs sublimes. Ils m’ont dragué sans répit toute la nuit et j’ai craqué et pour l’un et pour l’autre et puisqu’ils sont d’accord pour me partager, me diviser, moi, je vais les additionner pour multiplier mon plaisir.

Ça commence dans les rues désertes, les deux sont chauds comme des tisons sortis du feu ! Je me fais peloter le cul par l’un tandis que l’autre me roule des pelles embuées de rhum. Une queue surgit dans ma main, je n’ai même pas peur qu’on nous surprenne, moi qui suis la pudeur personnifiée. Nous croisons les éboueurs, les étrennes sont en avance cette année, des mains soulèvent mon chemisier défait et mes seins se font mordre par la froideur humide de la Garonne toute proche, les salopettes vertes sifflent à tue-tête. Je ris, je suis bien, je découvre que j’ai un côté exhibe qui me fait halluciner… et mouiller.

Nous entrons dans un petit appartement, un vrai repère d’étudiant, le vélo accroché dans la chambre, des fringues dispersés un peu de partout mais au milieu un grand lit et je m’y retrouve nue en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Paul et Romuald affichent tous deux un regard fiévreux, je vois voler chemises, chaussettes, caleçons, ils bandent comme des taureaux les deux petits cochons.

Tandis qu’ils m’offrent ce striptease peu conventionnel, je m’amuse à prendre les poses les plus provoquantes possibles, décidément, je ne me reconnais pas. Je vais jusqu’à me doigter devant eux, je découvre ma coquille toute ouverte, enflée et savonneuse d’une mouille inhabituelle chez moi.

Deux belles queues se matérialisent devant moi, j’ai sucé mon premier type il n’y a pas dix mois, voilà que je me retrouve avec deux pénis en même temps. Je décide de lécher les glands d’abord, ça sent la lessive, l’assouplissant, la sueur et… un peu le pipi mais je m’en fiche. Je finis par gober les deux belles tiges tendues vers moi. Paul a une espèce de banane, longue et recourbée fortement vers le haut, la bite de Romuald, c’est plutôt un concombre de mer, gros, large avec une espèce de gros col roulé au bout qui souligne un gland qui, du coup, parait plus petit que la hampe elle-même. Les portables sont de sortie et je prends la pose quand je sens que l’un ou l’autre me prend en photo, j’en conçois une excitation exponentielle.

Romuald, pourtant pas très costaud au premier abord, fait montre d’une puissance musculaire impressionnante, il me soulève du lit, me tourne et me manipule comme si j’étais un jouet, je me retrouve face à lui, les jambes écartelées, il libère une de ses mains et guide son pieu au fond de ma foufoune. Ça rentre tout seul dans un « floc » qui me donne le rouge aux joues, ça n’en finit pas de glisser en moi, Dieu qu’il est large, je sens ma chatte s’allonger, se distendre sous la pression de ce barreau de chaise. Je suis sûr que je vais avoir mal mais non. C’est juste… incroyable ! À croire qu’on ne m’avait jamais rempli la chatte avant ce soir.

La prude devient salope

Je n’ai rien à faire, il me soulève en rythme et me fais retomber sur son bois bandé, mon cul claque contre ses cuisses, la position fait rentrer de l’air dans mon vagin et le bruit qu’il fait lorsque la queue me pourfend de nouveau est obscène, divinement obscène. Un miroir me laisse voir à quoi je ressemble, poupée désarticulée et rouge de plaisir. J’adore la manière dont il me baise, j’adore que Paul nous regarde, la bite toujours au garde à vous. La pauvre, elle pleure des larmes de glycérine d’ailleurs. Je la regarde avec insistance. Romuald me dépose au sol et c’est sur le lit que je suce ma « banane » lorsque je sens un truc froid et mouillé jouer avec ma vulve. Comment est-ce qu’un concombre (un vrai cette fois-ci) a fait son apparition dans nos jeux, aucune idée… mais je le sens s’introduire en moi. La fraîcheur moelleuse mais ferme me fait jouir d’un coup. Où est-ce que les garçons sont partis chercher ce genre d’idées aussi folles que jouissives ?

J’avale Paul jusqu’aux couilles et je sens le légume se poser sur ma rondelle. Non ! Romuald ne va pas oser !? Ah ! Ah ! Autant rêver ! La cucurbitacée s’enfonce dans mon petit fion qui l’absorbe sans broncher. J’entends les garçons me complimenter entre deux « Quelle belle petite salope ». À ces mots je décolle encore. Mais évidemment, avec ce second orgasme, j’envoie un signal limpide à mes deux pervers : double pénétration.

Chacun m’encule avec la plus grande des douceurs pour finir par décider qu’il est plus raisonnable que ce soit la grosse tige de Romuald qui s’occupe de ma chatte tandis que l’arc de cercle de Paul viendra m’éclater mon petit fion. Ils ont dû mettre leurs mains sur et dans ma bouche, sinon les voisins auraient appelé les flics ! J’ai hurlé, hurlé tellement c’était bon ! Bon !? Intenable oui !

Une queue sortait de moi, l’autre me prenait jusqu’à la garde, elle reculait, la première revenait à la charge. Sept heures de danse à la soirée avaient été loin de les fatiguer. Ils m’ont baisée allongée, à quatre pattes, debout, finalement, ils ont même échangé leur place, j’étais ouverte de partout de toute façon. J’ai eu mon compte d’orgasmes pour tout le mois, tout l’été, la séance a duré jusqu’en milieu de matinée et ils ont fini par décharger leur foutre dans mon cul et ma bouche.

On s’est endormi enchevêtrés les uns avec les autres, c’est Paul qui m’a réveillée vers quinze heures, il se branlait ! Il a cherché mes lèvres que je lui ai offertes avec plaisir et nous n’avons pas été long à entendre « Ben alors !? On n’attend pas Patrick ? ». Romuald était tout ce qu’il y a de plus réveillé et sa queue était raide comme la mort ! Nous avons remis ça.

J’attends avec impatience la rentrée de mon école, nous sommes tous passés en troisième année et avons décidé de devenir colocataires, officiellement pour nos parents, afin de faire des économies. C’est sûr qu’on ne va pas chauffeur beaucoup l’appartement, il fait chaud, à trois sous une couette.

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