Une activité aquatrique
1 juin 2021Katia, est une belle russe blonde de 35 ans qui découvre les joies du sexe de notre coté du continent et ne tarde pas à bien s’amuser à la piscine.
Bonjour, je suis Katia, expatriée russe installée actuellement en Suisse. Je découvre depuis 3 ans l’Europe occidentale et ses traditions étranges. Je veux parler de la drague intensive et du fait que vous autres, vous parlez beaucoup de sexe… Même si je dois dire que je m’y fais peu à peu !
Me voici plus en détails : je suis grande, blonde, je fais une taille 36 et du 85C. En Russie, les belles femmes ne cachent pas leur corps, alors je fais comme on m’a appris. Ça m’a joué des tours plusieurs fois, parce que des cochons me regardent quand je n’ai pas envie. Mais c’est parfois fois très positif, comme avec ce beau garçon que j’ai rencontré à la piscine. Je vous raconte dans cette histoire de sexe.
Je vivais alors en France, à Strasbourg. L’hiver, ça n’était quand même pas comme en Russie, mais on avait frais. Et l’été, on crevait de chaud, comme vous dites. Cet été-là, je n’avais pas de vacances pour rentrer chez moi, du coup, je passais beaucoup de temps à la piscine municipale, avec mon petit bikini sexy-sexy. Je n’étais pas la seule : plein d’autres trentenaires venaient se rafraîchir, mais aussi « fricoter ».
À l’époque, je venais d’installer une appli de rencontres sur mon smartphone. Un dimanche, après m’être baignée, je suis allée m’allonger sur ma serviette, que j’avais posée dans l’herbe. Vu que j’avais oublié mon livre, j’ai sorti mon téléphone de mon sac et j’ai allumé l’appli, dans l’idée de faire passer le temps. J’ai swippé sur plusieurs profils, jusqu’à ce qu’un très beau jeune homme nommé Nico apparaisse. Il était brun, musclé comme j’aime et son profil le décrivait comme un « latin lover ». Ça m’a fait rire. Jusqu’à ce que je me rende compte avec la géolocalisation… qu’il était tout près de moi. Tellement près qu’en regardant autour, je l’ai repéré allongé sur la serviette d’à côté.
J’ai alors décidé de m’amuser : j’ai envoyé un message, en lui demandant ce qu’il faisait. Il a répondu tout de suite : « Je suis à la piscine. » Nouvelle étape : je lui ai demandé s’il y avait des jolies filles autour de lui. Cette fois, j’ai dû attendre une minute avant d’avoir une réponse. J’avais le nez collé à mon écran et je n’osais pas bouger, mais je sentais qu’il avait dû me repérer. Ça n’a pas loupé, le « latin lover » a envoyé : « Oui, une très belle blonde qui m’excite beaucoup. » Waouh, il était très cash, celui-là ! Mais ça m’a plu, surtout qu’en regardant toutes les photos de son profil, j’avais pu voir comme il était super bien gaulé. Il y avait beaucoup d’images de lui en maillot et j’ai trouvé qu’il avait un beau paquet.
On a flirté comme ça un moment, par message. Il m’a demandée une photo de mon décolleté, que j’ai envoyée. Il a répondu avec plein de smileys-cœurs. En échange, j’ai eu un gros plan de sa bite, pris vite fait en tirant sur l’élastique de son maillot. Elle était encore plus épaisse que dans mon imagination. Plus on s’écrivait et plus le « latin lover » semblait se rapprocher de moi. Non, non, je n’hallucinais pas ! Il était en train d’avancer sa serviette centimètre par centimètre. Il s’est bientôt retrouvé tout près. Je regardais les messages, le cœur battant. Le dernier qu’il a envoyé était très simple : « J’ai envie de toi. » J’ai alors senti la chaleur du corps de Nico contre le mien. J’ai réalisé à ce moment-là que j’étais toute mouillée dans mon maillot de bain.
Nico a très bien manœuvré. D’abord, il a changé de serviette, passant de la sienne à la mienne. La sienne a ensuite servi de paravent : il l’a jetée sur mes fesses et j’ai été cachée du regard des autres. D’allongée sur le ventre, je suis passée à coucher sur le côté. Nous étions en cuillère, et du coup, je sentais bien la bosse dans son maillot. J’ai glissé ma main dans mon dos et j’ai commencé à le masser. Du bout des doigts, Nico a descendu ma culotte et moi, j’ai sorti son sexe de son caleçon. Miam, miam… J’ai fermé les yeux, tellement la situation était sexy-sexy ! Je n’avais jamais fait de câlin comme ça, dans un endroit public. Mais Nico n’a pas semblé gêné. Il a même commencé à frotter sa queue… avant de glisser le bout dans mon minou !
J’aurais pu lui dire d’arrêter cette exhibition, mais je n’ai pas pu. C’était beaucoup trop bon. Petit à petit, il est entré en moi et j’ai fait des mouvements de bassin sous la serviette pour que ça nous fasse du bien. Ça n’était pas très discret et un monsieur s’est même mis à regarder de loin. Ça a donné encore plus envie au « latin lover », qui a donné des coups de reins très forts en faisant « Han, han ! ». J’essayais de rester immobile, mais on voyait bien que j’étais en train de prendre dans la foune…
La main de Nico s’est glissée à ce moment-là entre mes cuisses, pour caresser mon bouton de rose. Je n’ai pas pu m’arrêter de gémir, le laissant maintenant me bourrer comme il voulait. Il a fini par enfouir son visage dans mon cou tout en me maintenant fermement par devant avec sa main, et il a bougé très vite du bassin. Puis il a joui comme un salaud. J’étais à la fois embêtée, parce que j’étais sûre que le vieux monsieur avait tout vu. Mais en même temps, très contente, parce que j’avais eu beaucoup de plaisir.
On s’est revus plusieurs fois, avec Nico, et il m’a fait découvrir d’autres endroits, comme une gare et un ciné. J’ai arrêté depuis de faire ça dans des lieux publics, mais écrire cette lettre m’a donnée envie de recommencer.
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