Ma voisine est nympho

La rédaction 15 février 2019

Adrien, 32 ans, Agen.

Bonjour les interstron.ruistes ! Je voulais vous parler de ma voisine, celle à côté de qui chaque mari – chaque homme, en fait – rêverait d’avoir une adresse. La première fois que je l’ai rencontrée nous venions d’emménager, Lucie (ma femme) et moi, dans une résidence très BCBG. Lucie avait placardé une affiche sur la porte d’entrée de l’immeuble conviant tous nos voisins à venir dîner chez nous, un samedi soir. Je m’attendais à ce que quelques familles bien propres sur elles s’invitent à notre petite sauterie, mais à la place, il n’y a eu qu’un couple sans enfant (tout comme nous, heureusement) qui a daigné passer le pas de notre porte.

Mes a priori se sont très rapidement dissipés au cours de la soirée : nous avons bu, ri, joué aux cartes, et nous nous sommes tout de suite bien entendus. Elle s’appelait Nadège, et lui, Jean-Marc. Ils aimaient les expositions de peinture (si elles duraient moins de 45 minutes), le football (si leur équipe gagnait) et chiner sur des brocantes (si elles n’étaient pas organisées pour une association à vocation incompréhensible). Bref, des gens géniaux. Lucie n’a pas pu s’empêcher de parler de la raison qui l’a poussée à emménager à Agen, sa passion d’animatrice nature, et moi d’évoquer mon indépendance totale : « Je travaille à la maison, je suis concepteur de plusieurs sites Internet. » La soirée s’est prolongée jusqu’à une heure bien avancée et aux premiers bâillements, nous nous sommes quittés en nous promettant de remettre ça dès que possible.

Le mercredi suivant, j’étais tranquillement affalé sur le grand sofa de notre living-room, affairé à répondre aux e-mails incessants de mes clients. Lucie était partie depuis tôt le matin sur une mission en forêt à plusieurs dizaines de kilomètres d’ici. Tout d’un coup, j’ai entendu sonner à la porte. Il devait être 14 heures, et, à cette heure-ci, la résidence était aussi calme qu’un cimetière un jour de pluie. Quelle n’a pas été ma surprise de découvrir Nadège, en haut moulant et jupe courte derrière la porte.

« À ce que j’ai compris, tu étais impatient de nous revoir, alors, me voilà ! » Elle m’a expliqué dans la foulée qu’elle était professeur au collège du coin, qu’il lui arrivait souvent d’avoir des après-midi de libre, et surtout qu’elle s’ennuyait à mourir seule à la maison. Je voyais très bien où elle voulait en venir, mais je n’avais encore jamais trompé Lucie. Enfin, nous étions déjà allés une fois ensemble en club libertin, mais je n’ai jamais eu d’expérience extraconjugale tout seul.

Nadège ne m’a pas laissé le temps de réfléchir plus longtemps. Elle est venue m’enjamber directement sur le sofa, en remontant sa jupe au-dessus de ses cuisses. Je voyais alors apparaître sa petite culotte noire en dentelle et j’avais très envie de savoir ce qu’il y avait dessous. « Alors, partant pour une partie de jambes en l’air ou tu dois travailler ? » m’a-t-elle défié. Je dois avouer que j’étais très impressionné par sa prise d’initiative.

Lucie était beaucoup moins entreprenante, et je ne me rappelle même jamais l’avoir vu porter autre chose que des slips en coton. En guise de réponse, je l’ai portée dans mes bras jusque dans mon lit, celui que je partageais avec Lucie. Bien sûr, j’avais une petite voix dans ma tête qui me disait de tout arrêter, de pousser Nadège hors de la chambre et de claquer la porte derrière elle. Mais, malheureusement, elle était beaucoup moins forte que celle de la curiosité.

Nadège s’est allongée sur le lit dans une position langoureuse. Elle a retiré sa jupe et sa culotte et a écarté ses deux longues jambes pour que je puisse profiter du spectacle. D’un doigt, elle a commencé à jouer avec son clitoris pendant que de son autre main, elle se tripotait les nichons. Moi, je restais devant, impassible. Je n’osais avancer, la toucher, la caresser, j’avais encore l’image de Lucie bien imprimée sur ma rétine et je voyais cette (presque) inconnue qui prenait sa place, dans son lit. « Viens, m’a-t-elle encouragée, aide-moi à jouir ! » J’ai pris mon courage à deux mains et ai enfoncé deux doigts en elle, bien profondément. Je l’ai fait gémir tellement fort que j’avais peur qu’elle alerte les voisins.

Je continuais mes va-et-vient, la faisant trembler littéralement. J’ai sorti ma bite et j’ai commencé à me branler, elle m’excitait beaucoup trop ! Je ne sais pas si elle a joui, mais, sans prévenir, elle s’est arrêtée net dans sa lancée, a gentiment retiré ma main de sa chatte et est sortie du lit.

Je l’ai accompagnée jusqu’à ma porte et elle m’a soufflé dans l’oreille : « Bon bah, à mercredi prochain ? »

En fait, elle n’est jamais revenue seule, et je n’ai jamais su pourquoi. Le couple nous rendait souvent visite pour jouer aux cartes et pour rire devant quelques bières… Mais Nadège avait l’air de se désintéresser complètement de moi. Je crois bien même l’avoir vu faire du pied une fois à ma femme.

Bref, je crois que ma voisine est nympho.

(Photo à la une : Getty Images)

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