Soirées révisions

La rédaction 25 mars 2020

Mimose, 23 ans

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Je suis encore étudiante et j’avoue, ne pas être une lectrice assidue de votre magazine au point de le lire tous les mois, mais il m’a permis de m’émanciper. Et rien que pour ça, je vous en remercie. Je vous propose de lire le récit d’une soirée révisions qui a tourné aux coquineries. L’autre soir, un camarade de promotion a organisé une soirée chez lui. Comme dans beaucoup de fêtes étudiantes, on y trouvait pas mal d’alcool et beaucoup de bonne humeur. L’organisateur a eu une idée : profiter de ce moment pour faire nos révisions sous forme de compétition. Il a récupéré les QCM des dernières années avec les corrigés et il nous a proposé le fonctionnement suivant : nous nous mettons tous en rond et, chacun notre tour, nous devons répondre à l’une des questions. Si la réponse est correcte, on passe au suivant. Si elle n’est pas bonne, celui ou celle qui a échoué retire un vêtement et le jette au milieu du cercle…

Afin de garantir un certain équilibre et une relative immunité à celui qui vient de se tromper, c’est à lui que revient le droit de poser les questions suivantes. Et ce jusqu’à ce que quelqu’un d’autre se trompe… et ainsi de suite. À la fin, c’est celui ou celle qui n’a plus de vêtements qui a perdu. L’organisateur propose de pimenter le jeu en indiquant que le perdant se verra proposer un gage par le gagnant. Afin de garantir l’équité, nous convenons que le nombre de vêtements doit être le même pour tous et nous décidons que chaque participant aura quatre vêtements : caleçon, pantalon, pull, tee-shirt pour les garçons et culotte, soutien-gorge, top, jupe (ou pantalon) pour les filles. Les garçons sont clairement avantagés quand même, car deux erreurs les conduisent seulement à être torse nu… Alors que pour les filles, nous nous retrouvons en sous-vêtements ! Mais bon, c’est le jeu… et comme j’ai plutôt bien révisé les examens, je suis confiante.

Avant de commencer, nous nous mettons donc à égalité en retirant les vêtements en trop pour que nous en soyons tous à quatre épaisseurs. Après nous être positionné, je constate que le ratio garçons- filles que l’on retrouve habituellement dans notre filière est quasiment respecté… 3 garçons pour 7 filles. Les premières questions défilent et je suis surprise d’emblée par leur difficulté. La première à se tromper est Laure. Mais comme l’organisateur a des vues sur elle, je le soupçonne d’avoir volontairement choisi une question difficile pour pouvoir la mater. Elle s’avance au milieu du groupe et retire son débardeur. Elle laisse apparaître une très jolie poitrine, magnifiquement mise en valeur par un sublime soutien-gorge noir. À son tour, elle distribue les questions. Cette fois, c’est Jasmine qui trébuche la première. Mais contrairement aux autres, par pudeur – ou peut-être par provocation – elle décide de retirer sa culotte plutôt que son top. Elle passe alors ses mains sous sa jupe, fait glisser sa culotte et la dépose au milieu du cercle avec les autres vêtements déjà retirés.

Arrive le moment où c’est moi qui me trompe. Je m’avance alors au milieu du cercle et je déboutonne mon chemisier. Les encouragements et les sifflets me galvanisent. Bien que je sois plutôt pudique, je me rends compte que je n’ai aucun problème à être en soutien-gorge devant mes camarades. Il y a même quelque chose d’excitant à s’exposer ainsi. Les questions s’enchaînent et la compétition avance bien. Cinq filles ont déjà échoué deux fois et n’ont désormais plus que leurs sous-vêtements. Les garçons, quant à eux, sont dans une situation plus critique, car deux d’entre eux n’ont déjà plus qu’un caleçon, tandis que Stéphane, lui, conserve encore son caleçon et son pantalon. Je suis donc bien partie pour rester en bonne position. J’en profite pour analyser les autres candidats. C’est ce que j’appelle la « sociologie du dessous ». En effet, je trouve toujours intéressant de voir la réalité des gens à travers leurs sous- vêtements. Certaines filles qui paraissent sages à l’extérieur présentent un tout autre visage dès lors qu’on observe leurs sous- vêtements sexy. Et inversement, certaines filles qui semblent assumer sont tout de suite différentes dès lors que l’on voit leurs dessous classiques. Les tatouages de certains et certaines sont aussi très éloquents. Cette situation m’a éclairée sur un autre sujet. Je pensais que les filles de notre âge étaient toutes épilées.

Pourtant, si l’on regarde le sexe de Manon, on distingue à travers la transparence de sa culotte quelques poils délicatement taillés. Toutes les autres, par contre, présentent un sexe parfaitement lisse. Occupée par toutes ces considérations, j’avoue avoir été insuffisamment concentrée pour la question suivante. Et moi qui étais fière d’être en avance sur les autres, je me retrouve à devoir retirer un deuxième vêtement ! Comme j’ai toujours été pudique sur ce qui se passe en bas, j’hésite à retirer ma jupe car je ne souhaite pas que l’on voit tout de suite mes fesses. Je ne veux pas non plus que l’on puisse distinguer mon sexe à travers ma culotte. Alors, plutôt que de retirer ma jupe et de me retrouver en sous-vêtements comme les autres, je décide de retirer mon soutien-gorge. Alors que je suis au même niveau que presque tout le monde, je me retrouve donc la première à être seins nus. Les garçons ont l’air d’apprécier puisqu’ils demandent à caresser mes seins. J’accepte et cette décision fera jurisprudence car, par la suite, toutes les filles qui enlèvent leur soutien-gorge y ont droit aussi.

Arrive enfin la phase délicate: six des dix candidats n’ont plus qu’un seul vêtement. Le prochain d’entre eux qui échouera à sa question aura donc perdu le défi . À travers les échanges de regards, je comprends que les garçons veulent faire perdre Laure. La question suivante est vraiment très difficile et je pense honnêtement que personne n’aurait pu y répondre. Laure comprend donc qu’elle a perdu et joue le jeu jusqu’au bout. Elle s’avance au milieu du groupe et, sous les encouragements des garçons en délire, ôte délicatement son string. Elle se retrouve nue devant l’assemblée. Elle demande quel est son gage. Comme c’est l’organisateur qui a obtenu le plus de bonnes réponses, il lui demande de se masturber devant nous. Un peu choquée, elle s’exécute néanmoins. Elle s’allonge sur le canapé, écarte les jambes et commence son travail solitaire. Assez rapidement, on voit son souffle s’accélérer et sa poitrine gonfler. On la sent à deux doigts de l’orgasme. Mais lui, n’y tenant plus devant ce spectacle, s’approche d’elle et demande s’il peut la pénétrer. Elle accepte et nous observons les deux protagonistes en train de baiser. Il finit par éjaculer sur son ventre.

Après, cet épisode plutôt savoureux, nous remettons tous nos habits et retournons chacun dans nos logements. Et même si je ne suis pas super fan de ce genre de soirée, j’avoue que ça a porté ses fruits puisque nous avons tous été reçus à cet examen !

(Image à la une : Getty Images)

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J’ai pas fait mes devoirs

« Tout en réfléchissant, il faisait rougir mes deux petites fesses d’une poigne très maîtrisée. Ça ne faisait pas mal du tout d’ailleurs, c’était assez agréable. Je me suis donc mise dans un coin de la pièce, Jules a fait passer sa queue à travers la braguette de son jean. » Lydie

Astrid pas si timide !

» Arthur a finalement fini par lâcher son appareil photo et m’a rejoins sur l’herbe en se déshabillant. Son érection était collée à ma cuisse, ça m’a donné envie de le pomper. J’ai aspiré sa tige dans de grands bruits de succions goulus, ça le rendait complètement fou ! » Astrid


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