Ma première nana
22 juin 2022Camille, 20 ans
Salut les coquins, moi c’est Camille. Je suis étudiante en publicité en région parisienne, j’ai 20 ans, voici mon histoire de sexe. Un peu avant les vacances d’été, j’ai voulu tenter une expérience nouvelle : les câlins entre filles. Tout a commencé par un béguin pour une copine à moi, la très jolie Claire.
Cette nana, elle avait tout pour plaire avec sa grosse poitrine, son sourire généreux et ses yeux de biche. Quand elle passait dans les couloirs de notre école, suivie de sa chevelure de feu, ça rendait tout le monde électrique.
Ronds et lourds
Le pouvoir qu’elle avait sur les mecs me fascinait. J’en ai surpris plus d’un en train de la reluquer en cours… Le jean orné d’une bosse plus ou moins grosse! Mais comment les blâmer ? Ses décolletés plongeants et son parfum élaboré faisaient même succomber les profs et pas que les hommes. On racontait ici ou là qu’elle avait déjà couché avec notre prof de marketing, une ancienne punk à la coiffure très courte et aux piercings assez voyants. C’était sûrement des conneries, cependant je dois reconnaître que ça m’a laissée rêveuse pendant un instant (et quelques douches chaudes…).
Bref, je l’ai accostée pour aller boire un verre entre deux cours et on a bien accroché. On est sorties en boîte le jeudi soir, on a fait les folles et on a fini dans mon appart’, un peu saoules, mais pas du tout fatiguées. On avait passé toute la soirée à se prendre en photo pour remplir nos albums Facebook dès le lendemain. Alors, on a continué dans l’appartement…
Et je n’ai pas su me retenir d’épicer un peu le jeu, comme vous le constaterez sur les photos. J’ai commencé à me dévêtir, et ça lui a plu. Elle en a fait de même, j’ai enfin pu la caresser, j’avais très envie de ses seins ronds et lourds. Nous nous sommes embrassées la bouche ouverte, comme des grosses salopes, c’était bon ! Sur son haleine, je sentais le goût du dernier cocktail qu’elle avait ingurgité, un truc à la fraise.
La langue du plaisir !
Elle m’a déshabillée à la hâte et elle est descendue sur ma minette en léchant mon ventre. Son cunnilingus m’a surprise par sa brutalité, mais j’ai aimé quand même, c’était différent de ce que j’avais connu. Elle a enfoncé son poing entier dans ma chatte et c’est entré sans peine, mes sensations ont décollé à ce moment-là. Puis elle s’est éloignée un peu, elle a allumé une de ses clopes bizarres toutes noires et elle a recommencé à me shooter. Décidément, l’amour avec une fille, c’était très étrange! Le flash me faisait tourner la tête, je me suis assoupie un moment et, quand je me suis réveillée, il faisait jour. J’étais allongée à même le sol, sur le ventre, j’avais bavé sur la moquette et je tenais le string de Claire dans la main. Ma folie rousse d’une nuit n’était plus là, mais elle m’avait laissé un souvenir: un « merci » écrit sur la fesse, avec un petit coeur sur le « i ». En plus, j’avais mal au cul et mon gode avait servi.
J’ai néanmoins préféré ne pas faire de lien entre ces deux constats.Après ça, on s’est revues deux ou trois fois en soirée pendant l’été, mais on n’a pas refait de cochonneries ensemble. Parfois, j’y repense et je me dis que j’aurais bien aimé. Si je la contacte à nouveau, je vous enverrai peut-être d’autres images polissonnes. En attendant, bisous les loulous !
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