La capture de la sirène

La rédaction 7 décembre 2022

L’été dernier, j’ai rencontré une sirène. J’étais en train de faire mon jogging, quand je l’ai vue pour la première fois, barbotant dans l’eau fraîche du matin. Nous nous sommes regardés avec intérêt, mais ne nous sommes pas parlé. Je suis repassé sur ce même coin de plage chaque jour pendant une semaine, souriant à ma sirène, lui faisant parfois un signe de la main. J’ai compris qu’elle était autant sous le charme que moi quand, un matin, je l’ai trouvée nue, allongée dans l’eau, un air coquin aux lèvres. Je m’appelle Ludo, j’ai 38 ans et voici mon histoire porno.

Une vraie créature

Tout s’est fait presque sans parole. Elle s’est relevée, s’est approchée et m’a pris doucement la main. Son corps perlait d’eau salée, sa peau était douce… Nous nous sommes embrassés dans un profond soupir. Quelques minutes plus tard, nous étions dans ma petite maison au bord de l’eau, un cabanon simple que j’adore. Mon havre de paix loin de la capitale n’accueille pas souvent des femmes. Je préfère séduire dans les boîtes de nuit entre deux verres de vodka. Mais ma sirène serait l’exception.

Cette petite était décidément très à l’aise. Elle a fait un petit tour du propriétaire, s’est assise dans différents coins du salon, comme pour savoir si elle se sentait assez bien, si c’était assez confortable pour pouvoir rester un peu. Son corps bronzé et ferme m’excitait, et j’ai rapidement fait tomber mon short de sport et mon t-shirt.

Ma queue était tendue comme jamais. J’ai amené la sirène dans la chambre et j’ai caressé ses seins ronds, ses cuisses couvertes d’un fin duvet blond – j’aurais presque pensé lui trouver des écailles tant elle était irréelle ! Sa petite chatte avait l’air juteuse à souhait. Je l’ai allongée sur mon lit défait pour la lécher avidement, aspirant ses lèvres et son clito tout gonflé. Son jus était nacré, salé comme la mer et coulait en abondance.

Pour une baise intense

Elle a entrouvert son abricot tout en couinant de plaisir. Mon chibre était devenu énorme et tout perlant. Après l’avoir bien titillée de ma langue et de mes doigts, je l’ai guidée pour qu’elle me polisse le dard. Quel kiff ! Sa langue était magique, douce comme du velours et d’une agilité surprenante. Je grognais comme un sanglier en rut, retenant difficilement tout ce plaisir qu’elle me donnait.

Elle s’est alors placée près de moi et s’est écartée la minette de plus belle. Sa petite chatte était rose comme les coquillages qu’on trouvait sur notre coin de plage… Il me fallait la prendre. Je l’ai installée à califourchon sur moi et j’ai planté ma bite. Le rodéo a commencé.

Haletant comme une petite chienne et rebondissant sur ma queue, elle jetait de temps en temps des coups d’œil dans le miroir placé derrière nous. Elle était si belle, emmanchée sur ma bite, son joli cul bien ferme exposé à mon regard lubrique. J’y mettais quelques claques, histoire de pimenter le tout. Elle a commencé à beugler si fort que j’ai cru qu’elle allait réveiller tout le patelin !

Je lui ai alors mis la main sur la bouche pour étouffer ses cris. Mon geste a fait partir un orgasme que ma main ne put étouffer. Surexcité, je me suis enfoncé plus loin dans sa petite chatte rougie, avant de lâcher de bons gros jets de foutre qui l’ont remplie à fond.

Chancelants, nous nous sommes écroulés sur le lit. Quand je me suis réveillé une heure plus tard, ma sirène avait disparue. Je ne l’ai jamais revue. Sans doute est-elle repartie dans son palais sous les flots…

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