Les rochers du bord de mer
15 juin 2022« J’ai entrouvert mon bas de maillot de bain rose, laissant apparaître ma touffe à l’air libre et j’ai entendu les clics d’un appareil photo… » Charlotte
Bonjour à tous les interstron.ruistes ! J’adore les récits que je prends plaisir à lire dans ce magazine et j’ai décidé de vous proposer le mien, mon histoire de sexe. Je viens de me faire licencier récemment d’une grosse boîte, pour raison économique. L’idée n’est pas de m’apitoyer sur mon sort, cela arrive tous les jours à des tas de personnes.
Mais quand ça vous arrive, je peux vous dire que vous avez les boules. Et j’avais les boules. Je suis descendue sur la Côte d’Azur pour rejoindre ma mère, en maison de retraite. Deux semaines loin de la pression ambiante de la région parisienne, ça ne pouvait pas me faire de mal ! Les occupations de ma mère étaient très limitées, et je sortais fréquemment, en journée, me reposer sur les rochers du bord de mer.
Un jour, alors que j’étais étendue de tout mon long sur la pierre dure et chaude, je me suis laissé aller à un topless improvisé. Après tout, nous étions à quelques mètres à peine d’une maison de retraite dans un lieu isolé, il ne risquait pas de m’arriver grand-chose. Alors que je m’étais assoupie, seins nus, en train de cuire littéralement au soleil, j’ai entendu une grosse voix me tirer de mon sommeil. « Ben alors, si vous faites les choses, ne les faites pas à moitié ! On veut voir le bas aussi… ».
Plus rien à perdre
Surprise, je me suis immédiatement redressée en cachant ma poitrine. Et moi qui pensais être tranquille… Quand j’ai aperçu mon interlocuteur, un jeune homme brun aux allures d’acteur américain avec une chemise blanche entrouverte sur un torse musclé, je me suis immédiatement adoucie. Il était à croquer et n’avait rien d’un pervers. Je lui ai souri et me suis rallongée sur les rochers.
Lentement, j’ai entrouvert mon bas de maillot de bain rose, laissant apparaître ma touffe à l’air libre. Je entendu les clics significatifs d’un appareil photo. Il s’était donc permis de prendre des clichés de moi ? Tant pis, je n’avais plus rien a perdre. Je n’avais plus d’employeur, plus de chef, plus d’image sage et rangée à tenir, je pouvais bien me laisser embarquer dans un shooting photo coquin !
Il s’est approché à quelques centimètres de mon sexe et m’a poliment demandé s’il pouvait l’embrasser.
Je lui ai donné la permission, et il s’est lancé dans un cunnilingus des plus agréables. Il ne faisait pas comme les autres garçons que j’avais connus auparavant, appuyant comme des sauvages sur mon petit bouton de toute leur force et bougeant leur langue de façon désordonnée. Non. Il léchait ma chatte comme on suce une glace de qualité, avec précision et lenteur, savourant chaque précieuse lampée.
les choses sérieuses commencent…
Après quelques instants, il m’a demandé de venir chez lui pour éviter de nous faire embarquer par la police. J’ai réfléchi à sa proposition durant quelques minutes, ma mère m’avait bien éduquée, et je me rendais rarement chez des inconnus. Après une courte discussion, il m’a indiqué qu’il habitait à quelques mètres d’ici, qu’il travaillait pour la maison de retraite et qu’il connaissait même très bien ma mère ! Ce n’était donc pas un vulgaire inconnu !
Je l’ai suivi chez lui, m’emmitouflant soigneusement dans mon paréo au préalable, le sexe encore trempé de désir. Il habitait un appartement modeste avec une très belle vue sur la mer. Mais je n’en ai pas longtemps profité.
À peine arrivés, nous nous sommes tous les deux rués vers sa chambre pour une partie de jambe en l’air tous azimuts. Il faut avouer que les préliminaires sur la plage nous avaient bien échauffés et que nous n’en étions plus aux présentations.
Une énorme queue…
Il a sorti sa queue, longue et raide de son jean et me l’a tout de suite fait sucer. Je l’ai sucée, léchée, engloutie. J’essayais d’y mettre la même qualité que lorsqu’il m’avait fait mon cunnilingus, en variant le rythme, la pression. Pour m’encourager, il m’a malaxé les seins en même temps. Je voyais qu’il allait venir en quelques minutes, sa queue grossissait à une allure démentielle. Il m’a demandé la permission de jouir, et je la lui ai bien sûr accordée. Je me suis agenouillée à quatre pattes, en levrette.
Il a mis un doigt dans ma chatte et m’a éjaculé tout son foutre sur le dos. Je sentais son sperme couler le long de mes reins sur son lit, en petites gouttes gluantes. Il m’a embrassée sur la joue et m’a dit au creux de l’oreille qu’il fallait qu’il s’absente pour s’occuper des patients. De ma mère, notamment.
« On se revoit à l’heure des visites ? », m’a-t-il dit plein d’espoir. Depuis, dès que je descends dans le Sud rendre visite à ma mère, j’attends avec impatience le moment où son assistant vient lui servir son repas. Nous nous éclipsons ensuite, bras dessus, bras dessous, pour nous bécoter sur les rochers du bord de mer.
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